C'est le 26 octobre 1992 que je sortis pour la première fois ma tête. Je ne peux pas vraiment vous dire ce qu'il c'est passé car pour être honnête je ne m'en souviens pas. Ce qui est un peu normal, non? Mais, grâce à ma mère je sais quelques détails. Par exemple; elle m'a dit que j'étais la plus belle chose qu'elle n'avait jamais vu, qu'en me voyant mon père se mit à pleurer de bonheur et que c'était le plus beau jour de mes parents. Avec ces quelques informations, vous pouvez imaginer un peu comment ça s'est passé. C'est toujours mieux de laisser le cour de notre imagination. Mais maintenant, je vais vous raconter exactement ce qui s'est passé pour que j'arrive à mes 18 ans. Tout d'abord mes parents ne sont autres que les membres de la famille Watson. Vous savez l'homme d'affaire italien le plus redouté de New York et ma mère est une ancienne mannequin française qui c'est "recyclé" dans le cinéma. Et oui, c'est moi la petite veinarde qui a des parents richissime. Mais très vite, je me suis rendu compte que l'argent était loin de faire le bonheur. Au contraire, ça amène plus de problème que ça en résolu. Laissez-moi-vous expliquer.

Je grandis un peu chaque jour sans la présence de mes parents. J'été très gâté et je ne manquais de rien. Dés que je souhaitais quelques choses je l'avais. Elle n’est pas belle la vie? Mais au fond je manquer toujours de quelque chose de l'amour. Mais à quoi ça sert quand on a un compte en banque plus important qu'une personne moyenne qui travaille alors que j'avais que 2 ans ? Mes parents n'ont jamais été là pour moi: ils n'ont pas vu mon premier récital, ne m'ont pas accompagné pour ma première rentrée, ne m'ont pas donnée de conseil sur les garçons, ne m'ont jamais réconforté quand je pleurer... Et je pourrais en cité encore et encore pour moi ils ne sont rien aujourd'hui. Mais assez parler d'eux, parlons plus de mon éducation... Comme mes parents n'étais jamais là il fallait bien que quelqu’un s'occupe de moi alors ils ont engagez des nourrisses. Je dis des parce qu’à chaque fois qu'ils voyaient que je m'attacher ils la renvoyaient et en engagez une autre. Déjà toutes petite j'avais un fort caractère, si une nourrisse ne voulais pas faire quelque chose que je voulais je la faisais renvoyer. Bien sur j'étais dans une école privée comme tous les enfants des amis de mes parents, où tous le monde m'adorer ou du moins faisais semblant de m'aimer pour ne pas m'avoir comme ennemie car sinon ce n'étais pas très beau à voir. Au lycée j'organiser les plus belles fêtes, je sortais avec un tas de garçon et en plus j'étais assez intelligente pour avoir mon diplôme sans problème et les félicitations. Bref ma vie était géniale, j'avais des amis avec qui rire et faire du shopping. J’ai toujours voulut entrer à Cambridge car mon père avais fait ses études là bas alors je pensais que si je réussissais à y entrer mon père serais content mais en faite non il s’en fichait tant que j’étais admise à une des meilleures universités, il pouvais se vanter que sa fille était brillante. Et dire que je me suis acharnée pour avoir un excellant dossier pour parvenir a entrer sans l’intervantion de mon père. J’ai passé tous mes étés dans des pays étranger pour étudier la langue couramment ; le français, l’italien, le chinois, le russe, l’espagnol et l’anglais normal. Bef aujourd’hui je suis à Cambridge est pour moi c’est une université génial, je me suis fais plein d’amis et en plus je suis assez populaire. J’étudie le droit pour être une avocat d’affaire internationale ce qui ne devrais pas poser de question vu le nombre de langue que je parle.