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 je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James

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Anonymous

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je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James Vide
MessageSujet: je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James   je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James EmptyMar 16 Fév - 18:12

    Cher journal,

    Aujourd’hui, pour la première fois depuis plusieurs années, je t’écris, je crois que faire mes valises à égailler de nouveau souvenir et sentiments en moi. En relisant les pages précédentes, je me rends compte de l’adolescente que j’étais et de la femme que je suis. Je ris, depuis longtemps c’est bon de rire et de penser à autre chose ; Noël est passé, une nouvelle année commence, et de bonne résolutions s’impose, être heureuse, trouver la bonne personne, combler mon fils de bonheur et arrêter d’avoir peur. Je reste pourtant convaincu que James est celui qu’il me faut, je l’aime vraiment bien. 2010 commence c’est important. Et l'envie de combler mon enfant me hante, chaque jour il me demande qui est son père et cela devient de plus en plus dur au fur et a mesure des jours.
    J’ai l’impression de retrouver une âme d’enfant, mais ma famille me manque, ma mère un peu folle et incompréhensible me manque, j’ai sans aucun doute était trop dur avec elle, en gardant mon enfant contre son grès, je sais qu’elle m’aime et je l’aime moi aussi. Mais au fond elle me manque, cependant, j’adore cette université et sa folie, et aussi les gens qui y sont. Lilween me manquera, beaucoup, son coté si tendre et psychologue, sa classe me manquerons, Harvard me manqueras, Leslie que je viens de rencontrer mais par-dessous tout, encore lui, James. Mais j'entame ma dernière années a Harvard et bientôt je devrais partir en quête d'un nouvel avenir, d'un nouveau territoire, pour écrire la suite de mon histoire.
    Je ne suis pas sur de réécrire dans ce journal rose avant un moment, Alors je reviendrais promis un jour quand tout ira mieux. Peut être à la fin d' Harvard ou plutôt dans ma prochaine vie, ma prochaine histoire. Merci cher ami d’avoir été la à chaque moment de ma peine.


    Je fermais mon journal avec satisfaction et soulagement, je dois avouer que j'ai besoins d'écrire ce que je ressens au plus profond de moi : peine, amour, tristesse, joie, peur et déception ce qui m'arrive très souvent. Je ne sais plus que faire, perdue depuis 4 ans déjà, je ne ressens plus rien et si je vie c'est bien pour mon enfant, mon fils, ma bataille. Je n'ai plus de famille, plus de sentiments rien a vrai dire, on pourrais me confondre avec un zombie ou un mort à l'intérieur de moi même. Chaque jour mes amis, ma deuxième famille me demande si je vais bien et ma réponse est courte : « Oui ». Je suis toujours joyeuse a l'extérieure, le sourire au lèvres un peu naïvement, et tout le monde me crois enfin je crois, peu de personne savent pour ce viol et ces épreuves difficiles que j'ai pu surmonter au fils des années précédentes. La vie n'est pas juste surtout pas avec moi, je ne voyait plus l'enterait de rester en vie mais quand Andréa est né tout c'est éclairée d'un seul coup. Je doit me battre, pour lui, pour qu'il soit fier de sa maman. Mais en ce moment même je devrais vous avouer que je ne pense qu'a lui, son sourire, son regard, son odeur et pourtant pour lui je ne suis qu'un simple objet sans plus n'y moins, comme toutes les conquêtes qui a pu avoir. Je le comprend qui voudrais de moi, d'une mère qui a était violé. Même s'il n'est point au courant, il l'apprendra un jour et ce jour la mettra fin au peu de lien qui nous réunit encore. J'ai envie a chaque fois que je croise son regard de lui dire a quel point je l'aime, a quel point je tiens a lui, vous avez tous compris, je parle évidemment de James.

    La journée était tout simplement radieuse, encore plus que les autres jours de la semaine. Ce jeudi tout était parfait, un soleil brillant dont les rayons réchauffait la beauté de la ville, ce trouvait en plein centre d’un ciel d’un bleu étonnant. Plus les jours passait plus sa couleur était belle. Un bleu azur a la fois doux et tendre. Aucun nuages, pas de pluie simplement la chaleur. Autant vous dire que par un temps pareils la plage était pleine, Reese passait par là sa première intention était de profiter de la journée sur la plage mais en arrivant elle changea vite d’avis. La plage était certes très grande mais elle voulait quelques choses d’assez calme, au centre de la plage il y avait une bande de jeune, il devait avoir a vu de nez, entre 16 et 18 ans voir 19. Cela lui rappelée le lycée, ce n'était pas choses simple mais elle ne le regretterait jamais. Ce jour était si beau que personne n'aurait imaginé être à Harvard. Il y a deux jours, il pleuvait aujourd’hui le soleil brillait.

    « Aller Reese, il est temps de partir »

    Maintenant, le bouquet, je parle a moi même, je pris un taxi pour rentrer et enfin arriver m'enfermer a nouveau dans ma chambre. J'ouvrais la fenêtre puis la porte repartie dans ma position initiale assise sur mon lit posées a coté de moi, mon petit journal rose. L'ennuie me battait a nouveau, rien a faire les jours ou l'on a pas cours tout simplement encore une fois, je me levait et pris ma douche sortie vêtu seulement d'une serviette blanche, mes cheveux mouillée mis d'un seul coté, sur mon épaules gauche et assise sur mon lit. La radio allumait ou l'on pouvait entendre : «Tik tok de Ke$ha ». Un léger sourire se poser pendant quelque seconde, mon portable a coté le regardant et appuyant sur répertoire, le premier nom qui venait était James, je le reposait essayant de ne plus y pensé mais rien ne s'y faisait, je devais l'oublier comme il a du surement le faire avant qu'il me brise le cœur, je ne crois pas que je pourrais le supporter. Il devait être en ce moment en belle compagnie d'un belle blonde bimbo avec de gros seins, refaite de tout les cotés avec un robe rose pailletée qui la mettait en valeur pas comme moi, tout mon contraire. Je ne voulait pas me bouger, je restais la porte ouverte ainsi que la fenêtre en serviette sur mon lit.
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James C. Owen

James C. Owen
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MessageSujet: Re: je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James   je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James EmptyMar 16 Fév - 20:00

      Cher journal,
      Va savoir pourquoi aujourd'hui je m'adresse à toi directement au lieu de tout simplement écrire ce qu'il me passe par la tête. A croire que mon esprit est accaparé par une chose dont j'ignore l'origine. A vrai dire, il est peut-être temps pour moi d'affronter mes démons intérieurs et d'aller de l'avant. Mais je suis sur que toi non plus tu ne me crois plus lorsque je fais de telle promesses. J'avoue que moi même j'ai appris à vivre avec mon hypocrisie. Je me cache sans arrête derrière un regard sombre et une assurance valable. Je suis devenu un expert dans l'art de tromper le monde, et de courir plus vite que ce passé qui me rattrape pourtant constamment. La conversation que j'ai eu avec Bliss Shadow me hante encore, et je n'en reviens pas de ce qu'il s'est passé dans cette bibliothèque. Je crois que j'ai surtout besoin de me changer les idées pour ne plus penser à elle. Et pourtant j'y retourner constamment. Je suis masochiste après tout et je ne peux plus rien faire contre cela.
      Pour parler d'autre chose, j'ai enfin eu les premiers cours intéressant de littérature, je sens que mon don se développe. Comme tu le sais, je suis au moins sur d'une chose, c'est que je finirais par remettre toutes ces idées en places pour sortir un livre. Lorsque je serais près à partager mes pensés avec le monde entier. Quoi que j'avais peut-être réfléchit à la possibilité de le sortir post-mortem. Comme cela je n'aurais rien à réfuter. La mort emporte avec elle la culpabilité et la tendresse. Il n'empêche, je ne veux pas y penser, à toutes ces choses qui embrouillent mon esprit. J'écris ces mots du bout de ma plume, et très sincèrement je pense que je vais déchirer cette page, loin d'être une véritable perfection dans l'art de l'écriture. Cependant, cela fait toujours du bien de prendre un peu de recul par rapport à son être caché. Faire tomber le masque en quelque sorte ...


    Me levant de mon lit d'un geste assuré, je pris la page entre mes doigts et la déchira d'un geste ample du poignée. Le soir tombé sur Cambridge, mais pour être honnête, j'avais tout sauf l'envie de dormir. Aussi, je rangeais mon journal dans l'armoire de ma chambre, cachée pour ne plus risquait d'être découvert, et sortit de la pièce sans un regard pour mes colocataires travailleurs. Je pris la décision de me promener un peu dans les couloirs presque déserts de l'école, et me rendit compte que j'étais en somme frustré. Je n'avais pas eu de contact sexuel avec une fille depuis plus de trois jours et cela commençait à me peser. Je pensais à la jeune blonde qui se trouvait dans l'étage du dessus, et qui se trouvait être tout à fait charmante. Tout du moins c'est ce que m'indiquait son tour de poitrine. Suffisant, je pris la direction de l'escalier, et descendit devant la chambre de la demoiselle. Je stoppais net cependant, en entendant les cris de joies qu'y s'en échappaient. Un autre avait été plus rapide que moi. Je passais mon tour pour cette fois et reprit mon chemin, me laissant porter par mon envie, plutôt que par ma raison.

    J'arrivais alors devant cette porte qui faisait tant jaser dans l'école. Bien que personne autour ne semblait connaitre son existence. Je la passais, sans plus me poser de questions, et me retrouvais à Harvard. Le temps était chaud, et je me rendis alors compte que ce n'était pas le cas à Cambridge. Souriant, je pris la direction de l'établissement université et plus particulièrement des chambres. Je ne me posais pas de questions inutiles, alors que je commençais à comprendre où mes pas me menaient. Je n'étais pas venue la voir depuis un bon moment, et la rentré ne m'avait aidé à prendre la décision de sauter le pas. Je pensais cependant souvent à la demoiselle, et je passais de somptueux moments en sa compagnie. Le décalage horaire fit que je me retrouvais en fin de matinée et je décidais de passer par le coin cafèt' pour prendre deux cafés et des muffins. Je pris la direction de sa chambre.

    N'entendant rien de l'autre côté de la porte, je pris la décision de l'ouvrir et d'y pénétrer sans y être inviter. Soudainement j'avais eu envie de la voir et je la trouvais sur son lit, une serviette cachant peu de son corps tout à fait sublime. Je lui souris, lorsqu'elle me découvrit. Apparemment, elle avait été surprise. M'approchant d'elle, je m'assis sur son lit à mon tour, et l'embrasser sans dire un mot, fougueusement, avant de me détacher de ses bras et de poser mon butin entre nous. Je lui tendis un café.

    JAMES — Je me suis dit que la journée était propice à un moment passé avec une jolie fille. Je te l'ai pris sans crème mais avec du sucre, comme tu l'aime ma douce.

    Le surnom était admirable, mais n'avait rien de trop personnelle. Je lui sourit, en attendant qu'elle me fasse part de ses impressions devant ma surprise.
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je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James Vide
MessageSujet: Re: je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James   je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James EmptyMar 16 Fév - 22:39

    L'amour n'est pas l'amour s'il faner lorsqu'il se trouve que son objet s'éloigne. Quand la vie devient dure quand les chose changent, seule le vrai amour reste inchangé. Cette phrase résonnait déjà dans ma tête mais elle s'accentua quand James entra dans ma chambre, tout cela n'avait plus de sens, tout ce mélange dans ma tête, rien n'était clair, tout était fouillis comme dans une chambre d'adolescente mal rangé plein de chose partout a terre qui monte les uns sur les autres. Étonnée, qu'il puissent me faire cette effet là, d'habitude je pouvais le croiser sans que sa me fasse cette effet mais la tout avait l'air diffèrent. Mais le pire dans tous sa, c'est encore une fois, il me faisait craquer, je ne pouvais m'en empêcher tout était confus et sa beauté hantait mes pensée chaque heures, chaque minutes, chaque secondes, chaque centième rien ne pouvait m'empêcher de pensée a lui. Il devenait chaque jour ma dose d'héroïne. Pourtant ne pas l'avoir vu pendant quelque jours m'avait mis plus en confiance mais son retour allait encore une fois tout chambouler dans ma vie. Je n'avais jamais auparavant ressentis ceci pour personne. Cependant, tout mes sentiments n'était point réciproque, s'il était venu c'est surement parce que toutes les filles canon de son université était prise ce soir. Mais son arrivé tant attendu me fis l'effet d'une bombe, son approchement en douceur puis son baiser qui m'avait donné fougueusement me perturber encore plus. Je ne pouvais lui résister même si je le souhaitait plus que tout au monde, je n'y arrivais pas. Son regard ténébreux et pénétrant me faisait fondre, sa bouche si parfaite avec son sourire étincelant a qui personne ne pouvais résister, ces pommettes qu'il a quand il sourit, ces cheveux si magnifique que mettre sa main dedans donner l'impression d'atteindre le nirvana. Il était comme la 8 éme merveille du monde. Un délicieux café qui m'attendait comme je l'ai aime, sans crème et sucrée. Dites moi comment on peux résister a un homme qui vous comble d'attention quand il vous voit, qu'il retient vos goût alors qu'il se tape plusieurs femme en même temps, que ce soit des filles, des adolescente ou des vieilles tout sa n'a pas d'importance. J'étais a ce moment précis, inconditionnellement et éperdument amoureuse de lui. Après avoir pris le café dans ma main et l'avoir posait sur la table de chevet qu'on pouvoir voir a coté de mon lit. James reprit la parole très vite :

    JAMES —Je me suis dit que la journée était propice à un moment passé avec une jolie fille. Je te l'ai pris sans crème mais avec du sucre, comme tu l'aime ma douce.

    Rien que cette phrase me faisait craquer deux compliment en une seule phrase : jolie fille et ma douce. J'en étais hypnotiser mais j'avais décider de lui résister même si cela allait me demandais beaucoup d' effort et de force mental et physique afin de ne tomber dans son filet et dans le tableau des conquête toi et moi c'est juste pour une nuit. Voyant son regard pénétrant, sa se voyait comme le nez au milieu de la figure que notre jeune homme manquait de sexe en ce moment, même beaucoup trop. Je ne savais que dire mais une idée me venue soudainement :

    REESE – Quel charmante attention James, je te remercie vraiment. Excuse moi juste deux minutes.

    Mon idée était assez folle, si je peux dire. Je me levais de mon lit, allez vers mon armoire sortit des sous vêtement plutôt sexy a vrai dire. Un t-shirt que je pris au pif dans ma garde robe et enfin, une mini jupe en jean vraiment jolie. J'enlevais ma serviette devant lui, me retrouver nu de dos a lui mais mon devant se reflétant dans le miroir en face de moi. J'enfilais assez rapidement mon magnifique soutien gorge rouge passion, plus rouge que le sang avec un magnifique string de même couleur qui m'aillait a ravir. J'entrais dans ma salle de bain et revenu au bout de quelques secondes avec une brosse, un crayon, du mascara et mon gloss. Je brossais mes cheveux, toujours en sous vêtement, mais avec ma triste maladresse, je fis tomber la brosse juste au pied de James, je m'avançais, m' abaissais, ramassait la brosse et me levait enfin. L'embrassa tendrement et me retournant face a mon miroir mais dos a lui. Je voyais dans son regard, celui qu'il me lançait cas ce moment précis il devait me trouver extrêmement sexy. Je pris mon café, bus un petit peu et renversa le reste sur moi, je dus enlever mon soutien gorge et pris un autre que j'enfilais tout doucement afin d'exciter la curiosité de ce jeune individu qu'on appelle un homme. Je revenais finalement sur mon lit à coté de lui presque pas vêtu a par de mes sous vêtement sexy. Je fermais la fenêtre puis la porte. Je n'attendais qu'une seule chose voir sa réaction a coté de moi presque nu, dans un lit tout les deux la porte verrouiller et les fenêtres aussi. Je lui piquais son gobelet de café, bu une légère gorgée puis le posait sur la table de chevet. Ainsi, je me rapprochais de lui, nos deux corps était collée il ne manquait plus que quelque centimètres et nos bouches, nos lèvres se touchait a nouveau.
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James C. Owen

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MessageSujet: Re: je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James   je t'en pris aime, dit a l'amour que tu m'aimes : James EmptySam 27 Fév - 16:58

    Les raisons qui me poussaient constamment a la rejoindre m'échappaient. En somme c'était pas si grave et je m'en remettais facilement a l'instinct ou au désir indécis et aveugle qui en ces heures d'ennuis me poussait dans mes retranchements. En outre il m'était presque venu naturellement de la retrouver elle plutôt qu'une autre. Peut être parce qu'elle n'était pas du genre a recevoir n'importe qui dans son lit a part moi sans doute. Encore une demoiselle qui tenait bien plus a sa vertu qu'a ce que je pourrais bien en faire une fois que j'eus passé l'espace qui séparait nos deux corps. Je sentais déjà les brides d'une envie qu'elle avait du mal a cacher. Je n'allais pas aller contre ou me cacher sous un masque d'outrance. Dire que ce n'était pas mon genre serait bien proche de la vérité. Mais surtout elle commençait a me connaître et ma réputation - même de ce côte la du Pacifique - me précédait. Et même lors de notre première rencontre au hasard d'un café étudiant l'année passé j'étais déjà sûr qu'elle connaisse mon nom et mes habitudes. Combien d'étudiante d'Harvard étaient passées par mon lit ? J'avoue avoir arrête de compté une fois trente passé. Ce n'était pas plus une compétition qu'une réponse naturelle a mes désirs de mâle en rut. Je n'étais d'ailleurs pas vraiment du genre à m'en vanter, en outre je n'en avais pas le besoin étant donné qu'à mesure du temps le bouche à oreille et mon incroyable caractère de leader avait fait de moi un mec populaire dont chaque action était connu de tous. Ils n'échappaient à personne que j'étais proche de Reese Winston, un peu plus proche que je n'avais été de mes autres conquêtes. Et de plus, que je revenais à elle souvent. Ce qui était rare. Je n'étais pas plus un coureur de jupon qu'un mec avec un minimum de romantisme. Si j'étais dans l'incapacité de me satisfaire d'une seule maitresse, cela ne m'empêchait pas de m'attacher à certaine et de sortir avec. Je me considérais comme le petit ami - pour un temps - de Reese, et je ne doutais pas que cela faisait jaser au dehors.

    En réalité, cela ne me faisait cure, et je continuais la majorité du temps à vivre ainsi sans me soucier des bruits de couloirs qui précédaient mes pas. Si cela plaisait aux autres de parler de ma vie plutôt que de s'intéresser à la leur, grand bien leur fasse, ce n'était pas mon problème et je ne m'en souciais guère. Tant que cela n'interférerait pas avec mes petites affaires, je ne voyais pas pourquoi ca me dérangerait. CE que je n'appréciais pas c'était ces gars de premières années qui venaient me demander des conseils de drague en espérant que je sois le genre de type sympa qui considérait les femmes comme des sortes d'objets sexuels. Je suis désolé, toutes les femmes n'étaient pas aussi facile à avoir. ET même si dans des établissements aussi réputés qu'Harvard ou Cambridge l'on trouvait encore quelques greluche, la plupart des demoiselles entre ces quatre murs étaient de véritables battantes qu'il fallait mériter. Je respectais les femmes, et si je jouais les mecs atroces qui larguait les demoiselles après avoir profiter de leur corps c'était uniquement pour me sentir moi-même plus vivant.

    J'étais un artiste au départ, et je vivais comme tel. Dans une existence basée sur l'autodestruction il m'importait peu qu'une demoiselle pleure mon corps durant une journée avant de trouver l'homme de sa vie. Dans mon esprit, j'étais fait pour être seul, et je vivais avec cette certitude chaque jour de ma vie. Je ne pensais pas avoir le temps de m'occuper de quelqu'un d'autre que moi-même pour le moment, et l'envie me manquait tout aussi bien d'ailleurs. Il m'était difficile de me connaitre et de me comprendre, comment pourrais-je pour le moment reporter l'amour et la compréhension sur quelqu'un d'autre. Et même si j'appréciais beaucoup Reese, et le temps passer en sa compagnie, je ne pouvais décemment pas annoncer que je l'aimais, et encore moins que je souhaitais la protéger des horreurs de ce monde. Je n'étais pas le mec qui lui fallait, probablement pas du moins, mais elle me voulait avec elle pour le moment et je supportais sa présence. Alors pourquoi me priver ?

    Je ne venais cependant pas uniquement pour le sexe - bien que ce fut l'une des raisons principales qui me poussèrent à la rejoindre - mais tout aussi bien pour passer un bon moment avec une fille que je savais apprécier. C'est pourquoi j'étais plein de petite attentions comme ce café qu'elle semblât apprécier.


    REESE
    – Quel charmante attention James, je te remercie vraiment. Excuse moi juste deux minutes.

    Haussant un sourcil je la laissais s'échapper pour aller prendre des sous-vêtements - osés ? - et des fringues qu'elle revêtit devant mes yeux ébahit. Cette fille était soit en manque de sexe, soit ... en manque de sexe, et à vrai dire je ne doutais pas de ce que je devais faire après le spectacle qu'elle m'offrit. J'avais vu pas mal de filles nues, à vrai dire un bon paquet, et j'avouais que de toutes celle-ci Reese était dans une moyenne très acceptable. Dans un genre plutôt banale, elle l'était l'une des filles les plus mûres - en somme la plus âgée - avec laquelle j'eus couché dans cette école. Son corps marqué par la beauté de son âge, était un temps de plaisir. Elle était belle, j'osais le penser et même le lui dire. Et le spectacle qu'elle m'offrait était des plus enchanteurs. SOn corps se dévoila sous mes yeux attendris, noircis par le désir, et je ne perdais rien du spectacle qu'elle m'offrait avec un délice non dissimulé. Elle était fière d'elle, et je me demandais si je n'allais pas lui laisser le contrôle cette fois-ci, j'appréciais la voir si téméraire et sure d'elle, et je me demandais jusqu'où elle serait prête à aller avant de me laisser être maitre de la situation. Le jeu en valait la chandelle, je le savais parfaitement. Elle était une très bonne amante, et cela expliquait en partie le fait que je revienne toujours à elle. Elle ferma la porte, les volets, et nous plongea dans une délicate ambiance feutrée. Je souris en la voyant revenir vers moi, boire dans gobelet à peine entamé, avant de poser mon café sur le côté et se pencher sur mes lèvres. J'appréciais le gout de la caféine qui se trouvait sur sa langue, et mes mains trouvèrent rapidement le chemin de son coeur tendu à l'extrême dans l'attente du plaisir. Je souris contre ses lèvres avant de m'en détacher.

    JAMES — Serais-tu impatiente Reese, t'aurais-je manqué ces derniers temps ... ?

    Je m'allongeais sur le lit et la pris contre moi, chevauchant ainsi mon corps elle me donnait l'impression de n'être plus qu'un être d'extrême luxure.

    JAMES — cela fait longtemps que je ne t'ai pas vu si téméraire ...
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