Forest Whitaker à dit "L'enfance este-ce que nous passons notre existence à essayer de retrouver." et moi, Laïs Rose Waldmann je suis entièrement d'accord avec cette réplique de film. En fait, mon enfance était vraiment cool, bon c'est vrai que je ne voyais pas souvent mes parents, et que ceux-ci ne souhaitaient pas non plus passer du temps avec moi. En fait, ma mère est tombée enceinte de moi à 20 ans soit deux ans après mon frère. En fait, je crois que ma mère ne nous à jamais vraiment aimer Chase et moi. Elle était plutôt du genre vénal, à attendre que mon père sorte son chéquier et pour tous dépenser en fringue et en soirée. Mais bon, que voulez-vous ... Donc, mon enfance était plutôt cool, un monde rempli de Barbie et de princesse, tous ce dont rêve un enfant. Même si j'avais des tuteurs pour parfaire mon éducation, les cours n'ont jamais été ma priorité, intelligente, je l'ai toujours été, donc je ne m'étonnais jamais de récolter des A+ à chaque matière ou presque. Les enfants voulaient tous être mes amis, et sans savoir pourquoi, j'avais ce moyen de fasciner et de contrôler. Bien sûr, je l'ai découvert bien plus tard, à 7 ans vous ne découvrez pas que vous pouvez contrôler les esprits. Enfin, ma vie n'est pas un calvaire, je vais pas exagérer non plus. Donc, pour revenir à mon adolescence, ou plutôt pour commencer à vous conter cette partie peu flatteuse physiquement de ma vie, je suis entrée au collège. A cette époque, toutes jeunes personnes qui se respectent portent un appareil dentaire où chacun de vos aliments s'y coince, bref, l'horreur ! Moi, j'étais le genre de fille normal, je m'habillais comme tout le monde et j'agissais comme tout le monde. Ma seule différence ? Je jouais du piano et du violon à la perfection. J'avais commencé à 9 ans, et depuis, la passion de la musique s'était emparée de moi. Je me souviens que mon frère et moi jouions tous les deux dans le salon familial, tandis que nos parents lisaient devant un feu de cheminée. Si si, je vous assure ! Même si cela à l'air d'une scène idyllique, elle ne se produisait que très rarement. Bref, au collège je me fondais dans la masse tandis que mon frère faisait partie des personnes plus populaires, et cette vie nous convenait parfaitement. Mais lorsque mon entrée au lycée arriva, ma vie changea. Ma mère, excédé de ne pas me voir suivre la mode et de ne pas être invitée dans les soirées, décida de me prendre en main et de me transformer en mini-elle. Autant dire en garce frigide. N'ayant plus le temps d'étudier, mes notes chutèrent dangereusement, mais cela ne sembla pas inquiéter mes parents. Et du coup, je ne m'en inquiétais pas, pire, je m'en fichais royalement, je traînais avec les filles les plus branchées du lycée, on m'enviait, on m'admirait. Lorsque cela vous arrive, vous perdez le sens des réalités, je suis devenu méchante, garce, je me montrais hypocrite envers tout le monde, et je ne vous parle même pas des garçons. Le seul problème était mon frère, celui qui m'avait toujours soutenue, celui qui m'avait toujours écouté et aimer tel que j'étais, me rejetais et ceux plutôt violemment. Nos soirées, nous les passions à nous disputer, lui me reprochait de ne plus savoir où étais mes limites et moi-même, je lui reprochais de ne pas me comprendre.
Voici le récit de ma vie, si je n'ai pas détaillé, c'est pour une bonne raison, les jeunes de bonne famille Londonien n'ont pas la vie la plus saine. Lorsqu'il fut temps de m'inscrire dans une université, un seul choix s'imposait à moi, Cambridge.

Sur ceux, au plaisir de vous rencontrer au détour d'un couloir ...

Re Bienvenue, dans ce cas (:

Bienvenue à toi pour ce deuxième perso' !