| | | «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs |  |
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Laïs R. Waldmann
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 | | Sujet: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Sam 17 Avr - 14:13 | |
| «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Proverbe indienChase & Laïs Waldmann  Soparadis & Minnie Art <333
Ma journée avait commencé normalement, me lever, me laver, m'habiller, prendre un petit déjeuner. Bref, rien de vraiment très palpitant ... J'avais ensuite dû me rendre à mon premier cour de la journée, anglais. Bon, j'avoue ne pas être friande des auteurs comme Shakespeare, enfin, je le suis moins qu'avant, ou je fais semblant. Je ne sais même plus. Je m'assis au fond de l'amphithéâtre, sortant mon portable et envoyant des textos à ma meilleure amie, Ana. Je n'écoutais même pas le discours du professeur sur l'oeuvre principale, selon lui, du célèbre dramaturge anglais. Nous étions un certain nombre à suivre cette option, et pourtant, je n'en connaissais aucun. Mais il n'était pas difficile de deviner ce qu'il me voulait, les ¾ des filles me détestaient car je leur avais volé leur petit copain ou celui de leur meilleure amie. Et le dernier quart s'intéressait uniquement à leur travail et aux résultats qu'ils obtenaient à leurs UV. Pour les garçons c'étaient plus simple, ils ne me détestaient pas et j'étais sûre que la plupart auraient bien voulu passer une soirée avec moi. Bref, je m'intéressais plus à ma popularité qu'à mes cours. C'était simple, je comprenais tous sans même écouter le discours soporifique de ce bon vieux prof. Enfin, le cour finit. Et je devais enchaîner avec littérature française, encore plus barbant, je suivis le mouvement jusqu'à un autre amphithéâtre. Le même scénario se reproduisit, sauf que cette fois-ci un jeune mâle s'assit à côté de moi. Je ne pus m'empêcher de sourire, d'ici quelques minutes il me sortirait un discours sur sa personne et le fait que lui & moi on est fait l'un pour l'autre.
Au final, après l'avoir rembarré, prétextant un soudain besoin de stabilité, je sortis du cour. Le soleil m'éblouit et je mis mes lunettes, le temps était clément par cette belle matinée, et j'étais contente d'avoir mis cette jupe en soie révélant mes magnifiques jambes artificiellement bronzées. Je n'avais désormais plus cour de la journée, et je décidais de m'asseoir dans l'herbe, à la recherche de ma future proie. Je m'adonnais souvent à ce petit manège, repérant les couples un peu trop mignons et m'empressais de les séparer, en couchant, le plus souvent, avec le malheureux garçon. C'était plutôt marrant, même si parfois je me lassais de ce petit jeu. Je commençais donc à marcher en direction du parc, réfléchissant aux couples solides de nos deux écoles, il y avait bien Bliss et Edwin, mais je préférais les laisser à Ana. Il y avait également Savannah et Evan, mais c'était trop simple, de plus elle l'avait déjà trompé avec James. Je souris en pensant à ce nom. Il me faisait office de trophée.
Cela remontait à quelques mois je crois, j'étais chez moi et le meilleur ami de mon frère également. Je l'avais toujours, et je le trouve encore très séduisant. Je ne pouvais donc rater une telle occasion de taquiner mon frère, de le faire souffrir. Nous avions couché ensemble, un excellent amant d'ailleurs. Il faisait partie de mon top five. Bien sûr, Chase avait découvert le pot au rose et sa colère avait même dépassé mes espérances, j'avais, durant un instant cassé leur belle amitié. Et j'avais encore déçu mon frère.
Au départ, je m'en voulais de le décevoir, mais en voyant toute la popularité que je gagnais à devenir comme ma mère, cette culpabilité avait disparu laissant place à une jouissance infini de mon pouvoir. Je ne savais pas pourquoi je devais blesser mon frère, mais depuis quelques mois, j'étais devenu une experte en la matière. Et lui enchaînait déception sur déception. Comment pourrais-je expliquer cela ? Même-moi je ne savais pas pourquoi. J'avais déjà traversé une partie du parc, plongé dans mes pensées. Mais quelque chose attira mon attention. « Quand on parle du loup, il point le bout de sa queue ». Je ne pus m'empêché de sourire en rencontrant les yeux verts de mon frère adoré. Ceux qui m'avaient compris, mais qui désormais me détestaient, ceux qui m'avaient permis d'avancer et de croire en moi et ceux qui aujourd'hui me blessaient un peu plus à chaque fois. Je fis mon sourire le plus diabolique, il me suivit des yeux puis je m'assis à côté de lui et de ma voix la plus innocente lui demanda :
« Salut Frérot ! Comment as-tu aujourd'hui ? »
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Chase A. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Dim 18 Avr - 17:42 | |
| Chase & Laïs Waldmann
Parce que chacun de nous garde toujours une minuscule part d'espoir, de foi, et se dit qu'un jour, il ouvrira les yeux et que ses rêves deviendront réalité.
J'entendis un bruit , un bruit que j'entendis pratiquement tout les matins et comme tout les matins j'ai envie que cette objet qui fessais autant de bruit passe par la fenêtre ou encore qu'il finisse contre mon mur , lentement mais surement je sortie ma main du dessous de ma couette pour enfin arrêter cette engin de malheureux et que je puisse de nouveau me rendormir tranquillement une fois fait je me rendormi paisiblement ,mais cinq minute après celui ci re-sonna rahhh que j'allais le tuer! Donc cette fois ci je me leva de mon lit et l'arrêta définitivement et malheureusement je mettais lever trop vite et avait failli partie en arrière , mais heureusement je me rattrapa en fessant un pas en arrière et passa une main dans mes cheveux qui devait être bien en bataille ce matin encore quelque peu endormie je me dirigea en direction de la salle de bain ou je me regarda quelque instant dans la glass c'était ce que j'avais dit , mais cheveux était partie dans tout les sens j'allume l'eau qui commença a couler et enleva ensuite mon boxer oui car je ne dormais pas avec de pyjama seulement un boxer comme il fessait très chaud la nuit et rentra sous la douche ou l'eau chaude colla déjà a flot sur mon corps cela me fit du bien je resta quelque instant sous cette eau ou j'aurais pu y rester des heure tellement que cela fessait du bien ,mais malheureusement après 10 minute je commença enfin a me laver et a sortir de la douche après avoir attraper ma serviette et m'était essuyait pour enfin la mettre au tour de ma taille de nouveau je repassa devant le miroir et cette fois je pris mon rasoir et ma mousse a raser pour pouvoir me raser serte je n'allais pas faire autre chose avec sa me direz vous , puis après avoir fait cela je mi de l'après rasage et me coiffa d'une coiffure original pour moi que je fis tout les matin puis alla enfin dans ma chambre.
Arriver la bas je me dirigea directement a mon armoire ou je pris des sous vêtement (boxer et chaussette) puis un jean et une chemise tien pour aujourd'hui et les pose sur mon lit , je partie vers ma table de nuit ou je pris ma montre et la mi et ma chaine que je mis au tour de mon cou et commença a m'habiller peux après .Je n'avais pas vraiment envi d'aller en cours aujourd'hui il fessait un temps magnifique et j'aurais bien voulu en profiter , mais malheureusement fallait y aller je descendis en bas et commença a prendre mon petit déjeuner très simple comme d'habitude tasse de café et un croissant puis remonta me brosser les dents , je mi du parfum et je retourna dans ma chambre ou je pris ma veste et re-descendis pour prendre ma voiture et enfin partir au lycée a oui j'avais oublier au passage j'avais pris mon sac de cours qui d'ailleurs je l'avais très vite jeter a terre dans ma voiture et je partie enfin a l'université .
Ma journée ce passa très lentement , mais toujours autant passionnant lorsque j'étais à mon cour de littérature je me demander toujours d'où venait cette passion pour cette matière ,je ne l'ai toujours pas trouver d'ailleurs j'aimais lire , j'aimais l'histoire enfaite j'aimais tout ce qui ce rapprocher de cela bref...Après ses deux heure de littérature , je mettais diriger pour mon cours de sport et enfin ma journée serait fini car l'un de mes professeure n'était pas la par chance et heureusement car les mathématique n'était pas tellement passionnant tout ses chiffre etc...Non merci très peu pour moi.Donc je me dirige vers ce fameux cours ou le professeur nous demanda de s'échauffer après être changer parfois je me demander si il voyait ce que cela fessait plus de dix tour de terrain de plus celui ci nous regarder avec un regard sadique cela avait l'air de lui plaire de nous voir courir comme cela pendant un long moment !Je voudrais bien le voir tien entrain de faire ses fameux tour de terrain parfois les profs était sadique a un point inimaginable et lui il en fessait partie , tien il était même a la première place ! Après cela on fit quelque match de basket ou je me débrouiller plutôt pas mal sa aller c'était un sport physique certes ,mais agréable a jouer lorsqu'on jouer avec d'autre joueurs qui était la pour s'amusait eu aussi et qui ne pète pas de câble s'ils perdaient.
Après ce cours la comme je n'étais pas pressait je pris une douche heureusement que j'avais pris quelque petit truc au cas ou , a vrai dire je n'aimais pas sentir la transpiration donc je fessais tout mon possible pour éviter cela en prenant du parfum dans mon sac et a prendre une douche après le sport dans les vestiaire fait pour ! Après avoir pris m douche et m'avoir recoiffer et tout ce qui aller avec je partie me balader dans le parc mon envi de rentré chez moi n'était pas vraiment là et puis peu être que j'allais crois l'un de mes ami(e)s et passer la soirée avec tien pour changer au lieux de rentré de voir ma petite sœur comme d'habitude rester dans son coin et moi de même , je préféré largement sortir que de voir sa donc je partie me balader dans celui .A vrai dire avoir un parc dans l'établissement de notre université été quelque chose de tout a fais plaisant car en cas d'heure de trou on savait toujours quoi faire , faire une petite balade comme sa cela ne pouvait faire que du bien je décida d'aller m'assoir près d'un arbre car pratiquement tout les bancs était pris donc je partie m'assoir au pied d'un arbre a même le sol ,je sortie ensuite un livre que je me mi à lire après quelque minute je releva mon regard et aperçu ma cher sœur je la suivi du regard aucun sourire n'était sur mes lèvres le peu de fois ou on ce parler on s'engueuler donc...a force j'avais totalement abandonner elle voulait ressembler a notre mère qu'elle lui ressemble , mais si elle continuer elle allait perdre totalement me perdre même si de jour en jour on s'éloigner de plus en plus , on ne ce parler pratiquement pu , on ne fessait pu de sortie comme on le fessait avant ou encore de la musique enfin bref...Je la regarda venir s'assoir près de moi et d'une voix totalement innocente elle me demanda comment j'allais elle savait très bien que je n'allais pas faire de scandale en quelque sorte en plein milieux de l'université ,je la regarda quelque instant avant de détournée mon regard sur mon livre plus le temps passer plus elle ressembler a notre mère je la revoyait plus jeune physiquement et le pire était quelle devenais la copie double d'elle physiquement et mentalement , il manquer plus qu'elle tombe enceinte a dix huit ans et c'était bon elle aller lui ressembler parfaitement ! Comme elle voulait lui ressembler peu être qu'après elle ferrait pareil qu'elle abandonner en quelque sorte son enfant et partir faire la fête comme si de rien n'était.D'une voix tout a fait normal je lui répondit
-Très bien et toi Laïs ?
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Laïs R. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Mer 21 Avr - 18:17 | |
| Sans bouger ou esquisser le moindre geste, il me répondit d'une voix calme :
« Très bien et toi Laïs ? »
Je me renfrognais quelque peu, en même temps qu'il soir rentré dans mon jeu m'aurait plus étonné que son comportement actuel. Il m'avait toujours semblé étrange qu'il s'accorde du bon temps, que se soit avec ses amis ou une fille. Grandir trop tôt n'avait pas été la meilleure expérience de sa vie. Parfois je le plaignais, il avait perdu son enfance et son adolescence pour moi. Mais après, je me souvenais de ce que ma mère avait fait, comment elle m'avait élevé au dessus de tout être humain lambda. La conversation ne venait pas vraiment, j'eu pour idée de lui répondre :
« Merci, ça va plutôt bien. »
J'étais resté froide, je me demandais vraiment pourquoi je m'étais assise à côté de lui. Je pensais même partir si je n'avais pas eu cette brève image de la tête de Chase le jour où il avait su pour James et moi, où sa tête le jour où ma transformation s'était achevé. Je ne sais pas vraiment pourquoi j'avais eu se sentiment envers lui. Pourtant je ne regrettais rien, ni nos soirées film, ni nos concerts. Je ne regrettais même pas le frère ou le meilleur ami que j'avais trouvé en lui. C'était sûrement horrible de parler comme ça d'une relation qui avait longtemps été sacré pour moi. Mais que voulez-vous, l'ancienne Laïs était morte et enterré. Je le regardais, il n'avait toujours pas bouger, ni même tourner le regard vers moi depuis que je m'étais assise. Je devais m'y faire, lui aussi avait tiré un trait sur le passé, sans doute résigné de mon caractère de sale petite peste. Je ne pouvais lui en vouloir ... Mais je pourrais peut être retrouver ce sentiment de jouissance en le torturant un peu durant mon temps libre. Je repris ma voix angélique et lui demandais :
« Et sinon, que me racontes-tu ? Tu sais, je n'ai pas changé au fond, je suis toujours la même petit Laïs, celle qui t'admire et rêve de devenir comme toi. Tu peux tous me confier. »
J'espérais n'avoir pas été trop ironique, bien entendu, il ne me croirait pas, il s'énerverait peut être mais c'était le but, qu'il s'énerve et que je lui gâche sa journée, une de plus. Je n'avais jamais été la soeur idéal, du moins pas depuis un moment, mais lui avait continué à espérer me sortir de cet engrenage, me sortir de la spirale infernale dans laquelle ma mère m'avait entraîné. Je ne pense pas qu'il y arrive ou que quelqu'un d'autre y arrive. J'étais devenu ainsi, une garce froide et un peu salope. Tous cela ne me dérangeait pas, qu'on parle de moi en bien ou en mal, l'important était qu'on parle de moi.
Je n’imaginais pas que quelqu’un puisse souffrir de ma réputation encore moi mon frère. Je crois qu’un jour il en avait parlez lors d’une de nos nombreuses disputes. Mais à quoi bon ? Je m’en fichais éperdument et cela ne m’aurait pas fait changer. Je regardais les gens autours de moi, ils étaient tous à l’ombre des arbres, à attendre je ne sais quoi, peut être le déluge … Pour moi, le pire, restait tout de même les couples, et aujourd’hui, ils étaient de sorti pour ne pas dire tous en couple. |
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Chase A. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Dim 25 Avr - 15:21 | |
| A vrai dire je me demander pourquoi ma sœur venait me parler comme d'habitude sa aller partir en engueulade ,elle devenait très insupportable maintenant .D'un ton assez calme et toujours en regardant mon livre je lui répondit que j'allais bien et lui retourna la question , a vrai dire depuis que ma mère revenait pour former son clone moi et ma soeur on n'avait pu vraiment de lien comme avant , je n'aurais jamais penser que sa aller finir comme sa a vrai dire que moi et ma soeur on devenait des inconnu alors que pendant un certain moment on était très proche on ce confier pas mal de chose , on sortais ensemble on s'amusait aussi ensemble , mais maintenant pu rien...La seul personne que j'arrivai a supporter était mon père maintenant a vrai dire ma mère je ne l'aimais pas plus que sa non pourtant sa devrait être tout a fait le contraire je devrais l'aimais et elle aussi , mais on ce détester tout les deux elle partais en voyage tout le temps comme mon père me direz-vous , mais elle c'était plus pour s'amusait que le boulot elle partait souvent en voyage et bien évidement elle nous emmener jamais c'était pour sa qu'a mon age j'étais très mature car j'avais du m'occuper a sa place de sa fille ,mais bon en voyant ce qu'elle était devenu elle avait décider de prendre les chose en main bizarrement et de la faire devenir elle tout cracher après tout t-elle mère t-elle fille non?
Mais ma sœur devenait peut être pire que ma chère et tendre mère...Une chose était sur j'avais envi que d'une seul chose que mes étude ce finisse et que je ne dépende pu d'eux car oui je me servais de leurs argent juste pour le plaisir et pour une fois que ma mère me servait a quelque chose a vrai dire j'en profiter enfin pas totalement car ce n'était pas mon genre a vrai dire ,mais le jour ou j'allais avoir un travaille et que je pourrais vivre seul je le ferrais je passerais peu être par de mauvaise passe ,mais au moins je n'aurais pu aucun contact avec eux j'avais tout fait pour que ma sœur redevienne comme avant , mais c'était peine perdu a vrai dire j'avais tout essayer ,mais sa avait empiré plutôt qu'autre chose et les engueulade devenais de plus en plus fréquente bref...
Je fessais comme a mon habitude , je l'ignoré elle n'aimait pas sa à vrai dire tout comme ma mère elle aimait être le centre d'attention de tout le monde, mais bon que voulez vous je n'avais rien a lui dire la maintenant je ne voyais même pas pourquoi elle était venu me voir a vrai dire, a quoi cela servait après tout puis de sa voix très angélique qui ne m'annoncer rien de bon elle me demanda ce que je pouvais lui raconter elle ce moquer legerement de moi la non? Depuis combien de temps elle et moi on ne ce parler enfin plutôt confier a vrai dire les deux parce que parler ...c'était pas vraiment sa c'était plutôt lever la voix et s'engueuler a tout bou de champ .Puis elle ce mi a me dire qu'au fond elle n'avait pas changer elle était toujours la petite Laïs et que je pouvais tous lui confier je sais pas pourquoi , mais je lâcha un rire et un sourire apparu sur mes lèvres je secoua legerement la tête et la regarda j'avais plonger mon regard émeraude dans le sien et avec un petit air ironique dans ma voix je lui répondit
-Ah bon ? Donc ou est passer ma garce de sœur? Celle qui veut a tout pris être comme sa chère mère juste pour lui plaire et pour montré que elle aussi peux être comme elle lorsqu'elle était plus jeune .Une chose est sur Laïs ta très bien réussi tu lui ressemble parfaitement je te tire mon chapeau! Ah non il te manque un petit truc ...un gosse a 18 ans active toi il te reste pu très longtemps !
Dis je avant de reposer mon regard sur mon bouquin est de me replonger dedans .A vrai dire est pour être tout a fait honnête je n'avais pas envi de lui parler , je trouver cela inutile car ma sœur qui pendant un long moment était très importante pour moi été devenu une total étrangère a mes yeux ,elle était devenu la fille dont elle m'avait toujours dit " je ne deviendrais jamais comme sa" vive les promesse hein ! |
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Laïs R. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Sam 1 Mai - 13:46 | |
| Je regardais mon frère, il n’avait pas tardé à réagir à ma petite moquerie, un rire, il secoua la tête. Bref, il avait compris. Sa réponse ne tarda pas à venir, il avait plongé ses yeux vert dans les miens, je les passais au peigne fin, à la recherche de cet éclat qui éclairait ses yeux autrefois, lorsque ma mère n'étais pas intervenue dans mon éducation, lorsque lui seul s'occupait de moi, m'inculquant le savoir qu'il pensait le meilleur pour moi. Cet éclat d'amour fraternel. Mais comme à chaque fois, et avec une pointe de déception dans le coeur, je ne le trouvais pas. Ses paroles se firent ironique mais extrêmement blessante.
« Ah bon ? Donc ou est passer ma garce de sœur? Celle qui veut a tout pris être comme sa chère mère juste pour lui plaire et pour montré que elle aussi peux être comme elle lorsqu'elle était plus jeune .Une chose est sur Laïs ta très bien réussi tu lui ressemble parfaitement je te tire mon chapeau! Ah non il te manque un petit truc ...un gosse a 18 ans active toi il te reste pu très longtemps ! »
Je le regardais se replongeait dans son bouquin et je méditais sur ses dernières phrases. J'avais tellement envie de lui répondre que j'étais toujours la même au fond de moi, que je n'avais pas changé, que cette phrase n'était pas aussi ironique qu'elle le semblait. Mais, encore une fois, il mettait un point d'honneur à me recacher la vérité comme un poison mortelle, comme un venin. Et à chaque fois, l'effet qu'il voulait produire se produisait, il me blessait, mais je m'étais interdit de le montrer, ma mère m'avait toujours apprit qu’il ne fallait pas montrer ses sentiments. J’avais envie de hurler de rage, ma tête était remplie de conseils maternels tous plus idiot les uns que les autres. Mais je voulais plaire à ma mère. Je voulais qu’elle m’aime. J’avais envie de lui répondre :
« Mais tu sais Chase, si je fais tous ça, c’est pour qu’elle m’aime, depuis que je suis comme ça, elle m’aime, elle me prête attention. Que depuis que je l’écoutais elle rentrait plus souvent pour me voir, qu’elle faisait au moins semblant de m’écouter. Qu’au fond j’aurais préféré me la jouer moins salope, avoir la même vie qu’avant avec un peu plus de popularité, mais que sans les habits hors de pris, sans le caractère de garce et sans le comportement de traîné, je n’avais rien, pas d’amour maternel, ni de popularité. »
Mais jamais je ne pourrais formuler cette idée à haute voix. Au grand jamais je ne révélerai ce secret à mon frère, je le décevrais sans doute encore plus. Alors mieux valait gardé cela pour moi quelques temps encore. Pour en revenir à sa phrase, j’avais effectivement réussi en tous points à ressembler à ma mère, à être elle mais en plus jeune. Parfois mon père nous confondait et je ne pouvais que sourire, je ne pouvais pas me plaindre, certaines filles payeraient chère pour avoir ce que j’ai, du moins je l’espérais. Je pris une grande gorgée d’air pure, le parfum de mon frère entra dans mes poumons, j’eus envie de le prendre dans mes bras, de lui faire un câlin comme avant, mais impossible, trop de témoin et puis, mon frère ne comprendrais pas vraiment ce geste, alors je profitais de ce cours instant avant la tempête. Je n’avais pas voulu penser à la dernière partie, mais je devais me l’obliger. Oui je n’avais pas de gosse à 18 ans, mais ça n’arriverait pas, du moins pas maintenant … Que pouvais-je dire d’autres, qu’il y avait sûrement des limites à ma ressemblance avec elle … Je le regardais, il était toujours plongé dans son livre. Et là, je me lançais :
« Ecoute Chase, faut arrêter, je ne lui ressemble pas autant que ça, et puis si tu es jaloux de moi, c’est pas ma faute hein ! Alors ta colère t’évite de la passer sur moi ! Si papa et maman me prête plus d’attention qu’à toi, j’y suis pour rien … Alors arrête de me reprocher d’être devenue une figure, une icône à Cambridge. Et cette histoire d’enfant, change de disque … Comme si j’allais gâcher ma vie avec un mioche ! »
Je ne réalisais que bien trop tard les propos que j’avais tenue envers mon propre frère, j’entendais la dernière phrase que j’avais prononcé en boucle, encore et encore, « Comme si j’allais gâcher ma vie avec un mioche !». Pourquoi fallait-il toujours que je gaffe, même lorsque ce n’était pas intentionnel, je lui faisais du mal. Je détournais le regard, regardant droit devant moi.
- Spoiler:
Désolée du retard, j'ai eu une semaine chargé 
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Chase A. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Dim 2 Mai - 1:17 | |
| Je ne savais pas pourquoi depuis que ma sœur avait changer chaque fois que je la voyais cela m'énerver...en même temps j'étais tellement déçu parce qu'elle était devenu a cause de notre mère que...cela m'énerver .Je voulais plus que tout ré-avoir ce lien qu'on avait avant , mais a vrai dire cela était impossible maintenant elle avait changer j'avais changer .J'étais devenu plus mature car j'avais commencer assez jeune a m'occuper d'elle temps que notre mère partait s'amusait elle pouvait pas comprendre ce que je ressentais non , elle ne pouvait pas car elle ne ce souvenez peu être pu ce qu'il c'était passer avant moi bien au contraire je m'en souvenait notre mère qui rentré et qui fessait comme d'habitude nous ignoré comme mon père qui lui s'occuper legerement de moi étant petit ,mais ma mère non lorsqu'elle me sortie sa petite vanne je ne pu m'empêcher de rire et de secouer la tête et lui avait répondit avec un ton ironique , je ne voulais pas être méchant avec elle , mais elle m'avait trop déçu en couchant par exemple avec mon meilleur ami d'ailleurs je m'en souvenais très bien car je mettais battu avec celui ci , il savait a qu'elle point j'étais protecteur avec et il avait couchée avec...Je plongea mon regard dans le sien ce petit regard pétillant que je connaissais très bien pendant un temps et qui pour moi maintenant m'était totalement inconnu...Je lui avait dis ce que je penser ironiquement je savais que sa aller la toucher ou peu être pas ,mais son regard ne pouvait pas me trahir sa façon de ce comporter oui , mais pas son regard le regard d'une personne ne pouvait jamais trahie c'est réaction on pouvait toujours remarquer un petit truc .Au final je re-déposa mon regard sur mon livre tout en l'ignorant de nouveau un petit blanc c'était installe sois elle allait partir soit elle aller rappliquer et je l'entendis me dire
« Écoute Chase, faut arrêter, je ne lui ressemble pas autant que ça, et puis si tu es jaloux de moi, c’est pas ma faute hein ! Alors ta colère t’évite de la passer sur moi ! Si papa et maman me prête plus d’attention qu’à toi, j’y suis pour rien … Alors arrête de me reprocher d’être devenue une figure, une icône à Cambridge. Et cette histoire d’enfant, change de disque … Comme si j’allais gâcher ma vie avec un mioche ! »
Je me stoppa de lire comme figer quelque instant avant qu'un petit sourire apparait sur mon visage un léger petit sourire au coin content ? non pas du tout , mais juste un petit sourire qui ensuite enchaina avec un petit soupire ce qui voulait tout dire enfaite non ? Je releva mon regard en face de moi et commença lui dire avant d'inspiré profondément
-Jaloux? C'est un bien grand mot je trouve...Comment pourrais-je être jaloux de ma sœur , je suis content qu'elle d'accord de l'importance si tu pense le contraire c'est que tu es une idiote , mais ce faire aimait par sa mère qui devrait nous aimez quoi qu'il arrive et doit nous accepter comme on n'est ...
Je tourna mon regard de nouveau vers elle et continua a dire toujours sur un ton assez calme
-Alors qu'elle , pour être aimait il faut devenir comme elle .C'est totalement stupide .
Je n'étais absolument pas jaloux d'elle que notre mère lui accorde plus d'importance a elle qu'a moi , non au contraire je ne voulais pu d'elle près de moi...je voulais qu'elle me laisse faire ma vie et c'était ce qui ce passer elle me passer juste de l'argent car elle y était obliger sinon maintenant elle et moi on ne ce voyait absolument pu et si on ce croiser c'était comme si on était des total inconnu.Par contre la fin de sa phrase était assez blessante voilà pourquoi j'avais était figer quelque instant en même temps qui voudrait s'encombre d'un gamin a dis huit ans hein? Ma mère elle ne c'était pas fait encombré au contraire elle me confier a d'autre personne et pendant ce temps la elle ,elle allait faire la fête.
Toujours mon regard sur on pouvait voir d'un coter toujours cette tristesse et de l'autre la colère j'essayais de contrôler ma voix pour la garder le plus calme possible .
-De toute façon qu'il te préfère plus sa mais totalement égale , je suis juste une erreurs de leurs jeunesse un fardeau de leurs jeunesse a vrai dire c'est le mot le mieux approprier je pense, Et pour ce qui de "l'icône" que tu es devenu a Cambridge laisse moi rire...Tu as eu une drôle de façon de devenir cette "icône"
Je ferma mon livre puis le rangea dans mon sac et me leva
-De toute façon t'inquiète pas tu auras pu ton grand frère qui va te gueuler tout le temps dessus petite sœur
J'avais insister sur le petite sœur
-Bientôt tu pourras faire ta vie avec TES parents moi je serais pu la je ferrais ma vie ailleurs
Même si je voulais toujours rester ici pour elle malgré ce qu'elle était devenu...elle était fragile malgré ce qu'elle pensait les filles comme elle enfin la fille dont elle était devenue avait toujours un point faible après tout.Puis je me leva et attrapa mon sac avant de mettre une des bretelle sur mon épaule et lui dit tout en la regardant
-Sur ce a la prochaine Laïs
Puis je commença à avancer , a quoi cela servait de continuer de parler on allait encore s'afficher entrain de s'engueuler de nouveau pour changer ....
- Spoiler:
Pas grave t'inquiète pas =D
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Laïs R. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Lun 3 Mai - 10:04 | |
| Un sourire s’afficha sur son visage, un petit sourire en coin, pas un sourire heureux, bien au contraire, vu qu’il fut suivit d’un soupir non dissimulé. Il s’était stoppé juste avant, sous le coup du choc j’imagine, Il leva alors ses yeux vers l’horizon, sans me regarder :
« Jaloux? C'est un bien grand mot je trouve...Comment pourrais-je être jaloux de ma sœur, je suis content qu'elle d'accord de l'importance si tu pense le contraire c'est que tu es une idiote, mais ce faire aimait par sa mère qui devrait nous aimez quoi qu'il arrive et doit nous accepter comme on n'est … »
Il tourna alors la tête vers moi, je sus que sa prochaine phrase soulignerait encore plus la véridicité de ses propos. Il compléta alors sa première intervention, elle m’apparut comme une chute, comme un coup de couteau que l’on remuait dans une plaie, comme du jus de citron dans une blessure.
« Alors qu’elle, pour être aimait il faut devenir comme elle .C'est totalement stupide. »
Je déglutis. Elle aurait dû m’aimer comme j’étais c’est vrai, mais elle ne le faisait pas alors il avait fallu trouver un autre moyen. Même si cela signifiait briser une relation si forte, si intense et si plaisante que celle que j’avais eux avec mon frère. J’avais besoin d’une mère, quoi qu’il dise. Parfois être une fille et se faire élever par un garçon c’est plutôt dure. Lorsque j’avais eu mes premières règles c’est lui qui avait dû s’en occuper, lorsque j’avais au mon premier chagrin d’amour c’est lui qui m’avais consolé et lorsque j’avais eu mon première amour c’est à lui que je me confiais. Mais maintenant que j’avais une mère présente, qui acceptait de m’écouter, je n’allais pas laisser cette chance passée. J’entendis sa voix, elle n’était pas très « stable » d’ailleurs, je voyais qu’il tentait de la contrôler, ses yeux renvoyaient le même mélange que les miens quelques minutes plus tard.
« De toute façon qu'il te préfère plus sa mais totalement égale, je suis juste une erreurs de leurs jeunesse un fardeau de leurs jeunesse a vrai dire c'est le mot le mieux approprier je pense, Et pour ce qui de "l'icône" que tu es devenu a Cambridge laisse moi rire...Tu as eu une drôle de façon de devenir cette "icône" »
Si lui était une erreur, un fardeau je ne me permis pas de rajouter que moi aussi je l’étais. Parce que, au fond, il avait été le premier, celui qui avait le plus souffert. Personne ne l’avait vraiment élevé, il avait choisi d’assumer toutes les responsabilités, et je le remerciais ainsi. Sa dernière phrase était méchante, et j’en fus surprise, d’ordinaire, je blessais mais pas lui. Je baissais la tête, il avait parfaitement raison, je n’étais pas une icône. Loin de là même, lorsque les gens parlaient de moi, c’était en mal, j’étais devenue la traîné de Cambridge, lorsque tu voulais passer du bon temps, tu m’appeler. Je les aurais fait payer que je serais devenue milliardaire en quelques semaines. Il ferma son livre, se leva et en insistant sur les derniers mots me lançait, glacial :
« De toute façon t'inquiète pas tu auras pu ton grand frère qui va te gueuler tout le temps dessus petite sœur »
Il continua, on aurait dit qu’il ne pouvait plus s’arrêter :
« Bientôt tu pourras faire ta vie avec TES parents moi je serais pu la je ferrais ma vie ailleurs »
Je sentis mes yeux me picoté. Comment pouvait-il dire ça, je ne comprenais pas, il me faisait tant souffrir. Le karma sans doute. Je ne voulais pas faire ma vie avec mes parents, juste qu’ils me prêtent un minimum d’attention. De toute façon je n’étais même pas sûr de pouvoir vivre sans mon frère. Il ouvrit une dernière fois la bouche pour dire :
« Sur ce a la prochaine Laïs »
Je vis mon frère se lever, ses paroles m’avaient blessé au plus profond. J’avais l’impression qu’il m’abandonnait comme si personne ne m’avait abandonné avant. Je ressentis un mélange de colère et de tristesse, ce curieux mélange créa de grosse larme au coin de mes yeux qui ne tardèrent pas à rouler le long de mes joues pour disparaître dans mon cou. Rageuse, je les essuyais. Je me relevais et lui criais :
« Chase, on est comme eux, tu es comme eux, je suis comme eux. C’est ainsi. Regarde moi bien en face, dans les yeux, et dis moi que tu ne leur ressemble pas ! »
J’avais marché jusqu’à ses côtés, je lui pris le bras, l’obligeant à regarder mon visage strié de larmes, et mes yeux, encore rempli de celle-ci, et qui était, sans doute, rouge. Je lui offrais sur un plateau ce qu’il me demandait depuis des jours, je lui montrais ma pathétique face, je lui montrais combien j’étais devenue triste à regarder. Mais je l’avais fait par choix. Mais avant qu’il ne puisse parler, je rajoutais :
« Parce que, comme eux tu m’abandonnes, parce que, comme eux, tu le fais car je ne ressemble pas à ce que tu voudrais que je sois. »
Je lui lâchais le bras, j’étouffais un nouveau sanglot, je l’aurais bien pris dans mes bras, mes je me l’interdis. De toute manière, comme aurais-je pu, je tremblait de rage.
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Chase A. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Lun 3 Mai - 19:58 | |
| A vrai dire je savais ce que je disais était méchant...Je savais que sa allait la blessait tout le temps je me retenais ,je me retenait de dire ce que je penser ce que je ressentait c'était pour sa que parfois je me disais qu'il fallait mieux que je parte de chez moi , j'en avais besoin j'avais besoin de prendre du recule sur tout sa , pendant temps d'année j'avais accumuler temps de chose je mettais occuper de ma soeur je n'avais eux aucun merci de mes parents même si je fessais sa par moi même car je ne voulais pas qu'elle vive ce que je vivais...enfin je voulais lui montré que quelqu'un était la pour elle,Mais bon jamais j'avais eu de félicitation non j'ai jamais rien eux il ce fessait pardonner par des cadeau et leurs argent...Qu'es que je m'en ficher de leurs argent ...J'avais mon regards toujours poser sur elle et je déballer ce que j'avais a dire après ses parole qui m'avait blessais de nouveau...a vrai dire tout ce qu'elle me disait parfois me bléser je ne laisser rien paraitre ,mais elle le savait très bien et cela l'amusait apparemment cette fois c'était mon tour je lui disais tout ce que je penser.
Lorsque je lui fis par de ce que j'allais bientôt faire , enfin je devais encore attendre un peu je lui annonça que très bientôt elle n'aura pu son grand frère toujours sur son dos a l'engueuler a lui reprocher ce qu'elle fessait et a ce moment la je remarqua son regard changer ...ses yeux commencer a être quelque peu humide , allait t-elle pleuré ? Je n'aurais peux être pas du lui dire sa comme sa...pourquoi je commencer a culpabiliser ? Pourquoi franchement ! je ne devais pas...ils me fessais souffrir et elle ,elle aimait me faire souffrir aussi pourquoi culpabiliser ...Je me leva et pris mon sac que je mis sur mon dos ,je ne voulais pas voir ce regard triste et en même temps on y apercevait une pointe de colère après lui avoir dit "Sur ce a la prochaine Laïs " .Je commença a avancer je devais aller ou maintenant ? rentré ? tien pourquoi pas même si on vivait dans la même villa on ce croisait que très peu donc sa allait , j'allais aller m'enfermer dans ma chambre et c'était bon ou alors j'allais aller chez un ami sa me ferrais le plus grand bien tien ! Mais d'un seul coup j'entendis un Chase! Je m'arrêta est écouta ce qu'elle disait elle voulait que je lui dise que je leurs ressemble pas ? Sa me déranger pas je ne leurs ressembler absolument pas ! J'allais me retourner pour lui dire et m'avancer vers elle , mais je sentie quelque chose me prendre le bras je baissa le regard pour remarquer sa main sur mon bras et je leva mon regard au sien qui était baigner de larme ce qui...ce qui me fit mal au coeur , c'était comme si je recevais un poignard au coeur j'avais mal d'un coup... malgré que je ne m'entendais pas avec elle en ce moment je n'aimais pas la voir pleuré de plus de savoir que c'était a cause de moi....Je ne devais pas culpabiliser ...je me disait plusieurs fois cette phrase dans ma tête ,mais sa ne marcher pas sa ne servait a rien , je fronça legerement les sourcil non je ne leurs ressembler pas ! je la regarda dans les yeux et me mi bien face a elle
-Je ne leurs ressemble pas ! Moi t'avoir abandonner ? C'est plutôt toi qui ma abandonner...,c'est toi qui ma trahi ? Qui depuis qu'elle a changer ne pense pu qu'a une seule chose sa popularité? Qui passe plus de temps a aller draguer d'autre gars et qui a même couchée avec mon meilleur ami ?
Dis je toujours en la regardant elle tremblait...je voudrais faire comme avant lorsque je la voyais pleuré comme lorsqu'elle avait eux son premier grand amour et que celui ci l'avais abandonner cette scène je m'en rappeler elle pleuré , elle trembler ,elle ne voulait pu manger pendant un moment et j'avais tout essayer pour la refaire sourire ,mais la ...je ne pouvais rien faire car c'était a cause de moi qu'elle pleuré c'était a cause de moi ses larme qui coulait sur son visage magnifique.Mon visage s'attrista .
-Tu m'avais toujours dis que tu ne deviendrais jamais comme elle car tu ne voulais pas lui ressembler et du jours au lendemain elle venait plus souvent j'étais content car tu passer du temps avec et sa avait l'air de te faire du bien mais...
Je fronça légèrement les sourcil et mon visage ce crispa
-Mais tu tes mise a faire tout et n'importe quoi , je t'abandonne pas ,c'est toi qui ma abandonner depuis que tu es arriver ici et que ta changer de façon de penser et de comportement. |
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Laïs R. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Jeu 13 Mai - 9:59 | |
| «Je ne leurs ressemble pas ! Moi t'avoir abandonner ? C'est plutôt toi qui ma abandonner...,c'est toi qui ma trahi ? Qui depuis qu'elle a changer ne pense pu qu'a une seule chose sa popularité? Qui passe plus de temps a aller draguer d'autre gars et qui a même couchée avec mon meilleur ami ?»
Répondit-il à ma première phrase. Certes, je l'avais sans doute abandonner, et le savoir, le fait qu'il me le reproche, fit couler quelques larmes encore sur mon visage déjà bien amoché. Moi, c'était moi qui ne pensais plus qu'à la popularité et ce à quoi j'avais droit grace à elle. C'éait moi, moi qui passer mon temps à draguer tous ce qui avait de la testostérone et qui était plutôt mignon. Et c'était moi qui avait fait l'ultime chose, letruc le plus dégeulasse que j'aurais pu lui faire, c'était moi qui avait charmé son meilleur ami poru coucher avec lui. Mais les accusations ne s'arrétèrent pas, j'aurais tellement voulu que se soit fini, mais il reprit deplus belle :
«Tu m'avais toujours dis que tu ne deviendrais jamais comme elle car tu ne voulais pas lui ressembler et du jours au lendemain elle venait plus souvent j'étais content car tu passer du temps avec et sa avait l'air de te faire du bien mais...»
Vrai, vrai encore, j'avais juré de ne jamais lui ressembler, or, je faisais exactement le contraire, je faisais tous pour lui ressembler, tous pour être comme elle. C'est vrai, mon frère ne s'était jamais plaint qu'elle passe du temps avec moi, je pense qu'il avait trop confiance en moi, sa petit soeur, celle qu'il pensait connaître par coeur, mais j'avais tous fait pour qu'elle m'aime, j'avais été trop influencable. Mes larmes redoublèrent, si cela était encore possible ... J'avais du mal à respirer, et je voyais complétement trouble. Encore des mots blessants, toujours des mots blessants :
«Mais tu tes mise a faire tout et n'importe quoi , je t'abandonne pas ,c'est toi qui ma abandonner depuis que tu es arriver ici et que ta changer de façon de penser et de comportement.»
Je ne voulais même plus réflechir, je ne pouvais même plus réflechir, je m'accrochais à son bras, tellement mes jambes tremblaient, je n'avais plus de forces pour rien, j'aurais pu m'écrouler à terre s'il n'avais pas été là. Ce moment précis où ni l'un, ni l'autre ne parlaient été idéal, idéal pour lui dire que j'étais désolé, que j'aurais voulu changer, mais que maintenant je ne pouvais plus vraiment le faire ... J'aurais voulu lui dire que je l'aimais, que ça, ça n'avait pas changé. Au lieu de ça, elle resta planté là encore quelques instants, le temps pour elle de faire un choix difficile, celui de concilier deux vies parfaitement et complétement différentes. Elle prit son frère dans ses bras maigres et doucement murmura :
«Je t'aime & c'est la seil chose dont je suis certaine ses dernier temps Chase.»
Je ne savais plus quoi faire, pour la première fois depuis bien longtemps, je me remettais en questions. Devais-je resté celle que j'étais ou changé complétement ? Je ne savais pas, j'étais perdu et mon frère avait réussi à mettre cette branche de doute en moi.
- Spoiler:
Désolée, ça a été trèsd long et très médiocre :$, promis je me rattrape au prochain 
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Chase A. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Jeu 13 Mai - 11:40 | |
| Parfois cela fessait du bien de vidé son sac et c'était ce que je fessais avec Laïs , elle avait juste dis un petit truc et voilà j'avais exploser tout ce que je garder ,tout ce je ne disais pas pour ne pas m'engueuler plus avec elle sorter et cela la fessait pleuré...Je n'aimais pas la voir pleuré , mais...la elle ne devait pas supporter tout ce que je lui reprocher elle pensait que c'était moi qui l'abandonner ? Et ben non c'était elle , elle qui avait totalement changer qui avait préféré rester plus de temps avec notre mère et qui l'avait toute changer , ce n'était pu ma soeur d'avant , certes je savais qu'elle allait changer ,qu'elle allait devenir une femme ,mais pas de la sorte pas une fille égoïste , qui couche avec n'importe quels mecs , arrogante .Je repense au jour ou j'avais appris que James et elle avait couchée ensemble certes je n'aurais pas du réagir comme sa ,mais James savait comment elle était en ce moment et n'aurait pas du faire sa et pourtant il l'avait fait je lui en avait voulu pendant un moment ,mais tout c'était arranger avec lui par contre avec ma soeur non rien n'avais arranger qui sais si ma soeur n'aurait pas changer ,j'aurais peu être pris la chose mieux que cela qui sais , mais la en sachant que ma soeur était perturber et couchée avec n'importe qui...Bref..
Je la regarda tout en disant cela plus je sorter certaine chose plus mon coeur ce briser de la voir pleuré...Pourtant je ne devrais pas culpabiliser parfois ce qu'elle me sorter était très méchant et pourtant je n'avais jamais montré une moindre onde de faiblesse sauf que on pouvait voir sur mon visage non pas du dégout loin de la mais de la tristesse ,j'étais déçu .Mais bref...Un blanc c'était installer je ne disait plus rien on entendait que ses pleure certain regard était sur nous ,on pouvait croire que j'étais le méchant frère qui fessais sa petite soeur qu'ils pensent ce qu'ils veulent .C'était entre Moi et Laïs et ils ne savaient pas ce qu'on vivais ! Elle c'était accrocher a moi je n'avais pas encore bouger je la regarder pleuré .J'avais envi de la prendre dans mes bras...Mais je ne savait pas si je pouvais ou pas...Après tout ce que je venais de lui dire ,mais elle était accrocher a mon bras puis je la sentie me prendre dans ses bras , j'étais étonner cela fessait longtemps qu'elle n'avait pas fait sa ....Après quelque instant d'hésitation...Je décide de bouger et de passer mes bras a mon tour au tour d'elle et j'écoute ce qu'elle me disait .Comment je devais le prendre?Je ne savait pas elle m'avait tellement menti c'est dernier temps
-Pourtant c'est pas l'impression que tu me donne ces dernier temps...
Dis je d'une voix calme de nouveau et triste aussi , je me demander si après cela tout allait redevenir comme avant ou alors si tout aller changer...Malgré ce qu'elle me disait la , qui me dis qu'elle n'allait pas reprendre des demain son rôle de garce?Je m'aperçus qu'elle trembler quelque peu lentement je m'abaissa avec elle pour nous assoir dans l'herbe , je la laissa ce calmer , je lui caresser legerement les cheveux comme je le fessais avant lorsqu'elle allait mal et qu'elle venait dans mes bras pour pleuré lorsqu'elle avait une peine de coeur ou alors lorsqu'elle c'était engueuler avec ses ami(e)s.
-Tu veux qu'on aille ailleurs pour parler plus calmement ?
Enfin si elle le voulait car peu être ,qu'elle voulait ce retrouver seule maintenant
- Spoiler:
Pas grave t'inquiète pas et elle me va ta rep =D
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Laïs R. Waldmann
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs Dim 16 Mai - 17:45 | |
| Mon frère me pris également dans ses bras, j'appréciais ce geste, il me réconfortait bien plus que tous les mots du monde. Il n'y avait sans doute pas de mot pour décrire mon état excepté "remise en question", cette expression corresopndait parfaitement à mon état d'esprit actuel, que faire ? Devais-je resté la même fille, garce, hypocrite et menteuse ? Ou alors, je pouvais faire comme mon frère le souhaitait, redevenir sa Laïs, une fille forte, et qui a toute sa dignité et son honneur. Mais en même temps, dans un cas comme dans l'autre, il y avait des avantages, et des avantages que je ne voulais pas perdre ... La phrase qui suivit, me permis toutefois d'y voir un peu plus claire :
«Pourtant c'est pas l'impression que tu me donne ces dernier temps...»
J'avais réussi à sécher mes larmes, et je savais ce qu'il me restait à faire, il me fit m'asseoir par terre car je tremblais et il me caressa les cheveux comme avant. J'avais envie de retrouver ces moments particulies, ces moments où seul Chase et moi existions. Je savais qu'il me fallait changer pour retrouver ces moments privilégiés que j'aimais temps. En fait, je savais exactement ce que je devais faire, ce n'était vraiment pas compliquer à comprendre. Par contre, le faire allaot être plus dur. Je voulais continuer à être une fille populaire, que les mecs désireraient et que les filles envieraient, et je voulais être proche de mon frère et être une bone personne. Alors je sus que je devais mixer ces deux Laïs, qu'il n'en reste plus qu'une. Mon frère m'adressa une nouvelle fois la parole :
«Tu veux qu'on aille ailleurs pour parler plus calmement ?»
L'idée me semblait excellente, nous devions parler, de beaucoup de chose, j'avais du retard dans sa vie et lui dans la mienne. J'acquiessais, je ne voulais pas que les autres me voient pleurer, j'allais devoir subir leurs regards moqueur et emplie de pitié pendant trop longtemps :
«Oui, allons autre part, dans un endroit plus discret afin de parler, j'ai beaucoup de choses à te dire Chase.» |
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| | Sujet: Re: «Nul ami tel qu'un frère ; nul ennemi comme un frère.» Chase&Laïs | |
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