(c) Emeralza E. Peterson ( moi-même )

Encore un rêve coupé, encore un sommeil interrompu rien que par une machine servant à vous pourrir la vie : Le réveil ! Oui, ce petit appareil avec quelques boutons et une horloge, digitale ou ancienne, vous réveille à une heure que vous avez vous même programmer. C'est fou comme le réveil nous est insupportable mais si important dans notre vie. Il nous empêche de nous lever trop tard pour pas arriver en retard ou de nous faire rappeler l'heure à laquelle on doit partir. Enfin bref, on a beau le maltraiter, l'insulter, le taper, il sera toujours d'une grande utilité pour nous. Je me levais de ce pas lourd, qui chaque matin, m'accompagne jusqu'à la salle d'eau pour prendre ma douche et me préparer afin d'aller à l'université de Cambridge où j'étudie le droit afin de devenir Avocate. Ce métier m'a toujours passionné, je dois l'avouer. Enfin bref, je m'écarte du sujet là. Je reprend : Une fois rendue dans la salle d'eau, je pris une douche bien chaude, et ce n'est qu'au bout d'une demi-heure que j'en ressortie. Je vais pas vous compter le passage dans la douche, tous le monde sait comment se laver, en principe. Alors, ce n'est qu'après avoir choisit quoi me mettre, comment me maquiller, me coiffer, me chausser, que je fus prête à partir. Ma chambre, je la partage avec ma meilleure amie et une autre fille, on s'entendent bien toutes les trois, je n'ai pas à m'en plaindre ! J'allais toujours plutôt en cours dans l'espoir de voir Devon, mon petit-ami. Il est sans cesse dans mon esprit et je suis réellement amoureuse. J'espère que nous deux, sa dureras. Pour le moment, c'est tendu entre nous. Il ne m'as jamais dit Je t'aime et j'ai peur qu'il ne tienne pas à moi. M'aime t'il réellement ? Pourquoi reste t'il avec moi ? Et pourquoi je me tourmente avec tout cela ? Je secouais ma tête, comme si sa allait chasser mes idées noires et bizarrement, sa marche. Alors, c'est à cet instant que je le vis, une fois rentrer dans les locaux. Posé près de mon casier, il m'attendait. Je souriais et j'avançais vers lui, pour une fois rendue, l'embrasser. C'est ses baisers qui me font goûter aux bonheur, c'est ses caresses qui me font aimer ses moments magiques, c'est ses yeux qui me montre le meilleur des mondes, c'est lui qui provoque cette joie et se bonheur inexpliquée en moi. Je l'aime, de tout mon cœur et tout simplement. Je dus quitter ses bras pour aller étudier un peu, je n'en avais pas envie mais je le devais. Profitant une dernière fois de ses baisers, je partit en directions des salles d'études pour écouter les cours sur le droit, qui me passionne tant.

16heures ! La fin de ma journée de cours. Je n'avais pas envie de rentrer dans ma chambre, et Devon avait encore cours donc, je ne pouvais pas faire grand chose à part du shopping mais pas avec n'importe qui ! Je pris mon portable et j'envoyais un sms comprenant dedans : « Coucou Ana, Comment vas-tu ? (: J'ai plus cours, et je me suis dit que j'allais faire du shopping et sans toi c'est pas pareil, ca te dit de m'accompagner ? Bisous » Voilà, Sms envoyé à Ana, mon amie du shopping. On a les mêmes goûts côté mode et on s'entendent très bien. Alors, je me dirigeais en direction de l'un de nos magasin favoris et je m'installais, une fois rendue, sur un banc pour l'attendre. Jambes croisées, sac à côté de moi, téléphone en main, je m'occupais comme je le pouvais. Je parlais avec Devon, tout en attendant Ana. C'est quand je l'aperçue au loin que je mis un terme à ma conversation avec lui. Il me suffisait de lui dire Je t'aime pour qu'il ne me parle plus. Est-ce qu'un jour il me le dira enfin ? J'espère bien ! Je me levais, je pris mon sac et je souriais à Ana, tout en l'enlaçant très rapidement dans mes bras. Je lui proposais une boutique au pif, et on rentraient dedans. On regardaient différentes robes et hauts puis, je commençais la conversation, avec mon sourire qui en charmaient plus d'un.

« Alors, comment vas-tu ses temps-ci? »

Emeralza Peterson
Ana Finley

« Good Girls Go Bad »

« Oh, Girl just wanna have fun ! » Qui est cette imbécile qui chante si tôt le matin ! Je mis mon oreiller sur mes oreilles pour ne plus rien entendre mais le son persisté. C’est sûrement une de mes colocataires, qui est d’humeur matinal. Enfin, elle va m’entendre elle, pour une fois que je commençais à 10h. J’ouvre un œil, puis deux. Là je remarque que personne n’est dans la chambre. Oh… J’ai compris ! C’est le réveil. Je l’éteignais aussitôt. Heureusement, qu’elles n’étaient pas là, sinon, je les aurais disputé, pour rien. C’est filles là, je les aime bien. Pourtant je n’aimes pas grand mondes je l’avoue. Une dizaine de personne en guise de mon cercle d’amis. Le reste, je m’en contrefous, des ennemis, j’en ai pleins, &, j’adore ça. Le regard noir, qui veut nous tué, alors qu’ils se trompent totalement, c’est pas en un regard que je vais mourir, & ils ne me font pas peur du tout, bien au contraire, c’est très amusant. Ils sont naïfs, c’est gens là ! Je me leva avec difficulté, partit dans la salle de bain & me lava, puis me sécha, me maquilla, me coiffa, & m’habilla, enfin bref, tout ce que fait une fille le matin. Je m’étais vêtu d’une légère robe blanche à motif. Il faisait chaud en ce moment. Autant en profiter. Je partis tranquillement à mon cours de stylisme. En chemin, je croisai, Leah, ma colocataire, qui était partit plus tôt.

***

15h30. J’ai finis les cours pour la semaine. Je m’avançai vers un banc, afin de lire, ce magasine, que je n’ai toujours pas lus, depuis 1 semaine que je l’ai acheté. Je commença, à le feuilleté, jusqu’à en lire, toutes les pages. Je ne me serais pas arrêtée, si mon téléphone n’avait pas sonné. Un message d’Emeralza qui me demande de faire du shopping. Incapable de refuser, je lui répondis que j’arrivais. Je pris ma voiture garait sur le parking de Cambridge. Et partit, vers le centre commercial. Elle devait sûrement m’attendre à notre point de rendez vous habituel. C’était le cas. Elle était là, assise sur un banc, jambes croisés, & téléphone dans les mains. Comme d’habitude, elle devait parlait à Devon. A mon arrivé, elle se releva, me fit un grand sourire & je l’ai pris rapidement dans mes bras, en guise de bonjour. Puis nous partîmes dans une boutique. Là bas, j’étais éblouie par la nouvelle collection. Je regardai chaque coin du magasin, suivi de très prés par Emeralza. Je sentie que j’allais encore dépensé des tonnes. Mais, ça valait la peine, & j’avais les moyens. Elle entama la conversation :

- Alors, comment vas-tu ses temps-ci ?

Elle me fit son sourire, au quel personne ne peut résister. Ce qui me fit rire.

- Très bien, un peu fatigué, mais ça va. Et toi ? Comment vas-tu ?

J’aurais voulus lui parler de Devon, mais n’allons pas trop vite.

Emeralza Peterson
Ana Finley

« Good Girls Go Bad »

Je m’éblouissais à travers les allées, la nouvelle collection était vraiment TOP. Rien à redire. Elle me donnée même des idées, pour mes créations. Les vacances arrivaient à grands pas, & il fallait prévoir, au plus vite, les maillots de bain, les shorts, les tongs, les robes, ou encore les lunettes de soleil. J’avais une dizaine de tenue dans mes bras, j’étais bientôt prête pour aller aux cabines en cours de chemins, ou sinon, je demanderais un portique, qui me faciliterait la vie.

Je vue Emeralza remettre ses cheveux pour cacher son appareil auditif’, j’étais au courant, mais je n’en parlais pas, je savais très bien, qu’elle n’aimait pas ça, & je respectais sa volonté. Ca ne devait pas être marrant tout les jours, alors, je préférais, rien dire.

- Je vais bien également, merci. Côté cœur, sa avance ? T'a réussit à séduire Edwin ?

Edwin ! Ah lala, ce gars, mais waouh ! Physiquement tous ce que j’aime, & intérieurement aussi, tellement j’étais folle de lui, j’en parlais à tout le monde. Tout Cambridge, & Harvard, devait être au courant, mais je m’en fichais. Chacun pense ce qu’il veut, moi je sais ce que je veux. Bien sur, tout le monde était au courant, mais pas de la même façon, que mes amies, les plus proches, dont Emeralza, fait partie. Je lui racontais pas mal de chose, j’avais confiance en elle, & je n’hésitais même pas une seconde.

- Et bien, je dois t’avouer que ça avance, déjà qu’il n’est plus avec Bliss, il commence à s’intéresser à moi. Et je ne dis pas ça parce que je l’aime hein.. C’est des choses qui se sentent.

Elle devait sûrement me prendre pour une folle. Même si j’étais sûr lui, je ne pouvais m’empêcher, d’aller voir ailleurs, & de prendre du bon temps, sans jamais rien éprouver. Je continuais l’aller, puis repris.

- Et toi côté cœur avec Devon ? Je suis obligé de te demandé, parce que Monsieur, ne prends plus le temps pour sa soit disant meilleure amie.

Nous étions dans la même université, certes, mais on se voyait de moins en moins. Elle savait que je plaisantais, je le voyais quand même régulièrement, mais moins qu’avant c’était sur. Mais ça ne changeait rien au fait, qu’il soit mon meilleur ami & mon confident à la fois.