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 ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J

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James C. Owen

James C. Owen
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MessageSujet: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyVen 19 Mar - 10:42

Suite de JE N'AIME PAS LES TITRES with Bliss et James


    « Doux sentiment au creux du corps des hommes, toi qui t’éveilles à la sensation du désir inconditionnel d’appartenir à une femme. » Je sentais ses bras crochetaient mon cou, et son corps se pressaient contre le mien, m’entraînant dans une danse séductrice avec sa langue et ses courbes délicieuses. Ses hanches ondulaient contre mon bassin en éveil, au rythme d’une musique assourdissante que je n’entendais plus pourtant. Je sentais le bruit, la masse de corps qui nous entouraient, j’entendais les rires et les cris, les chants et les exclamations joyeuses de la fête qui se déroulait autour de nous. Pourtant je ne les écoutais pas, entraîné dans un tourbillon de sensations exquises qui me manquaient. Son corps irradiait d’une chaleur qui m’enveloppait dans le confort de notre étreinte charnelle. Il ne s’agissait plus d’un slow, timide et envoûtant, mais bien d’une invitation silencieuse au sexe et à la passion qui risquait de me déchirer à chaque instant. Le baiser que nous échangions créait le seul point d’encrage où mon corps et le sien entrait en réelle communion, et l’embrasser de nouveau me fit revenir à des souvenirs que je pensais oubliés depuis longtemps. Comme toutes les autres en somme, pourtant tout me revenait en face comme si jamais je n’avais oublié ses formes, son parfum, son exquise haleine, et sa manière de me rendre pliable à son corps et ses désirs. Car enfin, je n’étais qu’un homme, et aucun être ne saurait résister à un tel appel charnel et irrévocable. Je n’hésitais pas à lui proposer de la prendre, de nous laisser une dernière nuit ensemble, car enfin je savais que dés que l’euphorie de l’instant sera passé elle retournait dans les bras de son homme. Elle l’aimait, et aucune jalousie n’entravait leur relation, ce n’était pas mon genre, et je ne m’étais jamais mêlé des affaires de Bliss après notre séparation, comme je n’aurais pas permis qu’elle mette son nez dans les miennes.

    C’était ainsi que cela devait se passer, et je me réjouissais de l’ironie de l’instant, et de tout ce que je découvrais d’elle à nouveau. Car enfin, je n’étais pas dupe, et je savais pertinemment qu’elle n’était pas le genre de fille à se satisfaire d’un homme jaloux et possessif. Pas Bliss, ce n’était pas la femme passionnée et libérée qui dansait contre moi qui était ainsi. Je le savais, et bien qu’elle se voile la face en espérant que l’amour qu’elle portait à Edwin était plus fort que son envie de vivre sa vie de femme libre je n’étais pas aussi certain de cela. Mais je me fichais des conséquences que cette nuit aurait sur sa vie amoureuse, elle se laissait aller dans mes bras ce soir, me faisant retrouver la femme qui avait occupé mes pensés et mes jours durant quelques mois il y a des années. Je me rendis compte qu’elle m’avait manqué, et que j’avais plus que réellement envie de profiter de cette soirée pour retrouver ces sensations perdues. J’avais eu d’autres petites amies après elle, des tas, en somme aucune n’avaient eu la même répercussion sur ma vie que Bliss. Pour le moment. Je pensais un instant au regard de la douce Macy, rencontrée il y a bientôt une semaine, et qui n’avait que peu quitté mon esprit depuis. Je me demandais ce que cela signifiait sans pour autant m’en torturer l’esprit. En ce moment ce n’était pas Macy que je tenais dans mes bras mais bien mon ex-petite amie. Honey …

    « Je ne jouais plus à présent, j’étais entièrement conscient que je me perdais dans la volupté du moment, et que jamais je ne me remettrais de tant de douceur. » Elle brisa notre étreinte, et je laissais échappé par inadvertance un gémissement mécontent. Mais je lui offris un sourire en coin, appel à la luxure, et qui constituait ma première arme de séduction sur elle lorsqu’elle prononça ces mots qui me firent perdre pied à la réalité qui nous entourait. Ma raison me quittait sous son touché, et j’aurais pu être assez fort pour me séparer d’elle si elle avait prétexté ne pas pouvoir supporter de me toucher, de passer la nuit avec moi. Elle savait les choses peu catholiques que j’avais en tête pour elle, tout ce que j’avais envie de lui faire, et j’étais bien conscient que je ne pourrais pas tout ré expérimenter ce soir. J’aimais la toucher, elle, surtout en sachant que j’avais été le premier à découvrir son corps à l’époque. Ce simple fait la mettait au rang de filles importantes. Cependant, je me refusais à présent d’être le premier pour une fille, car je n’étais pas plus intéressé par le sexe que j’étais respectueux envers les femmes. Je savais que j’avais été un beau salop avec Bliss, mais que cela lui avait été bénéfique en soit. J’avais hâte de voir les progrès qu’elle avait fait en la matière depuis cette fameuse première fois. En tout les cas, elle m’apparut bien plus entreprenante :

    BLISS — alors prends moi.

    Le baiser passionnel auquel elle venait de mettre fin me laissait essoufflé et chancelant. Elle était bien moins prude qu’à l’époque, et cela me ravit énormément. Elle était comme une sorte de fleur, une rose ou un freesia, que j’avais fait éclore, mais qui avec le temps avec rencontré nombre d’abeille, jusqu’à ce que je revienne à elle pour en redécouvrir l’arôme. Je sentais ma virilité douloureusement serrée, et je n’avais qu’une hâte : de pouvoir lui faire l’amour. L’envie ne me venait pas uniquement de la baiser, de la faire mienne comme si elle était une vulgaire inconnue, comme celle que j’étais venu chercher au départ en venant à cette soirée. J’avais envie de la faire mienne, d’honorer son corps, et de glorifier sa féminité de nombre façon que ce soit. Je voulais la faire gémir et crier mon nom, sans qu’il n’y eut aucun regret derrière. De mon côté en tous les cas, je savais avec pertinence qu’il n’y en aura pas. Je n’en avais jamais, aimant tout ce que la vie m’offrait. Surtout les femmes. Chacun de mes gestes avec elles étaient remplies de respect. Bien que mes actes me fassent souvent passer pour une ordure de première, en ce qui concernait l’aspect physique des relations que j’avais avec ces dames, je ne les obligeais jamais à rien, et m’assurais que ce soit aussi savoureux pour moi que pour elle. C’était tout d’abord pour le plaisir de ressentir que pour le simple fait de tirer son coup. Je n’étais pas ce genre de mec, macho et stupide, comme bon nombre de personnes pouvait le croire. Je m’en fichais cependant, et comprenais de telles rumeurs à mon encontre. Je ne blâmais pas mes semblables pour si peu, ils ne méritaient pas même que je leur en tiens rigueur. Il fallait apprendre à pardonner la bêtise, car sinon l’esprit ne serait que solitaire.

    Mais Bliss m’échappa, et je me sentis soudain conscient des corps qui m’entouraient, elle me tins la main jusqu’à ce que nous soyons sortis de la foule de danseurs, trouva son ami James et l’étreignit avant de disparaître. Je la laissais s’échapper, imaginant bien simplement et facilement qu’elle prendrait le chemin de sa chambre, et je souhaitais jouer un peu de son impatience et de la mienne aussi. Je me tournais vers James, pour lui serrer la main, lui offrant un sourire amical, et un « à très bientôt j’espère ! » qui en disait long sur nos intentions. Il rit lorsqu’à mon tour je quittais la salle, pour suivre Bliss d’un pas cependant nonchalant et calme, posé, qui cachait bien malgré moi mes sentiments. JE respirais profondément, en suivant le chemin de sa chambre que je connaissais assez bien. Je sentais mon corps battre à la chamade, ne se remettant pas des sensations dues aux baisers que nous avions échangés sur la piste de danse. Je m’arrêtais un instant et prit une grande inspiration. Le voile de désir m’aveuglait alors que je ne pris pas la peine de tenter de comprendre ce qui m’arrivait vraiment. Je repris ma marche avec plus d’entrent, arrivant bien assez tôt dans le couloir de la demoiselle. J’entendis sa porte se fermer, et refis une pause devant celle-ci. La première fois que je l’avais passé c’était des années auparavant, j’étais passé la chercher pour l’amener à une soirée en ville. Elle m’était apparue merveilleuses dans un short court, très court, en jean délavé, un décolleté plongeant – très plongeant – blanc, qui laissait deviner ses sous- vêtements, et des bottes qui lui faisaient des jambes immenses. J’avais failli la prendre contre la porte, mais elle n’était pas encore prête. Nous avions passé une soirée délicieuse. ET chaque fois que je passais cette porte je découvrais une Bliss différente, tantôt sulfureuse, tantôt timide. Sauf que cette fois je n’aurais aucune excuse pour ne pas la prendre contre la porte. C’est avec une sourire ravi sur les lèvres que je pris la poignet en main pour l’ouvrir doucement.
    Ma chemise était encore ouverte, et pourtant plus froissée qu’en début de soirée – et pour cause -. Mon jean risquait à tout moment de craquer, et la bosse qui s’était formée ne laissait aucune place à l’imagination quant à l’état dans lequel je me trouvais présentement. Je n’imaginais que peu le désordre qui devait être dans mes cheveux décoiffés, et qui me donnait un air sexy qui la ferait succomber en un instant. Je savais que mon regard était assombri par le désir, mes iris d’un bleu foncé étincelant fixé la douce créature qui se trouvait à présent livrée à mon regard et à ma soif de luxure. Je pris mon temps pour marcher sur elle. Tout d’abord, je pris soin de fermer la porte, à clés, afin d’éviter d’éventuel retour de la part de ses colocataires. Sait-on jamais. Ainsi, je me tournais pour lui faire face, et m’avançais vers elle, un sourire merveilleux sur les lèvres, créant un sourire narquois. Je ne la quittais pas du regard, et la saisit pour retrouver la douceur de ses lèvres. Je n’en fis rien, et frôlais à peine sa bouche pour découvrir le goût sucré de son cou. Je suçotais sa peau, doucement, sachant pertinemment que cela laisserait une marque violacée au matin, et devinant qu’elle ferait tout pour le camoufler, mais c’était trop tard, et mon suçon était fait. Je me délectais de la sentir, sa douce saveur de vanille et de rose sucrée. JE ris contre son cou, et soufflais doucement sur sa peau délicate. Je la sentis frémir directement contre moi. Mes mains prirent soin de la délester de ses habits, pour la retrouver en sous-vêtements dans mes bras, bien vite. Je ne l’avais toujours pas ré-embrasser, et je m’amusais de son impatience.

    JAMES — Douce et tendre Bliss, quand apprendras-tu donc la patience ? demandais-je en lui souriant.

    Je perdis mon sourire, pour la faire basculer sur le lit, me trouvant au-dessus de son corps à ma merci, les deux mains entourant son visage. Je me collais à elle, et je sus qu’elle sentit combien je pouvais la vouloir, proche de moi. Je gémis, un temps, et ne pus supporter de ne plus sentir ses lèvres sur les miennes. Je l’embrassais de nouveau, et le feu embrasa mes sens …
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Bliss M. Shadow

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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyDim 21 Mar - 14:38

    Pour tous, le désir est « une tendance qui porte à vouloir obtenir un objet connu ou imaginé » (Le petit Robert). Dans cette définition même, on laisse supposer que le désir peut être impossible, irréalisable puisque l'objet est du désir est parfois imaginé donc irréel. Ainsi on exprime un désir comme on formule un souhait, un voeu, mais ceux-ci peuvent être totalement absurde ou insatiable. Ainsi certains hommes aimeraient, souhaiteraient, désireraient que le monde soit parfait, sans guerre, harmonieux, mais à l'heure d'aujourd'hui on sait que ceci est impossible. Mais pourtant le désir est là. Toutefois, l'impossible désigne ce qui n'est pas, ce qui n'a pas été, ce qui ne sera jamais et ce qui ne peut pas être. Or le désir pour exister doit venir d'une expérience, d'une connaissance, d'une satisfaction passée ou décrite par autrui, que l'on a envie de retrouver. Le désir se fonde obligatoirement sur des antécédents, donc il ne peut être impossible. L'impossible n'existe pas, donc il ne peut être connu ni désirer. Finalement le désir peut-il être impossible ? Ou doit-il être obligatoirement de l'ordre du réel, du connaissable ? Peut-on désirer l'impossible ? La question semble se poser et fut d'ailleurs poser par de nombreux philosophes tels qu'Epicure, et pour y répondre d'autres questions s'imposent. Le désir peut-il être insatiable ? Quelles différences, quelles relations existe-il entre le désir et le désirable ? Et donc qu'est-ce que le désir ?

    Mon désir vers James semblait bien au-delà, c’était mon inconscient. Je ne veux pas digérer ou respirer, je ne veux pas non plus, du moins pas toujours, oublier ou bien retenir un fait en ma mémoire ; tout cela s'effectue automatiquement, presque à mon insu. De même, lorsque l'intensité de la lumière diminue, la pupille de mes yeux se dilate sans que je ne m'en rende compte : ce phénomène est dit inconscient. Les réflexes, les automatismes, les habitudes, en effet échappent presque toujours à la conscience. Mais de ce qu'un phénomène soit « in-conscient » ou qu'un individu n'en ait pas la moindre conscience, cela reste à prouver. Une distinction linguistique s'avère utilise au préalable. L'inconscient sous la forme d'adjectif ou bien de substantif. Ce n'est que sous la seconde acceptation que l'inconscient acquiert le statut de concept et détermine un sentiment ou une pensée. On parle de psychisme inconscient : un autre Moi en moi qui ne permet aucune intervention de ma part. D'un point de vue à l'autre, la valeur et le sens diffèrent, il s'agit alors d'une distinction conceptuelle sur la notion d'inconscient. Le substantif offre une autre perspective qui va à la suite ou à l'encontre de la première acceptation. Le problème que suppose l'approche à l'inconscient mérite certes une étude particulière. Il s'agit de se pencher sur le concept de l'inconscient comme une hypothèse dans toute la difficulté que suppose le fait même de le penser, de le nommer voire de l'interroger et de l'affronter enfin, au concept de conscience. Une chose certaines, ce soir James m’appartiendrais corps et âme.

    J’avais lutté contre mon désir de le sentir près de moi, contre cette envie transandante de lui appartenir. Mais j’avais vite compris que lutter serait impossible ; c’était comme lors de notre première nuit, j’avais longtemps souhaité lutter, au début n’étant simplement pas prête à passer ce cap comme dirait certains mais après avoir été prête, j’avais eu peur de ne pas être à la hauteur et d’une certaines manière de perdre celui qui faisait battre mon cœur. Et quand ce jour fut arrivé j’avais simplement foncée me disant que tout irait bien et que rien ne pourrait être mal tant qu’il serait à mes cotés. Et j’avais décidé de suivre mon cœur, et j’avais eu raison parce que se fut sans aucun doute l’une des meilleures expériences de toute ma vie, bien que j’avais la sensation d’être encore une enfant, mais ce soir la, cet enfant avait grandit devenant une femme d’une certaines manière. Et cette femme encore une fois je la lui devais.

    J’avais fait les cent pas dans ma chambre en l’attendant, les doses d’alcool que j’avais avalé c’était totalement évaporée, il devait sans aucun doute en rester encore un peu, mais j’étais bien consciente. Je savais pertinemment qu’Edwin l’apprendrais et que tout irait de plus mal après mais sa n’avait aucune importance parce que je désirais cet homme plus que tout au monde, j’avais lutté pendant longtemps contre l’envie de lui résister et quand je lui avais revu, à la bibliothèque j’avais compris que ce moment arriverait ; je n’étais pas de ces filles à passer par la salle de bain se refaire une beauté avant que son amant n’arrive. J’avais juste attendu avec une grande impatience, sachant parfaitement qu’il le faisait exprès. Puis il entra, sa touche sensuelle et son corps de rêves. Mes yeux fixant le blanc de ces yeux.

    JAMES — Douce et tendre Bliss, quand apprendras-tu donc la patience ? Demandais-je en lui souriant.

    Décidément j’avais l’impression qu’il me connaissait par cœur. J’aurais pu sans aucun doute lui sauter dessus, et lui arraché les vêtements qu’il portait sur le corps, mais je fis au mieux pour paraitre plus douce et sensuelle. Je me pris dans quelques mouvements sensuels devant lui. Souvent, la sensualité est perçue comme opposée à la sexualité. La sensualité est alors attribuée aux femmes et elle est comprise comme étant la capacité à donner et à recevoir de la tendresse et des caresses. Dans cette optique, la sexualité est reléguée à son aspect génital et elle est attribuée aux hommes. Ces attributions sont sans dues à ce que la femme est portée à demander des caresses de tout le corps alors que l’homme est plus porté à placer son attention sur les caresses génitales. Pourtant, la sensualité ne s’oppose pas à la sexualité et une personne peut être à la fois sensuelle et sexuelle. En outre, elle est bien plus que la capacité de partager tendresse et caresses. En fait, la sensualité c’est la capacité de vivre pleinement dans son corps et de prendre plaisir à son environnement au travers de ses cinq sens : le toucher, l’odorat, le goût, l’ouie et la vue.

    BLISS — ¨pose tes mains sur moi James.

    Il exécuta et je tremblais sous ses mains. En quelques secondes je me retrouvais nu dans ses mains, plus précisément à demi nu. Je portais un ensemble signée Victoria Secret, d’une couleur sombre, le noir, le glamour et le luxe par excellence. Épousant parfaitement mes courbes, d’une matière aussi douce que sexy. Un petit sorti et un soutien gorge parfaitement adaptée à mes parties. Doucement je passais mes mains sous sa chemise tout en déposant mes lèvres sur les siennes, je déboutonner chacun des boutons qui composés ce tissus qui se trouvait entre moi et le désir de sa peau. Il se retrouva rapidement en boxer, me laissant plus docile et désireuse que jamais. Il était temps … que les choses sérieuses commencent.
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James C. Owen

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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyMer 24 Mar - 19:10

    « Le sexe n’est pas un jeu, James. Lorsqu’une fille se donne à toi elle se met à nue. Elle est vulnérable, et tu te dois de la respecter, de faire en sorte que tout aille pour le mieux pour elle. ». Je me souvenais parfaitement des mots que mon père avait prononcés. C’était à mon retour de soirée, la première fois que j’avais passé la nuit chez une fille. La première fois que j’avais découché. Je sortais avec Camille à l’époque. Elle était la première fille avec laquelle je sortais, et j’étais encore assez inexpérimenté à l’époque. Ma première fois. Je ne m’en souvenais que peu, et je préférais d’ailleurs ne pas y penser. Cela n’avait pas été très glorieux. J’avais passé la soirée à boire avec les copains du bahut, comme de, bien entendu, avec elle, évidemment. Nous avions fini sur le capot arrière de ma voiture, nus et désireux de vivre enfin une expérience inédite pour tous les deux. Je crois pouvoir dire qu’en quelque sorte j’avais aimé Camille. Elle avait été la fille qui m’avait ouvert les portes du plaisir sexuel et sentimental. Nous ne sortions ensemble que depuis quelques semaines lorsque nous avons décidé de passer le cap. Suite à cette soirée nous avions couché encore plusieurs fois ensemble avant que je ne parvienne à rendre cela inoubliable. Dans ma chambre, enfermé, alors que j’avais été privé de sorti pour mauvaise conduite à l’école, elle m’avait rejointe. Par la fenêtre. Et j’avais trouvé cela plus qu’excitant à l’époque. Cette fille avait été capable de tout pour passer un instant de plus avec moi. Ce fut une expérience des plus intéressantes. Mais je n’en parlais jamais. Je savais que si j’ouvrais le deuxième de mes cahiers personnels, je retrouverais des photos de l’époque. Pas uniquement avec Camille, mais aussi avec Anthédora, parce que ma meilleure amie n’était autre que la sœur de ma première petite amie. Etait, car depuis il s’en était passé des choses. Durant longtemps j’ai pensé que le problème venait de moi, que Dieu me châtiait pour des pêchés que j’aurais commis par inadvertance. Que pouvait bien avoir fait un enfant de cinq, trois ou sept ans qui put mettre le grand créateur en colère ? J’y avais pensé, réfléchit, encore et encore. Après qu’Anthédora eut retrouvé le corps de Camille dans leur salle de bain. La baignoire ensanglantée, et le corps inerte. Morte, froide, nue. Après l’accident qui lui avait coûté ses deux jambes elle avait changé. Elle m’avait largué. Elle n’avait jamais fait le deuil de son handicap. Elle avait perdu ses rêves. Elle avait tout perdu. Parce qu’un putain d’enfoiré avait trop bu. Parce qu’elle me trompait. Après cela j’avais décidé qu’il n’y aurait plus de sentiment. Et je pensais avoir assez bien suivi la règle.

    Le sexe n’était pas un jeu, mon père disait vrai. Ou plutôt faire l’amour aux filles n’était pas un jeu. Les prendre dans des pièces noires, à l’abri des regards, une fois, une seule fois sans que personne n’en sache rien ce n’était pas un crime. C’était excitant, c’était amusant. Ce n’était pas plus sérieux qu’un jeu. Je ne saurais dire ce que c’était, à quoi cela se rapprochait le plus. Une sorte de manie, je dirais, une manière de passer le temps, d’échapper à la douleur, aux questions existentielles ou encore à la mort. Dans la chaleur humaine, d’une fille magnifique, alors qu’elle gémissait votre nom. Comment ne pas oublier le reste du monde dans un instant de pur plaisir. Je n’osais penser au bonheur, après tout à chaque fois que je le touchais du doigt il m’échappait, me tordait, me brisait. Je le fuyais comme la peste dés lors. Mais je ne me refusais jamais un plaisir éphémère, un instant, unique, qui s’enfuirait dans la brume d’une souffrance destructrice. Ces instants me permettaient de survivre. J’en profitais un maximum. C’est pourquoi je pris tout mon temps pour la rejoindre dans sa chambre. Que je pris le temps d’ouvrir la porte, de lui sourire en lui faisant un clin d’œil avant de refermer la porte doucement. Prenant la peine de fermer le verrou. Mais très vite, l’envie se fait plus pressant encore que de prendre les précautions d’usage. Heureusement, je ne sortais jamais en soirée sans avoir un préservatif dans ma poche de jean. C’est pourquoi je me laissais aller à jouer avec elle, l’embrassant sans qu’elle ne soit satisfaite du lieux où mes lèvres se posaient. Je riais contre sa peau, et la sentais de plus en plus impatiente, jusqu’à ce que finalement les mots sortent de sa bouche.

    BLISS — pose tes mains sur moi, James.

    J’étais sur elle, jetés en travers sur les draps de son lit. Elle ne portait que ses sous-vêtements, et durant un instant elle prit le dessus pour me délester des miens. Je l’embrassais, ses lèvres ne quittaient plus les miennes, elle m’enflammait. Mon corps incendiait vibrait contre elle, et mes mains caressaient chacune de ses formes. Elle voulait que je la touche, comme avant. Que je lui donne un plaisir insouciant, comme avant. Que je la fasse crier, comme avant. Elle voulait que je l’aime, que je glorifie son corps, comme avant. Une fois encore, de plus. Une fois de trop probablement. Mais je ne pouvais plus reculer, je ne pouvais pas m’échapper cette fois, quitter cet étreinte, rouvrir la porte et partir comme si de rien n’était. J’avais besoin de la sentir proche, plus proche encore. Ce n’était toujours pas assez. Mes mains se plaçaient sur sa poitrine généreuse, et je commençais déjà à redécouvrir son corps, parcelle par parcelle, doucement, mais passionnément. Je ne pourrais dire qu’il y avait une quelconque tendresse. Je prenais soin de ne pas m’attendrir. Aucun sentiment. Je lui enlevais le dernier haut qu’elle portait. Sa poitrine dévoilait ainsi devant moi semblait m’attirer, se tendre vers moi, me séduire, et ca marchait. Je la touchais, comme elle le désirait. Sur elle, j’avais quelque peu du mal à m’en tirer, et c’est pourquoi je la fis basculer. Sous elle, je la regardais avec plus de gourmandise encore. Les femmes se mettent à nues. Jamais je n’avais vraiment cherché à comprendre ce que mon père avait tenté de m’inculquer ce jour-là. J’avais toujours respecté mes partenaires, souvent j’avais fais en sorte que ce soit aussi bon pour elles que pour moi. Mais jamais je n’avais compris comment elles se ressentaient. Plus vulnérables. Plus faibles. Je le comprenais enfin. Ce n’était pas juste une histoire de sexe. C’était une manière de se donner, corps et âme pour elle. De se prouver une humanité, une douceur, une tendresse qui leur étaient chères. Bliss s’offrait à moi ce soir. Et ce n’était pas au James arrogant, prétentieux, orgueilleux, plongeait dans une spirale infernale de soirée, et de sexe qu’elle se donnait. Elle voulait que ce soir le premier homme qu’elle avait aimé lui fasse l’amour. Elle voulait que je lui fasse l’amour. Vraiment. ET elle ne sera pas déçue.

    J’arrêtais de l’embrasser, un instant. Je la regardais dans les yeux. Et cette étincelle pétillante me fit sourire, je me rendis compte que je me sentais bien, là, à moitié nu dans son lit, contre son corps. Je sentais son cœur qui battait, je sentais son souffle sur ma joue, je sentais ses jambes qui encerclaient ma taille. Et pourtant il n’y avait que ses yeux qui comptaient pour moi, ce regard qui en disait long sur ses sentiments, sur ce qu’elle ressentait en ce moment pour moi. Je ne le partageais pas. Ou alors, à ce moment, mes yeux devaient être le seul reflet du torrent de sentiment et d’émotion qui se déversaient en mon âme. Mais j’avais peur. Je me donnais à elle ce soir, et été presque ravie que ce soit pour une seule fois. Je pris son visage en coupe, caressant ses joues, elles étaient douces et chaudes.

    JAMES — Carpe Diem, Bliss. « and i didn’t mean to fall in love, but i did »

    Je l’embrassais, fredonnant doucement.

    JAMES — « and you didn’t mean to love me back » … « but i know you did … »

    Lonely September. La première fois que nous avions fait l’amour, cette chanson passait à la radio que nous avions laissé allumée. Je savais que la musique comptait beaucoup dans sa vie. Je savais qu’elle avait la voix des anges. J’adorais l’écouter chanter à l’époque, et encore aujourd’hui, j’adorerais. J’avais appris la guitare à l’époque de notre relation et je n’avais pas arrêté depuis. Ca faisait passer le temps lorsque mes livres me blasaient. Ce qui était cependant rare, mais pas extraordinaire. Je fredonnais ces seuls deux phrases avant de reprendre possession de ses lèvres, et de l’aidait à finir de se dévêtir. Nue, devant moi, c’était alors à moi d’en faire autant. Une fois que nos deux corps furent l’un contre l’autre, je repris place sur elle, le préservatif se trouvait près d’elle, mais je voulais que ce soit elle qui fasse le premier pas. Comme pour notre première fois, je me refusais à ce qu’elle regrette ne serait-ce que le moindre moment passés ensemble.

    « Oui, je sais papa. Et crois-moi. Nous avons aimé chaque instant passer ensemble… »
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Bliss M. Shadow

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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyMar 30 Mar - 23:24

    Ces plaisirs violents ont des fins violentes; Dans leurs excès ils meurent telle la poudre et le feu, Que leur baiser consume Désirer est-ce nécessairement souffrir ? En tant que tension vers un objet qu'on imagine pouvoir être source de plaisir ou de plénitude, le désir -comme le Janus bifrons- recèle une dualité constitutive. Comme "tension", il nous voue nécessairement à la souffrance. Ne désirons-nous pas en effet que ce dont nous manquons ? Manque qui nous condamnerait au jardin des Supplices. Mais comme "source de plaisir ou de plénitude", le désir nous promet l'accès au jardin des Délices en étant la condition de possibilité même de la jouissance. En effet, il est à considérer que l'on aime désirer. Et personne ne souhaiterait acheter la paix de l'âme au prix de la mort du désir. L'absence de désir s'apparente beaucoup plus au mortel ennui qu'au bonheur. N'est-il pas d'ailleurs, d'après Épicure, l'alpha et l'oméga de l'existence bienheureuse pourvu que l'on sache le satisfaire avec prudence et parcimonie ? Toutefois, des questions se posent et s'imposent: comment un manque peut-il être heureux et plein de vie ? Est-ce parce que le désir engendre l'illusion que nous voyons les choses ainsi, ou bien faut-il reconsidérer l'idée première selon laquelle le désir n'est que la trace, le stigmate d'un manque ? Comment sortir de cette ambiguïté, bien plus de cette ambivalence du désir ? Par delà la négativité du manque et la positivité de la plénitude, le désir ne pourrait-il pas être défini comme "manque positif" ?

    Le mythe de Prométhée, qui dérobe aux dieux le feu sacré de la connaissance, témoigne d'un certain désir de l'homme de dépasser sa condition et de porter son désir justement sur ce qu'il ne pourra jamais obtenir : le désir étant justement ce qui ne se satisfait pas de l'obtention de son objet. En effet, le désir meurt et renaît sans cesse. Ainsi, le désir est insatiable (on pourra se référer ici à Dom Juan. Il est donc presque logique que l'impossible fasse l'objet d'un désir, comme si l'impossible était par essence l'objet, l'horizon de tout désir. Comment rendre raison de ce paradoxe d'un désir voulant et ne voulant pas sa propre réalisation ? On le sait sitôt prise, la proie prise est méprisée. Le défi que représente une impossibilité technique pour toute intelligence, et l'attrait de l'interdit auquel renvoie l'interdit moral suffisent-ils à en rendre compte ? En premier lieu, on désire l'impossible pour le rendre actuel, réalisé; dans le second on le désire sans pouvoir ou même vouloir le rendre possible : l'homme ne serait-il pas un Dieu si tout lui devenait possible ? Aussi l'attrait qui régit ce désir semble profondément paradoxal : désire-t-on l'impossible pour le rendre possible, ou au contraire pour manifester une impossibilité presque salvatrice ? Rousseau dira: "Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible, qui le lui livre en quelque sorte, et pour lui rendre cette imaginaire propriété plus douce, le modifie au gré de sa passion. Mais tout ce prestige disparaît devant l'objet même; rien n'embellit plus cet objet aux yeux du possesseur ; on ne se figure point ce qu'on voit; l'imagination ne pare plus rien de ce qu'on possède, l'illusion cesse où commence la jouissance. Le pays des chimères est en ce monde le seul digne d'être habité et tel est le néant des choses humaines, qu'hors l'Être existant par lui-même, il n'y a rien de beau que ce qui n'est pas. Si cet effet n'a pas toujours lieu sur les objets particuliers de nos passions, il est infaillible dans le sentiment commun qui les comprend toutes. Vivre sans peine n'est pas un état d'homme; vivre ainsi c'est être mort. Celui qui pourrait tout sans être Dieu, serait une misérable créature ; il serait privé du plaisir de désirer ; toute autre privation serait plus supportable … Le fruit des mes désirs se caractériser sous James.

    Un dernier regard mes yeux, une dernière étreinte mes bras, et vous, mes lèvres, seul le souffle vital, scellez d’un légitime baiser cet éternel pacte avec une mort vorace Maman répétait sans cesse « Chérie l’amour, l’acte en lui-même doit être le fruit du bonheur, ne l’oublie jamais trésor » cela fut toujours si simple pour elle. A l’époque il y avait tant de coutume que je doute qu’elle est connue un autre homme que mon père, et le jour ou je lui avais annoncé ma sortie officiel avec James, elle avait assez mal réagit, ne comprenant pas que j’étais simplement amoureuse de lui et que je désirais chaque parcelle de son corps et son cœur. Le souvenir du jour ou il avait franchi ma porte pour la présentation à mes parents restait encore gravé en moi, l’accueil froid de ma mère face à cet homme et moi encore peureuse face à cela. Et ce soir la je m’offrais à lui.

    JAMES — Carpe Diem, Bliss. « and i didn’t mean to fall in love, but i did »

    Comme ce soir, ces baisers, mes désirs, mon corps plus désireuse que jamais. Et sa peau sur la mienne.

    JAMES — « and you didn’t mean to love me back » … « but i know you did … »

    Les souvenirs furent intacts mais ce soir c’était encore mieux, sans pressions, juste nous se désirant l’un l’autre. Enfin nue dans ces bras l’impatience me hanté, mes sens étaient plus sensible que jamais et ensemble nous plongions dans l’acte pur et beau du sexe. Je ne fus que peut surprise de ressentir les mêmes sensations plus exaltantes et attirantes qu’auparavant. Nos lèvres ne formèrent qu’une seule et même unités et je pouvais dire que ce fut l’une des plus belles nuit de ma vie.

    BLISS — James …

    Murmurais-je au creux de son coup. Maman ne t’en fais pas je suis heureuse et tout est parfait La splendeur de ses joues aurait de quoi humilier les étoiles comme la lumière du jour une lampe. Et ses yeux, en traversant les espaces du ciel, resplendiraient si clairs que les oiseaux chanteraient, croyant que la nuit est finie.< :I>< :UL>
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James C. Owen

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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyVen 9 Avr - 17:07

    « L'amour est une fumée de soupirs ; dégagé, c'est une flamme qui étincelle aux yeux des amants ; comprimé, c'est une mer qu'alimentent leurs larmes. » Ni a-t-il rien qui ne fut véridique dans la beauté de l'amour passionnel qui lit Juliette à son Roméo. Je n'ai lu ce livre que tard, ou devrais-je dire, cette pièce de théâtre de Shakespeare. Et si nous ne sommes en aucun cas certains de la véritable identité de son auteur, il est pour autant d'une évidence certains que la beauté de la langue de mérite pas son dénigrement. Les imagines clichés des romantiques guimauves qui de nos jours se lèchent le visage en publique, souhaiteraient trouver un semblant de comparaison dans la prose de l'auteur anglais. Il n'en est cependant rien, et l'amour qui lit le couple maudit n'a rien qui ne fut comparable à l'envie sexuelle de ne pas être seul dans la société dans laquelle nous vivons à présent. Juliette, à la vue de son Roméo, n'est plus Juliette. Il y a tant de différence entre la jeune Capulet qui se trouve être vierge d'une tendresse religieuse, prête à tout pour complaire à son père et aux demandes de sa mère. Elle devait se marier à Paris, dans l'optique de garder pour les Capulets, la richesse des Capulet, jaloux de la convoitise des Montague. Pourtant rien ne saurait la défaire de l'emprise que Roméo a sur elle des le premier regard. Vivant soudainement, prenant en main sa vie pour en faire ce que bon lui semble, elle l'offre à celui qui vole son âme, son être et son coeur dés le premier regard. Le coup de foudre, le vrai, celui qui lit les âmes à jamais dans une passion destructrice qui ne sauraient les lier que dans la mort. Mortelle, toute passion est mortelle, et il n'en ai aucune qui ne puisse survivre à l'éternité. Les Hommes, faibles, ne survivent pas à de tels émotions qui déchirent les entrailles, et qui rendant à nue l'être que nous sommes réellement. Juliette n'est alors plus elle, elle est la Juliette de Roméo, et ce simple déterminant possessif ne saurait qu'illustrer une idée bien trop abstraite pour que de simples mots puissent la faire naitre. La Juliette de Roméo. Tout comme il devient Son Roméo, d'ailleurs, car le jeune adolescent amoureux de Rosalie au début de la pièce, rend la souffrance d'un amour à sens unique pour la beauté d'une passion partagée. Tout passe dans le style, alors qu'écrivant des poèmes amoureux pour sa dulcinée, Roméo se trouvait être un bien piètre poète aux yeux de Rosalie, qui d'ailleurs ne se montre pas durant la pièce. Et dés lors que ce fut pour Juliette, possédée par la beauté de la jeune fille de 13 ans à peine, il se trouve être un compositeur de talent, un orateur aux talents stylistiques étonnant. Il n'est plus Roméo, ce dernier disparait avec sa tristesse et ses clichés romantiques. Shakespeare réinvente la passion, la mort, et l'amour, dans une pièce déchirante qui laisse patois. N'importe quel lecteur - bien qu'il connaisse la fin tragique de leur existences - souhaiterait que Roméo arrive plus tard sur le tombeau de sa douce.

    Décidément, rien ne saurait me défaire de l'idée que la comparaison avec n'importe quel couple de cette école, ou du monde entier d'ailleurs, serait bien mal appropriée. Il avait tant de mesquinerie dans les couples de nos jours, l'amour n'était plus même à l'honneur, alors qu'il se satisferait d'un peu de routine et d'échanges physiques réguliers. Mais rien n'arrache aux Hommes leurs habitudes, rien ne les rend plus faible que les habitudes et les clichés. J'avais lu Roméo et Juliette, enfin, quelques temps après ma rupture avec Bliss d'ailleurs, qui adorait son roman. Et moi qui la voyait comme une douce romantique, je n'en avais pas trouvé l'intérêt, m'attendait à y voir une histoire à l'eau de rose bien trop stupide et guimauve pour que je puisse aller jusqu'au bout de l'histoire. Je l'avais lu en une heure à peine, et si tôt le livre refermait je m'étais empressé de le ré-ouvrir, cherchant des passages que j'aurais sauté par mégarde, une feinte où je saurais tomber, une ironie cachée sous les vers. Mais rien ne retirait à ce texte la noblesse qu'il m'inspirait. La beauté, la magnificence de ce récit, qui en faisait un chef d'oeuvre aux yeux du monde m'avait ému. « Les messagers d'amour devraient être des pensées, plus promptes dix fois que les rayons du soleil, qui dissipent l'ombre au-dessus des collines nébuleuses. » Je ne sais combien de fois j'avais ouvert les pages à présent jauni par une main crasseuse d'écrivain. Des tâches d'encres recouvraient les pages, car cette pièce était devenue une sorte de modèle pour certains des romans de la collection Harlequin que j'écrivais. Tous le monde connait Roméo et Juliette, mais combien on réellement lu ce roman comme je l'ai lu ?

    Et comment pouvais-je ne serait-ce qu'un semblant de pensée cohérente à ce moment là, alors que le corps de Bliss frottait contre le mien risquait de me libérer de mon envie sur le champs. Elle avait changé, c'était indéniable, la jeune vierge que j'avais eu dans mon lit des années auparavant était devenue une demoiselle de luxure et de désir. Elle était belle ainsi dans mes bras, et je ne me rassasiait guère de tout ce qu'elle avait à m'offrir sur le champs. Tout de suite, ses bras m'entouraient, et je sentais l'envie de la faire mienne me rendait fou. Je sentais deux entités qui se battaient pour ma raisons reprendre le dessus, et je n'étais pas d'humeur à me battre. Pas ce soir, sous l'effet de l'alcool que j'avais ingurgité plus tôt dans la journée. « La vertu même devient vice, étant mal appliquée, et le vice est parfois ennobli par l'action. » Etait-ce si mal à l'instant de ne plus me soucier de son bien être autant que de mon besoin pressant de la sentir plus proche de moi encore. J'aurai pu avoir un semblant de raison si mon nom prononçait par ses lèvres pulpeuses n'avait pas fait frissonner mon corps entière. Pouvait-on jouir d'une telle clameur ? Sa bouche se posa sur mon cou, et je sentis le choc électriser mon corps entier. Mon envie devenait douloureuse, je risquais de ne plus pouvoir me contenir. Pourquoi devrais-je en outre me retenir ? Je la voulais, elle, dans mes bras, et j'avais à présent la certitude que c'était bien moi qu'elle souhaitait. Elle voulait que je la fasse mienne, de nouveau. Et dire qu'elle m'avait reproché mon manque de sincérité, et mon infidélité. La boucle était à présent bouclée. Elle m'était égale, similaire, semblable. Mais bien que je sois ravi de m'en rendre compte, ce ne sera que le temps d'une nuit. Une dernière nuit ensemble, Bliss.

    Je pris le préservatif laissait sur le côté et le mit avec des gestes surs, amples. C'était toujours les mêmes qui revenaient à chaque fois. Les préliminaires. Le baiser, mouillé, puis approfondit. Avec la langue, dansant, se battant pour prendre le dessus sur l'autre. Les caresses, les mains qui explorent le corps de l'autre, et le délestent des vêtements qui font barrière à la découverte des premières sensations. L'exploration, des seins, du ventre, des jambes, avec la langue, les mains, la bouche. Puis, l'envie, soudaine, les supplications, ou la raison qui sommeil enfin pour laisser place à l'instinct pure et aux hormones. Je n'étais plus qu'une boule de nerfs en fusion. Après, il faut penser à être raisonnable, et se protéger, autant pour son bien être que pour le mien. Suite à quoi, tout peu commencer enfin. Ayant finit jusqu'à présent, je me replaçais sur elle, la regardant dans les yeux, je pris chacune de ses mains dans les miennes, et la maintins fermement sur son lit. Ses yeux brillaient d'une émotion particulière. Je réprimais les miennes. Une dernière nuit. J'entrais en elle, la faisant mienne, telle qu'elle le désirait, telle que je le souhaitais. La danse des sens, les va et viens langoureux, passionnelle, rapide, lent, souple, puissant, tout cela pouvait reprendre encore une fois. Une dernière fois avec elle. Le sexe, pure à proprement dit, n'existait pas. Il n'y avait que des gestes, les mêmes qui rendaient les Hommes faibles et prisonniers de leurs hormones.

    Je la regardais dans les yeux, toujours plongeant sur son corps, le sueur perlait de mon front, mes muscles puissant se bandaient sous la force de mes mouvements. Je frémissais, j'étais essoufflé, et je gémissais dés que les premières vagues de chaleur, le feu brulant en moi, amenait avec lui son lot de douceur, de tendresse et de plaisir.  « L'amour est une fumée faite de la vapeur des soupirs.». Je ne détachais pas mes yeux des siens.

    JAMES — Tu es mienne, Honey { en français dans le texte }

    Et sous les coups de rein incessant, sous la clameur d'un jour incertain, encore et encore, je la faisais mienne. Et je me mis presque à en apprécier l'idée ...
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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyDim 11 Avr - 22:32

    «L’amour des jeunes gens n’est pas vraiment dans le cœur, il n’est que dans les yeux.» Il m’arrivait parfois de regretter la douce époque ou l’amour régnait réellement. Enfaite je rêvais simplement de retournée à l’époque de Shakespeare, de Molière ou de Voltaire. A l’époque ou tout était simple selon les coutumes, et ou l’amour n’était pas qu’une vague histoire de coucheries. Mais ou cela représentait réellement quelques choses, sacrifice, passion, désir et voluptés. C’était sans doute l’une des raisons qui faisait que j’adorais lire les histoires datant du siècle dernier. Et particulièrement Roméo et Juliette. Et parfois je rêvais moi aussi, d’être l’une d’entre elle. Les rues de Paris sont de plus en plus belles, le soleil couvre la capital française de son doux hale d’été qui arrive doucement. Les rues sont pleines, à chaque rayon de soleil, les habitant profite de se plonger dans une promenade familiales. Un grand bal à lieu ce soir, le genre d’événement que toutes les jeunes femmes du pays ne souhaitent absolument pas raté. Tous les plus beaux partis Parisien s’y trouverons à la quête d’une femme pouvant comblé leurs désirs encore secret. A l’époque, les dires ou les esprits frivoles non pas leur place. Pour être accepté, il faut être bon sous toutes coutumes. Belle et intelligente, sans l’être trop. Connaissant sa place dans le monde, savoir être une bonne femme au foyer et être à la hauteur de son mari. Cette soirée se déroula dans un immense jardin, décoré pour l’occasion, les gens les plus prestigieux ayant déjà reçu leur invitation. Mais une présence est attendu ce soir, il s’agit d’une des femmes les plus belles et importantes à Paris. La duchesse Bliss Shadow elle est tout ce qu’une femme doit être, elle est d’une beauté et d’une grâce incomparable, elle parle plusieurs langues, lit et sait écrire. Elle est brillante et c’est tout à fait se tenir en société. Elle est à elle seule, la convoitise de bien des hommes. Mais Bliss reste une jeune femme comme beaucoup, rêvant un jour de décrocher le grand amour. Naître dans les plus grandes familles impose des règles. Les parents de Bliss on un avenir bien tracée pour le jeune princesse. Elle épousera Lord Nicolas, un homme brillant et bon sous tout rapport. Leur première rencontre aura lieu ce soir. La salle est pleine, les gens dansent gaiment, surmontant les malheurs de la vie de tout les jours, en espérant que demain ils ne seraient pas la. Bliss toujours aussi élégante arrive en compagnie de sa famille, annoncée par Bart Jones le majordome de la soirée. Comme pour chaque apparition, les yeux se tournent sur eux. Tentant de garder son calme elle avance. Et quand ces yeux se posèrent sur ceux de cet homme, elle comprit que c’était lui, non pas pour sa richesse ou pour sa beauté, mais parce qu’elle senti pour la première fois son cœur battre la chamade. Il n’y avait nullement besoin de preuve, d’un rendez vous par sms fixée par une sorte de site web stupide, mais juste un regard qui lui seul en disait long sur l’amour, la passion et la tendresse de deux êtres.

    A mon grand désespoir, l’amour été devenue une chose si cupide, si simple et si physique qu’elle avait perdu tout le sens poétique de sa beauté. Et je trouvais ça à la fois si stupide et bête de voir comment les choses c’étaient transformer et avaient changé. Ce fut sans doute l’une des raisons qui me poussèrent dans les bras de James cette nuit, il avait ce coté poétique et littéraire qui le rendait chaque jour plus intéressant à mes yeux. Au fond il était un passionné. Bien qu’il fut arrogant, prétentieux, sur de lui et parfois même un peu dur avec l’humanité. Il restait si … - mais de quoi tu parle Bliss – en toute réalité à cette instant, rien ne comptait plus que la chair de leur chair, que l’instant magique qu’ils partageaient une dernière fois, une douceur dans les étoiles. Un moment voluptueux, tendre et totalement dépourvu de tout sens. Et au fond seules ces mains sur moi avaient une quelconque importance. Ensemble nous ne faisions qu’un à cet instants.

    Mes mains parcoururent, chaque partie de son être dans une douceur extrême. J’avais presque l’impression de redécouvrir son corps et son âme. Et même parfois de redécouvrir le sexe. Ce n’était nullement un mensonge de se dire que oui il provoquait en moi des sensations plus qu’agréable. « Hélas ! Faut-il que l’amour, si doux en apparence, soit si tyrannique et si cruel à l’épreuve ! ». Tout commença comme une douce mélodie, dans des délicieux mouvements, nos deux corps, se trouvèrent cherchant à explorer l’autre part tout les moyens, baisers, effusions, langue, main et chacune de nos parties jusqu’au moment intensif ou tout recommença plus sensuellement qu’auparavant.

    JAMES — Tu es mienne, Honey { en français dans le texte }

    J’ignorais qu’il parlait Français, cette langue si belle et délicate. Je ne savais que quelques mots et pourtant il ne me fallut pas longtemps pour comprendre ce qu’il disait. Sous mes draps de soie, nous partagèrent plaisir et passion. Les doux mots qui sortirent de mes lèvres, mes soupirs et gémissements, ma douce voix prononçant son nom dans un essoufflement.

    BLISS — For ever

    Je me surpris à prononcer ces mots. Ce n’était pas une promesse, juste le fait que oui j’étais sienne. Ici je veux fixer mon éternel demeure, et soustraire au joug d’adverses étoiles cette chaire lasse du monde. Mes yeux un dernier regard, Mes bras un dernier baiser, vos lèvres portes de l’âme humaine scellées d’un baiser légitime votre éternel pacte avec le sépulcre.
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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyMar 13 Avr - 16:24

    « il n'aurait pu admettre que ce ne fut qu'un jeu, cette fois du moins. il se perdait dans la volupté de l'instant, oubliait tout ce qui ne fut pas lui, ou elle, ou eux, qui les entouraient, qui les regardaient comme si ils furent la dernière pièce d'un musée sauvé des eaux. il haïssaient leurs regards, autant qu'il aurait souhaité ne jamais arriver à ce moment. il attendait, et chacun dans la pièce espérait qu'il prononce ce mot, ce discours, simple et unique, qui l'enfermerait à jamais dans une bulle de confort, dans le château brillant de celle qui deviendra sienne. il ne la regardait plus depuis longtemps déjà. son regard tournait vers la foule, il aurait préféré disparaitre que de se laisser aller à la beauté de l'instant enchanteresse. mais c'était dans les mœurs, et tout duc qu'il soit il ne pouvait rien changer à cela. son destin était tracé depuis le jour du mariage de ses parents, il aurait voulu pouvoir l'accepter, et fanfaronnait à tout va à annonçant à ceux qui voulaient bien l'entendre qu'il s'en fichait. pourtant, il regrettait, et aurait souhaité se confesser plutôt de d'être là, malgré le fait qu'il ne croit pas en un être supérieur, là-haut pour les observer tous, et les châtier pour leur faute. il avait pêché, et c'était résignait à l'enfer et au purgatoire de chaque jour sur cette terre. mais il ne voulait pas que les siens en rajoute à son malheur, et alors dans cette église, sous le regard de dieu, et sous les murmures impatients de sa famille et de la sienne, et lâcha ses mains, et soupira. de nouveau, il leva les yeux au ciel, et pria silencieusement, se jurant de se venger une fois mort, car à présent il ne pouvait plus reculer. il l'a regarda, une dernière fois, la trouvant jolie, peut-être et prononça ses voeux, sans sourire et sans joie. c'était ainsi que les choses devaient se passer, et il ne pouvait rien y faire, alors lorsque Dieu lui demanda d'être son époux, de l'aimer jusqu'à la fin des temps, il acquiesça, et se laissa aller à mourir doucement de la perte de sa liberté. »

    La libération arrivera bientôt, je sentais de plus en plus mes membres se tendre, mes muscles se bander, et ma tête tourner sous la chaleur de l'extase. Mais je n'arrêtais aucun mouvements pour autant, et m'enfoncer encore et encore dans sa douceur, sa moiteur, sa chaleur, retrouvant des sensations qui me semblaient perdues jusqu'à présent, et appréciant plus que de raison de me retrouver dans ses bras à elle ce soir. Elle murmurait mon nom, d'une voix roc qui en disait long sur l'état dans lequel elle se trouvait en ce moment même. Je me trouvais toujours au-dessus de son corps, et je la dominais, comme la première fois que nous avions fait l'amour. Je me refusais à m'en souvenir, trouvant que ce genre de remémoration en un tel instant était fort malvenu. Je me contentais de l'écouter, grogner et gémir, dans des paroles sans fondement et sans logique. Je me souvenais de tout, d'elle, de son corps, et de la manière de le toucher pour qu'elle atteigne les cimes du plaisir avec moi. Dans un tel moment, sous les vagues de chaleur, et l'intensité de mes sensations, je me pris à retrouver mes racines, me dévoilant un peu plus. Je ne me souvenais pas si elle connaissait mes origines suisses. Je ne parlais jamais français avec elle, ou avec les autres d'ailleurs, peu étaient ceux qui me savaient bilingue. Et pourtant, c'est en français, cette langue de noblesse, que je pris possession du moment. Pour toujours, me dit-elle, et je me refusais à la contredire.

    Etait-ce réellement pour toujours. M'aimait-elle encore malgré sa relation avec un autre homme que moi. Est-ce qu'elle arrivait à vivre avec cela sur la conscience, et après ce que nous venions de faire. Je m'en fichais en réalité, et la manière dont elle gérait sa vie ne me regardait guère. Je me contentais d'être présent, dans ses bras, et d'atteindre cette volupté que nous attendions tout deux. Je commençais à sentir mon corps se tendre, et je me sentais près à exploser en elle. Je sentais la libération, proche, trop proche, trop présente pour que je puisse me contenir, et dans un grognement de satisfaction intense, je me déversais. Je murmurais son nom, doucement, et ne stoppais tout mouvement que lorsque je sentis mes forces me lâcher. Je me couchais sur sa poitrine, un instant, reprenant mon souffle, déglutissant, fermant les yeux, et profitant uniquement de la légèreté du moment. Mais très vite nos corps ainsi en sueur devinrent l'origine d'un mal aise physique évident. Alors je me levais, la laissant respirer plus librement, et enlevait la capote qui se trouva être déchirée.

    JAMES — BloodyHells ! Fais chier !

    Je me levais, l'enlevais, et allais la jeter. Je retournais alors dans le lit, et m'assis, en travers en regardant Bliss, amusé.

    JAMES — Si j'avais su que je passerais la soirée avec toi j'aurais pris une taille au-dessus ! { dis-je en lui faisant un clin d'oeil entendu } D'ailleurs il m'a étonné que tu te jettes sur moi aussi sauvagement. Y aurait-il des nuages à Happyland ?
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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyMer 14 Avr - 19:10

    Je ne serais expliquer le pourquoi du comment, ou les choses qui m’eurent poussé, aujourd’hui dans cette pièce, avec cet homme qui était très loin d’être mon petit ami. Je refusais de coucher avec un homme pour coucher, à mes yeux l’acte en lui-même était le reflet de l’amour, d’un sentiment et d’un désir. Il y avait deux choses essentiel à mes yeux, c’était tout d’abord une chose à ne pas prendre à la légère, j’avais vraiment attendu d’être prête à passer ce cap, elle avait voulu être sur d’elle, sur de la personne qui l’accompagnerais, je voyais sa comme un moment magique à partager avec quelqu’un qu’on aimait réellement. J’étais trop Bliss pour sa, la seconde était la protection, valeur sur, car elle le savait elle n’était pas encore prête pour un enfant, les souvenirs du discours de sa mère sur la naissance, maman disait toujours que ma naissance avait était le plus beau moment de sa vie. C’était en plein moi de juillet, le soleil brillait intensément dans sa ferme, entouré de l'homme qu'elle aimait plus que tout au monde. La journée ne pouvait pas mieux se passait m'avait elle dit, et pourtant son rayon de soleil c'était agrandit, elle parlait toujours de la maternité, comme d'un réel bonheur, quelques choses de totalement magique, un peu comme un rêve a la cendrillon. Je percevais sa moi aussi comme telle, petite je jouais souvent à la maman avec mes petits chatons, c'était bien sur stupide mais agréable. Juste sentir leur présence et leur petite mine quand je leur souriais. Bien sur ce n'était pas comme un enfant mais j'espérais un jour pouvoir offrir sa, un enfant, une preuve d'amour mais aussi une sorte de petite chose que je pourrais laisser dans ce monde. Bien sur je n'étais pas encore prête je me sentais trop jeune, débutant dans la vie, ne sachant pas réellement de quoi demain serait fait, et surtout je n'avais pas trouvé l'homme qui pourrait m'accompagner à chaque seconde de mon existence. Mais je ne le cherchais pas j'attendais simplement qu'il approche. Edwin sans doute, mais en ce moment seul James avait possession de mon âme.

    Hors de l’amour, il y avait James et moi, dans ma chambre en désordre mais il était la aussi surprenant que cela puisse paraitre. Je n’avais jamais pensé à retourner envers lui, en effet malgré le fait qu’il avait prit cette partie dans ma vie, je ne pouvais pas imaginer pouvoir lui accorder une seconde chance. J’étais faible à l’idée de lui offrir une seconde chance et lui comme moi savions au fond de nous que nous n’avions plus rien à faire ensemble, même si mon fond profond avait longtemps espérer un changement ou qu’il revienne un jour. Et l’autre par voulait qu’il ne revienne pas dans le sens ou la peur de tombé était encore plus profonde que le reste. Mais il fallait être réaliste il ne changerait jamais. Il restera brillant, sans doute mystérieux et d’un coté totalement impossible à comprendre. En réalité il était une énigme à lui seul.

    Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos étalons. Mes bras frôlèrent chaque parcelle de son corps dans l’espoir infini de retrouver ce que je cherchais depuis bien longtemps, l’extase, le plaisir infini et un orgasme profond. Nous étions dans la partie la plus dense de notre désir, de notre plaisir ensemble. Puis je le senti froid et un peu énerve de cette nouvelle situation et quand il se leva, je respirais profondément.

    JAMES — BloodyHells ! Fais chier !

    Un problème technique si nous pourrions dire ainsi, je me redressais un peu, laissant tomber mes cheveux sur mes épaules. Je le fixais à travers la soleil qui sortait de ma fenêtre se déposant sur ma peau. Je reprenais doucement ma respiration avant de m’assoir sur le lit, attirant la couverture sur ma peau.

    JAMES — Si j'avais su que je passerais la soirée avec toi j'aurais pris une taille au-dessus ! { dis-je en lui faisant un clin d'œil entendu } D'ailleurs il m'a étonné que tu te jettes sur moi aussi sauvagement. Y aurait-il des nuages à Happyland ?

    Son petit humour ne pu que me faire rire. Mais au fond c’était réaliste je vivais dans une petite ville, un monde tel que les bisounour cherchant à satisfaire le plus de monde possible avant de penser au mien.

    BLISS — Depuis quand tu t’intéresse à mon Happyland ?

    Juste un petit pique, mais il se rapprocha vite de moi, et je ne pu m’empêche de sourire et de passer ma main sur son visage, son doux visage.

    BLISS — A l’époque je n’ai rien dit mais tu es beaucoup mieux quand tu te tais … ( je sentis qu’il allait me lancer un petit pique, ou une petit réflexion ) … Chut et approche.

    J’approchais doucement déposant mes lèvres contre les siennes et attirant son corps contre le mien.
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James C. Owen

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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyJeu 15 Avr - 15:44

    En y réfléchissant après coup, je ne m'étais pas attendu à ce que cette soirée ce termine ainsi. Si j'avais connu avant les liens qui unissaient Bliss et James, l'organisateur de la soirée, cela ne m'aurait pas gêné outre mesure pour m'y rendre. A ce que j'en savais - car les rumeurs allaient bon train sur tout et tout le monde dans les deux universités - Bliss et Edwin filaient le parfait amour, avec cependant quelques moments difficiles. Mais n'y en avaient-ils pas dans tout les couples ? Pour le bon exemple que j'en avais avec mes parents, l'amour n'était qu'une immense mascarade, et pour ma part je n'y croyais absolument pas. Je dirais plutôt que c'était un terme trouvé pour désigner une relation qui comprenait une entente cordiale et une forte attraction sexuelle. Si j'avais envie de Bliss, je ne m'entendais en réalité que peu avec elle, et même si cela fut le cas avant, c'était à présent de l'histoire ancienne, et cela était bien clair dans mon esprit. Je ne voulais pas reprendre une quelconque relation avec elle, loin de moi l'idée de jouer avec elle de nouveau et de l'arracher au « bonheur » qu'elle vivait avec Edwin. Je ne l'aimais pas plus que cela, et mon colocataire était pourtant un garçon discret et gentil. Mais qu'est-ce qu'il pouvait être chiant, et passez moi l'expression. Il était d'une fidélité exemplaire, et on pouvait dire qu'il l'aimait sa dulcinée, mais c'était à croire qu'il ne vivait pour rien d'autre qu'elle. J'imagine que c'est cela qui devait plaire à Bliss, en tout cas qui l'avait séduite au départ, car si lui était fidèle il tenait à ce qu'elle le soit ici, quitte à ce qu'elle n'est plus aucun contact avec les autres hommes. Comme moi par exemple. En connaissant mon caractère libertin, Edwin aurait eu du mal a accepter que je sois sorti avec sa chérie. Le savait-il ?

    En somme, je m'en fichais, comme je le disais tout cela était une mascarade, et je doute que Bliss n'en soit pas déjà convaincue, comme moi. Si elle avait espéré lorsque nous sortions ensemble que ce soit pour la vie - comme toutes les petites princesses - je ne pensais pas qu'elle pouvait s'imaginer passer sa vie avec lui. Remarque, peut-être si elle en était réellement amoureuse. Pas que cela m'importe vraiment, mais ca m'intrigue plus que de raison, et je souhaitais en connaitre d'avantage. L'aimait-elle ? Est-ce qu'elle allait finir sa vie avec lui ? Est-ce qu'elle se marierait avec lui ? Est-ce qu'ils auront plein de petites Blissounette et de petits Edwinchow ? Je pouffais de rire à l'idée mais stoppait net avant d'avoir le droit aux questions stupides qu'elle serait capable de me poser jusqu'à savoir pourquoi est-ce que je riais. Assis, sur son lit, je lui demandais alors pourquoi elle était ici. Et surtout pourquoi moi j'y étais, dans une question tout à fait ironique et sarcastique à souhait. Sa réponse l'était tout autant en outre.

    BLISS ~ Depuis quand tu t’intéresse à mon Happyland ?

    Je souris et la regardais avec un air de sérieux mêlé à un soupçon de moquerie.

    JAMES ~ Depuis que tu te sers de moi pour évacuer ta frustration sexuelle !

    Dis-je avec un air outré et entendu. Comme si cela fut évident. Si ca l'était pour moi je doute qu'elle souhaite voir les choses ainsi. Mieux valait ne pas se poser ce genre de questions, et si cela ne me mettait pas spécialement dans une situation difficile, je doutais qu'il en fut de même pour elle. Est-ce qu'elle savait qu'elle risquait de perdre Edwin à présent ? Si il l'apprenait je doutais qu'il soit capable de lui pardonner. LE connaissant avec son caractère outrageusement possessif et jaloux. Il faudra aussi que je pense avec à changer de chambre. J'étais plutôt bien foutu, mais face à Edwin en colère et cocu, je doute que je puisse faire le poids ... A les femmes ...

    BLISS ~ A l’époque je n’ai rien dit mais tu es beaucoup mieux quand tu te tais … ( j'allais lui lancer une réflexion bien trouvée mais ) … Chut et approche.

    Je retins un rire alors que déjà elle m'entrainait de nouveau sur le lit.

    JAMES ~ A vos ordre Colonel ! Garde à vous !

    Je sentis que mes mots prirent soudainement tout leur sens au niveau de sa cuisse collé contre mon entre jambe, cette fois je ne cachais pas mon hilarité.

    JAMES ~  Je ne parlais pas littéralement mais ...

    Finalement elle réussit à me faire taire ( encore ) en m'embrassant fougueusement, et si j'étais tout aussi excité qu'elle de nouveau ( cela relève de l'exploit lorsque l'on sait qu'en théorie un homme ne peut pas avoir plusieurs orgasmes d'affiliés ... mais je pense ca, je pense rien ... ) je ne pouvais pas pour le moment lui donner ce qu'elle désirait. Et alors que ses mains se firent baladeuses, je me détachais un peu d'elle, essoufflé.

    JAMES ~ Bliss, mon chat ... il faut que nous ... nous ... nous protégions ...
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Bliss M. Shadow

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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyDim 18 Avr - 12:33

    Il y a deux choses dont j'étais profondément certaine, la première était que j'étais passionnément amoureuse de lui, pas un petit amour sans lendemain comme la plus part des jeunes vivent maintenant mais je parle de quelques choses de sincère, de tendre et de profond. J’aimais Edwin trueblood de tout mon être, et sa personne ne pouvait en dire le contraire, c'est vrai que ce n'était pas spécialement simple lui et moi, les disputes étaient fréquente, nos ruptures aussi. Je savais qu'en sortant avec lui sa ne serait pas simple mais je l'aimais de tout mon cœur et pour un bon moment. Pour la première fois depuis un bon moment j'étais vraiment sur de mes choix, sur de l'aimer, sur de vouloir cet homme. La seconde était que mon amitié avec James n'était pas cassable, ce n'était pas une chose dont je pouvais me passer, elle m’était profondément indispensable. Je le voyais comme un frère depuis bien longtemps. Il était d'une bonté incroyable, douce et franche, mais c'était aussi le genre d'homme toujours présent auprès de moi, m'écoutant dans tous les moments. Je ne pouvais pas choisir entre ces deux personnes, c'était assez incroyable cette sensation de bonheur quand l'un des deux me regarder; je les aimais un point c'est tout.

    m’en étais voulu toute la nuit pour cette rupture, mais j’avais surtout pensé aux mots de Lilween, elle avait raison, je devais faire en sorte que tout aille mieux sinon notre couple n’avait aucune raison de vivre, et sa je le refusais, je l’aimais trop pour le voir partir. Alors après une journée triste, mélancolique, je décidais juste d’aller le rejoindre, discuter, je préférais qu’il me dise que tout été fini que de ne rien savoir. Mais je croyais en notre couple, mais je croyais en l’amour que j’avais pour lui. Je l’avais aimé dés le premier regard, j’avais su que c’était avec lui que je voyais mon avenir, lui et personne d’autre. C’était sa le vrai amour, pas besoin de promesse inutile, juste deux personnes qui s’aiment c’était sa mon essentiel. J’étais prête moi aussi à faire des efforts, pour notre couple mais je refuserais sans doute de ne plus jamais adresser la parole à James. En entrant dans sa chambre, je restais prés de la porte, je ne savais pas quoi dire ormins le fait que je refusais de rompre avec lui et que je m’étais exprimer une nouvelle fois sur le coup de colère. Et pourtant je n’étais pas avec lui.

    Mais c’était avec un autre homme pour qui j’aurais pu écrire ce genre de chose à une époque. Parler de James en de mauvais termes tout le monde le connaissais que ce soit à Cambridge ou à Harvard, les filles disaient de lui qu’il était manipulateur, orgueilleux et briseur de cœur mais qu’elles étaient toutes attirer par lui. Certains hommes le voyaient comme brillant, d’autre calculateur et Edwin ne l’aimait, il me demander parfois ce que j’avais pu lui trouver et je répondais « c’est le passé trésor » et pourtant une nouvelle fois le contraire ce fut connaître.

    JAMES ~ Depuis que tu te sers de moi pour évacuer ta frustration sexuelle !

    Je n’affichais rien de bien spécial hormis une petite mine qui je savais parfaitement le faisait craquer à l’époque.

    BLISS ~ Chut trésors

    Murmurais-je en déposant mon index sur ses lèvres …

    JAMES ~ A vos ordre Colonel ! Garde à vous !

    Je le senti frémir, et il ne me fallut que peux de temps pour comprendre, sentant un mouvement près de mon corps.

    JAMES ~ Je ne parlais pas littéralement mais ...

    Nos deux corps ne firent plus qu’un encore une fois, se frottant sensuellement l’un à l’autre.

    JAMES ~ Bliss, mon chat ... il faut que nous ... nous ... nous protégions ...

    Je souriais déposant mes lèvres sur les siennes. Ma main se glissa jusqu'à ma commode, attrapant un préservatif, le premier que je senti toucher ma main dans tout ce bazar de fille. Me redressant vers lui, j’en profitais pour l’embrasser avant de lui offrir ce petit paquet rouge. Un sourire sur le visage, accompagné d’un tendre air malicieux.

    BLISS ~ Tu permets ?

    Je ne lui laissais pas le temps de me répondre que mes mains glissèrent vers sa virilité, laissant ce petit bout de plastique le recouvrir. En profitant pour jouer un peu, en tout bien tout honneur évidemment – j’y tenais à ce petit truc – Je le senti de nouveau être tendu et senti son visage sourire de plaisir

    BLISS ~ C’est un plaisir de te voir aussi éveillé trésor …


    Spoiler:
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James C. Owen

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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyLun 26 Avr - 19:16

    Le sarcasme était l’un des seuls moyens que j’eus trouvé pour rendre compte de mon mépris envers les autres. J’avais tenté durant plusieurs années de me former une carapace, un monde, un univers où personne ne pouvait aller à part moi et mes pensés moroses. Je fixais alors le vide durant des heures, et ne voyais rien de ce qu’il se passait autour de moi. Des ombres qui m’encerclaient, et s’effaçaient aussi tôt, me frôlant parfois. Des odeurs subtiles, mais si lointaines que je n’arrivais pas à en discerner les saveurs. Des paroles, prononcées par des voix qui ne me semblaient guère inconnues, mais je n’en comprenais rien, et je ne souhaitais en outre pas les comprendre. J’étais si bien alors dans ma boule de confort, de douceur. Loin de tout ce qui fait la vie, proche d’une léthargie mortuaire que je trouvais reposante. Je m’en délectais, mais un jour, dans une ruelle, en sortant pour me saouler de l’air du soir, je la vis. Fragile créature attaquée de toute part par des monstres de violence. Si belle, si fragile, si … Elle m’avait émue, pensant soudainement à tout ce que j’avais perdu parce que je n’avais rien fait. Parce que j’avais eu peur. Parce que j’étais lâche alors, plutôt que trop jeune pour l’admettre. Retrouvant alors l’usage du mot, et la violence du corps contre le corps, la brutalité animal qui fait de chaque humain un prédateur. LA seule envie, soudaine, de retrouver ce courage dont je me pensais jusqu’alors dépourvu. Lâchant prise d’un rêve utopique dans lequel je m’étais endormi pendant des années, j’avais repris pied à cette réalité si cruelle, pour que cette jeune fille car son regard Océan Intacte. J’avais battu au sang ces bâtards qui s’en étaient pris à elle à plusieurs. Partant alors en courant, ils ne remirent jamais les pieds sur ma route, se refusant à une nouvelle confrontation avec ce mec qu’il pensait tout simplement fou, puisqu’il ne parlait pas. Je n’osais pas même me souvenir de leurs noms, et à présent que j’y repensais, j’en rirais presque. Cette jeune fille, qui m’avait souri et remerciait à demi-mot, je ne l’avais jamais plus revu, pensant alors à un mirage. Une invitation à la vie. Une présence supérieure qui m’aurait envoyé un message du genre « Yeah ! Mec ! Réveilles-toi à présent, il est temps de vivre … » Je pense qu’en outre il n’avait pas été déçu, mais je ne pouvais cependant pas m’empêcher de mépriser ceux qui m’entouraient. Je ne pouvais les voir qu’ainsi. Comme une bande de lâches, qui ne pouvaient se résoudre à faire seul ce qui leur tient à cœur. J’avais réussi – d’après moi uniquement – à surmonter cela. Cette envie de solidarité, ce soutien constant pour avancer. À présent, je pouvais m’en sortir seul. Les autres n ‘étaient que des amusements dont je me lassais bien vite en général.

    Malheureusement et bien que je l’aurais voulu bien souvent, je ne pouvais aller contre mes sentiments humains. L’amour, cependant, n’était pas en somme un problème. S’il était amical, alors il me liait à des personnes que j’appréciais grandement, et dont il me serait peu profitable de me séparer. S’il était bien plus intime, je l’appréciais le temps que l’éphémère fasse son effet, et que cela s’estompe. Pour la haine, il en était de même, et en outre, je ne pensais pas que les deux ressentis soient forcément paradoxales. Mon meilleur ami, Chase, et la relation que j’entretenais avec lui en était la preuve même. Je l’adorais, sinon je ne pourrais le considérer comme mon meilleur ami , - cela aurait semblé stupide – pourtant je ne pouvais qu’être en désaccord avec tout ce qui faisait qu’il était lui. Son manque de fun, et la surprotection de sa sœur – avec laquelle j’avais couché pour son plus grand déplaisir – il m’en voulait pour cela en fait. Mais je n’en avais cure, et ne lui tenais pas rigueur de cette hargne entre nous. Cependant, il y avait bien une chose contre laquelle je ne pouvais résister ou juste attendre que cela passe, et c’était la passion. Elle me démangeait, me possédait, me rendait faible et pliable à mes propres désirs. Elle faisait de moi sa chose sans que je n’eus rien d’autre à faire que l’accepter et vivre avec sans chercher à m’en débarrasser. Elle créait en moi un désir insatiable. Et je l’acceptais avec contentement, sans mépris, ou répugnance. Ou même sans ce dépits qui me caractérisait tant dans mes relations aux autres. Je les acceptais, pour ne pas être en confrontation avec eux, parce que je ne souhaitais pas me prendre la tête avec des histoires qui ne me concernaient que peu. Par dépits, tout simplement. Etais-je de ces épicuriens qui prenaient plaisirs dans les instincts primitifs humains ? Je n’osais pas y penser préférant tout simple profiter, comme je le faisais si bien. J’aurais pu penser, et probablement me voiler la face, que Bliss était une passion. Charnelle, adorable, une femme que je désirerais juste parce que mon corps la désirait, et le sien était fait pour m’accueillir. D’ailleurs, nos heures de passion, où nous faisions l’amour, étaient aussi appréciables à présent, qu’ils l’étaient à l’époque. Je m’en souvenais souvent avec délectation. En outre, tout cela pour dire une chose : je ne savais pas où me menait ma relation avec elle, et bien que je n’en fus pas apeuré, je ne jouais ni de sarcasme, ni de dépit, ni de désintéressement pour, et je ne la considérais pas autrement que comme une ex. Pourtant j’étais bien dans son lit ce soir, et le moins que je puisse dire c’est que je prenais mon pied …

    BLISS ~ Chut trésors.

    C’était tout à fait cela, il ne me fallait pas une meilleure invitation pour oublier mes pensés d’une extrême philosophie à en revenir à l’essentielle. Elle, moi, et le sexe. Rien de plus simple pour passer une fin de soirée comme il se le devait, et de plus, cela me permettait de ne penser à rien d’autre qu’à ce qu’il se passait présentement. Je couchais avec une fille désirable, et bien que je l’eus connu des années avant, tout semblait différent à présent. Je ne pensais pas qu’il y eut un quelconque sentiment derrière. Tout du moins il n’y en avait pas pour moi. Juste l’envie de la faire mienne, encore et encore. J’avais pas profiter des plaisirs de la chair depuis un moment déjà, et le manque me rendait passionné, et envieux. Que ce soit Bliss n’y changeait rien, cela aurait tout aussi bien pu être une autre. Je ne le lui dirais pas, je préférais profiter de ce qu’elle m’offrait pour le moment. Nous faisant revenir sur le lit, après que j’eus déposer dans la petite corbeille notre protection première, elle m’embrassa de nouveau et m’obligea presque à entrer en elle. Je souriais devant son empressement, la situation aurait pu être pleine de tant de douceur et d’amour. Il n’y avait pourtant rien de tout cela dans notre acte d’une perversité presque profane. Que dieu me pardonne d’aimer le sexe avec autant d’adoration …

    Cependant, j’avais pour règle de me protéger, et surtout de protéger chacune de mes partenaires. Je voulais bien passer pour un Dom Juan, un pervers, ou un profiteur, mais je tenais tout de même à ce que cela se fasse dans les règles. C’est pourquoi je me retirais de son corps, sachant – puisque nous avions passé le test à l’époque – que nous n’étions porteur d’aucun virus – à moins qu’Edwin … Ne pas y penser surtout ! – et je lui demandais de patienter un peu plus le temps de prendre nos précautions. Je fus agréablement surpris de la voir sortir un nouveau préservatif de sa commode, et souriais lorsqu’elle nous redressa un peu.

    BLISS ~ Tu permets ? me demanda-t-elle avec un sourire emplie de malice sur les lèvres.
    JAMES ~ Avec plaisir …

    Elle prit le dessus, se mettant à califourchon sur mon corps pour laisser le plastique entourer ma virilité. Sentir ses doigts si proches, me touchant, m’envoyait des décharges électriques, du plaisirs parcourait mes veines, et ma vue se troubla soudainement. Je laissais un gémissement roc m’échapper, et ma tête se jeter en arrière. Elle m’avait cependant à peine toucher. Mon corps en ébullition semblait sentir chaque contact avec tant de précision qu’il me fut impossible de résister et de me contenir. Je souriais, à ce moment plaisant.

    BLISS ~ C’est un plaisir de te voir aussi éveillé, trésor…

    Avoue que c’est pas avec ton mec que tu en profite souvent des comme Ca . Je lui souriais, mon éternel sourire satisfait sur les lèvres, mais la laisser au-dessus, de mon corps, appréciant pouvoir me délecter de la vision de son corps nu, au-dessus du mien.

    JAMES ~ C’est l’effet de ton corps si sublime, Honey. Aucun homme ne pourrait se contenir devant un spectacle aussi sensuel.

    Mes mains remontèrent sur son corps, doucement, caressant chaque partie aussi infimes soient-elles, jusqu’à ce que je fus sur son visage, que je l’obligeais à baisser, pour prendre ses lèvres, et goûter de nouveau à son odeur, et son parfum. Son goût qui n’avait jamais quitté ma mémoire. Si douce, si sucré …

    JAMES ~ Si excitante …

    Je souriais contre ses lèvres, sans me douter un seul instant que la porte fut ouverte alors …
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Edwin J. Trueblood

Edwin J. Trueblood

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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyLun 26 Avr - 22:46

    Le soleil été caché sous les nuages. Mais ça n'empêchais pas qu'Edwin se reveilla tôt. Le souvenir de cette violente dispute et de leur énième séparation l'emêchait de dormir. Chaque fois qu'il y repensait, il sentait de poids de ses paroles trop durs et inutiles. Mais pourquoi avait-il donc fait ça ?! Non, il devait être stupide. C'était la stricte vérité. Il repensa à l'une des phrases qu'il avait lu dans les Pensées, de Blaise Pascal: « Nous connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par le cœur » La vérité ? C'était qu'Edwin aimait Bliss. Plus que tout au monde. Souvent, il se disait qu'il lui pardonnerait la mondre de ses erreurs. Il repensait souvent à leur rencontre, simple, parfaite, et génial. Il se disait que si tout avait été si évident dans leur couple, ça aurait été mieux. Mais Edwin était si jaloux ! Il ne supportait pas qu'un homme s'approche de Bliss. Et le fait que son ex, James, était l'un de ses plus proches amis, il ne répondait plus de rien la plupart du temps. Evidemment, ils se réconsilliaient toujours, mais Edwin en avait marre de faire du mal à leur amour. Ce matin là, il se leva, se prépara, habillé d'une chemise bleu ciel qui faisait ressortir ses yeux et d'un jean noir, il alla à la bijouterie la plus côté de la ville. Il acheta un collier en or avec un très jolie pendentif où il y avait écrit en Italien: Amour pour toujours. Il était plutôt content de son achat et téléphona à Lacey pour passer le temps:

      ▬ Edwin: Bonjour petite soeur ! Comment vas-tu ?

      ▬ Lacey: Hey grand frère ! Bien & toi ?

      ▬ Edwin: Moyen.

      ▬ Lacey: C'est Bliss c'est ça ? Tu t'es encore disputé avec elle. Et c'est ta faute pour changer ! Bah bravo !

      ▬ Edwin: Hum... Lacey, je t'appellais pour être réconforter !

      ▬ Lacey: Eh bien quoi, tu voulais que je te félicite ? T'as rêver mon pote ! Bon, moi, je bouge, Tchao Ed' !

      ▬ Edwin: A très vite Layc'


    Il raccrocha, encore plus déprimé qu'avant. C'était décidé, ce soir, il allait voir Bliss. En attendant, il passa à la bibliothèque pour travailler sa philosophie. Il travaillait justement sur les pensées. Il y avait beaucoup de référence à Dieu, à un monde meilleur. Puis, il ferma brusquement le livre, l'heure tournait. Il se rendit donc dans le drôle de couloir et passa sur l'autre continent, son continent: L'amérique du nord. Il flâna dans les couloirs, toujours hésitant à aller voir Bliss. Il entendit dire dans les couloirs qu'il y avait une fête ce soir là. Il s'y rendit afin de voir si Bliss n'y était pas. Aucune trace de sa chérie. Puis, il se dirigea vers sa chambre. Il s'arrêta devant la porte, hésitant, et entendit de drôles de bruits qu'il interpréta pas de suite. Il ouvrit la porte sans même toquer, comme à son habitude. Il ne vit rien, au départ, entendu juste la voix de James. De James ?! Que faisait-il dans la chambre de Lilween et de Bliss. Edwin ne chercha pas à comprendre et entra alors que James ajoutait:

      ▬ James: Si excitante …


    Puis, edwin se figea et laissa tomber au sol le collier d'or qu'il tenait dans la main. Figé d'horreur était le vrai mot. Il observa la scène, que même dans ses pires cauchemards, il n'aurait imaginé: Bliss, installé à califourchon sur un James dont les attributs paraîssaient bien attiré par celle qu'il aimait. Edwin inspira un grand coup lorsqu'il vit les mains de sa bien aimé sur le sexe de James. Il n'aurait jamais cru ça, non, Bliss était inccapable de lui infliger ça ! Voyons, elle avait souffert avec James ! C'était un coureur de jupons ! Il ne l'avait jamais trompé, lui ! Il sentit son coeur se fendre de douleur, le malheur s'abbatit sur lui. Il eu honte, oui honte de s'être fait berné par les belles paroles que Bliss lui murmuraient à son oreilles, mais il avait encore plus honte de Bliss. Qu'était-elle devenu en recouchant avec James ? Une garce ? Un trainé ? C'était dure, mais Edwin était tellement déçu, tellement en colère ! Mais il la contenu et fusilla du regard James, puis, la tête baissé, il lança froidement.

      ▬ Edwin: Je vois que tu m'as vite remplacé, Bliss. Finalement, je ne m'en veut pas tant que ça d'être jaloux. A priori, notre dispute avait une raison d'être.


    C'était vrai, Edwin était inquièt: Qui sait si ce n'était pas la centième fois ? Qui savait si elle ne s'était pas faire prendre par d'autres hommes ? Toute la confiance et tout l'amour qu'il avait offert à Bliss s'effondrait. Car lorsqu'on vous trompe, qui plus est avec quelqu'un que vous connaissez parfaitement bien puisqu'il est votre colocataire, comment avoir confiance en l'amour, comment avoir à nouveau confiance en Bliss ?
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Bliss M. Shadow

Bliss M. Shadow
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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyMar 27 Avr - 22:49

    Nous sommes tous des âmes perdus, dans un monde flou et si étranges. Chaque personne est différente, chaque âme est constituer différemment et chacune à envie de voir et de sentir des choses qu’elle ignore, pour ensuite mieux se cerner ou simplement mieux cerner les autres. Chacun d’entre nous est capable de grande chose dans le monde, nous sommes tous des cerveaux, et des hommes qui son capable avec un peu de volonté de franchir les étapes de la vie et de grandir. Je restais persuadée que chacun d’entre nous étaient capable de grand-chose et que moi-même si je le souhaitais je pouvais changer le monde, bien que cela fut une expression ; mais c’est vrai que j’avais appris à croire en moi, en mes rêves et en mes passions. Moi mes rêves étaient comme ceux de beaucoup de femmes, ou filles plutôt, je rêvais de grandeur, de découvrir le monde et surtout de réinstaller des valeurs importantes de nos jours, changer le monde en quelques sortes. Toutes les filles devraient refuser les règles du jeu stupide qu’on nous impose et qu’on s’impose à soi même. Il ne faut pas être trop grosse, ni trop maigre ; il ne faut pas avoir la peau trop clair, ni trop foncée, il ne faut pas être délurée, ni trop coincée, pas être trop intelligente, ni trop bête. Il faut être soi même, mais t’as intérêt à être dans la norme. Nous étions toutes différentes mais au fond nous rêvions chacune d’un prince charmant et d’une belle histoire jolie, colorée et pleine de sincère sentiment. Une sorte de mélange entre Cendrillon, la belle au bois dormant, et la belle et la bête. Une chose si belle qu’elle vous éloignerez de toutes ces mauvaises ondes et de tout ces malheurs. Cela semblait sans aucun doute enfantin mais c’était au fond la réalité. Derrière toutes ces carapaces, la Geek pas assez bien pour le moment, trop stupide et pas dans le vent comme disent certains, les intello’ qui ne pense qu’au travail, les sportifs, et les trainées, ce cachait un rêve à réalisée et seul ça avait une vrai importance.

    Mon histoire d’amour à moi c’était Edwin, bien que je me cachais souvent derrière des propos un peu flou, et une façade. Bliss, vous pouvez demander à qui bon vous semblera, ils vous diront tous sans exceptions, que j’étais gentille, un peu mystérieuse et pourtant brillante. En cour j’essayais d’être la meilleure, non pas pour surpasser tout le monde mais pour me surpasser. C’est sans doute l’une des raisons pour lesquels j’avais fait médecine, je voulais arriver au bout, pour moi, et pour prouver que j’en étais capable. Rien n’est simple, je le savais, la vie en elle-même était une complexité un tunnel à franchir, une étape et chaque jour constituer une marche à monter. Mais apparemment mon histoire d’amour était loin d’être si belle qu’auparavant. Puisqu’elle était en train de voler dans un éclat de verre, mais trouvant en ce moment même dans les bras d’un autre et pas n’importe lequel … James Owen.

    JAMES ~ C’est l’effet de ton corps si sublime, Honey. Aucun homme ne pourrait se contenir devant un spectacle aussi sensuel.

    Je ne pouvais que sourire à se genre de révélation plus que flatteuse, et je savais qu’elles étaient sincère, je le sentais même.

    JAMES ~ Si excitante …

    Mon corps se pencha en avant, pour embrasser ces douces lèvres une nouvelle fois mais surtout sentir ses mains sur moi. Je ne pouvais pas m’empêcher de passer mes mains le long de son corps et t’embrasser son corps nu. Je n’entendis quelques secondes après le bruit de la porte, et le bruit du collier tombé sur le sol. Me redressant d’un geste rapide sans pour autant faire mal à James ; ma main passa dans mes cheveux avant que mes yeux ne se pose sur le visage abattu d’Edwin. Je le connaissais assez bien pour savoir ce qu’il ressentait à ce moment et moi la honte, pas de le faire mais qu’il l’apprenne ainsi.

    ▬ Edwin: Je vois que tu m'as vite remplacé, Bliss. Finalement, je ne m'en veux pas tant que ça d'être jaloux. A priori, notre dispute avait une raison d'être.

    Je me redressais attrapant la chemise de James sur le sol et l’enfila, tentant de rester calme, le souffle un peu couper avec mes précédentes actions.

    BLISS ~ C’est pas ce que tu crois, il avait juste un point noir que j’enlevais … 8D Edwin je … - pourquoi mentir Bliss, tu déteste ça – je sais ce que tu ressens la et la haine que tu éprouve pour moi à ce moment précis, je ne mens pas et je ne mentirais pas, je l’ai fait de mon plein grès mais nullement en guise d’un quelconque remplissage, ce n’est pas comme ci j’étais amoureuse de lui, sans vouloir te vexer James, c’est ta jalousie possessive tout ces trucs. Je n’ai aucune excuse et je n’en chercherais pas. Oui je t’aime, mais tu n’étais pas la, et lui si
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James C. Owen

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MessageSujet: Re: ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J   ~ Une dernière nuit ensemble ; [LOVE] B&J EmptyMer 28 Avr - 17:43

    Il n'y avait jamais eu en moi ce sentiment de plénitude qui faisait que je souhaitais que rien ne change. Éternel libertin je préférais de loin les instants éphémères aux relations durables, qui stagnent sur la durée car l'humain se complait à l'habitude. Je ne pouvais en somme pas vraiment féliciter Bliss pour s'être retrouvée dans une relation amoureuse durable avec Edwin. Surtout avec Edwin, mais cela ne me regardait pas le moins du monde. A présent surtout, elle remontait dans mon estime. Elle osait enfin vivre, se laisser aller à un sentiment de frénésie passagère, un désir stupide puéril et incontrôlable. J'étais plus que ravi qu'elle m'eut choisi pour cela. En fait, je me demandais même si elle aurait pu se laisser aller à coucher avec un parfait inconnu. Dans l'état dans lequel je l'ai trouvé ce soir, probablement. Mais il m'était bien plus facile de la séduire, étant donné que je savais comment faire pour l'avoir dans mes bras, prête à tout pour me satisfaire. Combien de fois déjà m'étais-je retrouvé dans des situations semblables ? J'en souriais en y repensant. Cela m'avait valu ma réputation, et je savais que beaucoup d'éternels romantiques me condamnait pour cela. Genre : Edwin. Je ne comprenais pas ce que ce type pouvait faire d'exaltant dans sa vie. Je ne pouvais même admettre que l'on puisse se restreindre aux études et à la fidélité et se sentir heureux. De plus, il était jaloux et possessif à en être désagréable avec tout le monde. Moi en premier, l'ex de sa petite amie, toujours proche d'elle, entreprenant une relation étrange, et ambigüe avec cette dernière. J'avouais que je n'avais jamais essayé d'arranger les choses. Ce n'était pas à moi de la faire en outre.

    EDWIN ~ Je vois que tu m'as vite remplacé, Bliss. Finalement, je ne m'en veut pas tant que ça d'être jaloux. A priori, notre dispute avait une raison d'être.

    Peut être que sa peur était fondée finalement. Étonnée, surprise par cette voix qui soudainement résonnait dans la pièce Bliss se leva d'un coup, quittant mes lèvres, sous mon grognement mécontent. Il arrive toujours au bon moment celui-là. Mon excitation redescendit d'un cran - voir de plusieurs - d'un coup alors que Bliss se levait et prenait ma chemise - l'excitation renait ? - pour la mettre. J'avais oublié à quel point elle pouvait être sexy dans des vêtements de mecs. J'avais oublié qu'elle aimait porter mes affaires après que nous ayons fait l'amour, à l'époque. Tant de détails qui me revenaient à présent que la situation n'en était pas propice. En d'autres circonstances je n'aurais eu aucun scrupule à envoyer le malheureux chez les grecs pour reprendre Bliss une fois de plus contre moi. Pourquoi je me gênerais ? Je laissais d'abord l'honneur à Bliss de s'expliquer. Debout face à Edwin, elle semblait soudainement perdue. Normal ... Et moi, je m'assis sur le lit, nu comme un ver et aucunement gêné de ma tenu d'Adam. Qu'il ose me dire quoi que ce soit. Après tout ce n'est pas moi le plus minable de l'histoire. Je n'étais que la victime malheureuse de la frustration sexuelle de Bliss... Ma faute s'il ne la satisfaisait pas ? Salaud.

    BLISS ~ C’est pas ce que tu crois, il avait juste un point noir que j’enlevais … 8D Edwin je …

    J'haussais un sourcil en la dévisageant. M'emparant d'un caleçon - que je retrouvais dans la pénombre de la chambre - je l'enfilais et repris ma place sur le lit. En fait, je m'allongeais sur ce dernier, les bras derrières la tête, en observant la scène d'un regard amusé. C'est mieux que les feux de l'amour ...

    BLISS ~ je sais ce que tu ressens la et la haine que tu éprouve pour moi à ce moment précis, je ne mens pas et je ne mentirais pas, je l’ai fait de mon plein grès mais nullement en guise d’un quelconque remplissage, ce n’est pas comme ci j’étais amoureuse de lui, sans vouloir te vexer James
    JAMES ~ Pas de soucis.
    BLISS ~ c’est ta jalousie possessive tout ces trucs. Je n’ai aucune excuse et je n’en chercherais pas. Oui je t’aime, mais tu n’étais pas la, et lui si.

    Je grimaçais, et retenais avec beaucoup de mal un rire sarcastique. Je soupirais à la place, un lourd soupir ennuyait. Finalement ma télévision me manque ... En plus je n'étais plus du tout excité. Dégouté ...

    JAMES ~ Je suis pas sur que ce soit ton argument le plus percutant, Honey.

    J'observais Edwin, de haut en bas. Il était en colère, très en colère. Je tiquais. Faut que je pense à demander à changer de chambre ... Pouah ! S'il y a bien une chose que je ne supportais pas - ou plusieurs choses en fait - c'était que mes délires d'une nuit compliquent ma vie, et les mecs jaloux et possessifs. Bien heureux le libertin qui se fichait de tout le monde, mais comment réussir à expliquer cela à Edwin. Il doit être encore plus romantique que Bliss ... Pouah ! Je soupirais de nouveau, et me concentrais sur les dessins des ombres sur le plafond en attendant que la tempête passe ...


{ h.s : C'est mauvais, navré je suis >.< }
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