J'ai toujours connu un vide. Les chaises vides, la maison vide, ma vie ? Tout aussi vide. Mes parents sont très haut placer et à vrai dire, n'ont jamais rien compris à l'éducation d'un enfant. Si ils m'ont conçu, c'est plus pour avoir une décence et pouvoir laisser l'affaire de mon père dans des mains familial. Mais à l'age de 5 ans, quand vos parents ne sont jamais là et qu'ils vous disent que vous ferez un grand patron, et partent aussi tôt, que voulez-vous vraiment faire ? Si ce n'est attendre à la fenêtre qu'ils reviennent. Ils étaient toujours absent, ça ce n'était pas discutable, mais qui s'occupait vraiment de moi ? Ma tante. Elle avait grand cœur, et s'occupait de moi avait l'air de lui faire plaisir. Ce que je ne savais pas ? Qu'elle était malade. Au fil des années, tout était un peu chaotique. J'aimais mes parents, mais je préférais ma tante même si elle aussi s'absentait, je pouvais aller la voir a l'hôpital où elle était. Quand je la voyais dans le jardin prendre son thé, cela me faisait toujours sourire et rendre heureux, mais quand je la voyais faible dans son lit d'hôpital, j'étais triste au point de vouloir pleurer. Je devais être un grand garçon et ne pas pleurer, mais je ne voulais pas qu'elle me quitte. Cette femme au visage empreint de douceur. Quand à mes parents, ils ne comprenaient toujours pas. Et ce fut quand j'entrais dans l'adolescence avec tout ses mauvais côtés qu'ils ont compris. J'adorais énerver mes profs, faire des blagues aux autres élèves et m'amuser avec de l'alcool, de la drogue parfois. Enfaite, si on compte, je n'ai fait qu'une seule crise pour leurs faire comprendre. Ma mère à entendu de ma bouche des phrases qu'elle-même ne voulait pas s'avouer et quand à mon père, il comprit qu'il n'était pas le meilleure père au monde. Après ça, j'ai compris que j'étais riche, assez beau et que je pouvais m'amuser encore plus. Alors je le faisais, je faisais tout ce qu'il me plaisait de faire. Mais un jour du mois de juillet qui date à quelque années, par amour pour ma tante et par reconnaissance, lui ait offert un de mes reins. J'étais du même groupe sanguin, alors pourquoi ne pas faire ça pour elle. Les années passaient et j'étais toujours aussi dispersé jusqu'à mes 18 ans, ou grâce à mes parents j'ai pu entrer dans une université et aussi rencontrer l'amour,l'amour vraie et véritable. Je l'aime, elle m'aime aussi, elle me le montre, mais moi, je n'y arrive pas. Quand au reste, je fais des études de sport pour devenir professionnel. Mais enfaite, je préfère profiter de ma vie d'étudiant...Ce que je veux réellement ? Je ne sais pas, peut-être une carrière de sportif pour au final reprendre la compagnie de mon père, comme tout bon fils de riche. Mon avenir n'est pas encore tracer, je suis encore jeune...