Behind . the . Door
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Merci à Low Currency pour le sublime design !
Ouverture du forum le 1 Février 2010
Rejoignez nous ! Beaucoup de postes vacants sont encore libres !
Le Deal du moment : -20%
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, ...
Voir le deal
399 €

 

 ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Bliss M. Shadow

Bliss M. Shadow
■ aimer a perdre la raison

♣ date d'inscription : 01/01/2010
♣ prénom / pseudo : New Yorkaise
♣ nombre de messages : 450
♣ copyright : Moni59
♦ age : 20 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • relation compliqué(e)
  • relation amoureuse
  • relation sérieuse

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue70 / 10070 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyMer 3 Mar - 21:39

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Megavideo(2)371 ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen 2e64d313a9a8478705afa16a010a509b20100113110014

remember
James & Bliss


dance, dance, with me


    Un silence affreux régné, c’était comme ci toute forme de vie humaine avait disparu, le temps sembler figée comme une image, et plus aucun bruit ne parcourait le champ dans lequel Bliss se trouvait. Une brume commença à envahir, la pelouse froide et humide. Bliss était assise sur le sol, jambe rapproché de la poitrine, les cheveux lui tombant sur les épaules. Elle semblait triste et si solitaire, mais surtout épuisée. Depuis la mort de son père, elle c’était mise à écrire un journal, chose que jamais elle n’aurait pu imaginer, mais c’était son moyen d’oublier sa peine et sa mélancolie face à l’adversité. Le petit cahier noir, était posé à coté d’elle, près de son sac, quand à son visage angélique, il fixait un horizon, sans un mot. Le silence l’ayant pétrifié. Bliss détester tout ce qui se rapprocher de la solitude, elle n’aimer ni être seule, ni triste, mais encore moins avoir peur. Elle essayer d’être juste courageuse face a la perte d’un être cher. Bliss avait déjà écrit, six pages, pour finir dire une chose simple, elle souffrait, elle avait peur même s’il elle se montrait comme une femme forte, battante et indépendante. Le temps s’assombrit encore plus, si fort que la lumière était à peine visible, un vent glacial valsée dans les allées du bois ou elle se trouvait. La seconde d’après une pluie glaciale trempa ses vêtements et son corps. Il n’en fallut pas plus pour qu’elle se lève et cour jusqu'à chez elle. Son regard se planta dans un homme, vêtu de noir, ses cheveux noirs et ses yeux foncés la fixait, elle pu a peine distinguée le chien qui l’accompagner. Une bête énorme, sortant ses cross. Il ne lui fallut pas plus d’une seconde pour qu’elle comprenne et cour le plus vite possible vers son habitat. Au bout de plusieurs mètres essoufflée, elle prit quelques bouchées d’air avant de repartir pour trébucher sur une racine, le chien sur elle, elle hurlait … Bliss sursauta, elle tourna son visage et aperçut 20H48, ce n’était qu’un mauvais rêve dont elle devait effacer le souvenir. D’un geste vif elle passa sa main dans ses cheveux blonds doré. Son cœur ralentit, ses pulsations aussi, lorsqu’elle se plongea sous une douche chaude.

    L’une des nouvelles soirées de l’année avait lieu ce soir. James Kingsley donnait une fête à Harvard, seul les étudiants de ce campus y avait accès mais avec un peu de sourire et de mots doux, et elle avait eu son ticket d’entrer. Et encore une fois elle était en retard. La fête avait lieu près de la piscine, une sorte de soirée dans la chaleur de l’eau. Sortie de la douche elle enfila un short en jean accompagné d’une petite chemise blanche. Elle attrapa une petit paire de talon le tout sur un maillot de bain tout de même. Puis elle fonça jusqu'à la piscine.

    La piscine était pleine, des plus belles filles du campus, et des plus beaux garçons sans doute. Bliss croisa le regard d’Ana décidément, elle ne pouvait pas la voir et que faisait-elle là d’abord. Puis elle tomba sur son meilleur ami qui s’empressa dans la présenter et de la prendre dans ses bras, même s’il elle connaissait beaucoup de monde. Elle lui raconta sa nouvelle dispute et rupture avec Edwin, qui avait une nouvelle fois fait des siennes après qu’elle lui avait dit ou elle passerait la soirée. Ce soir, elle essayer de simplement ne pas y penser. Bliss alla chercher un verre, près du bar, un peu dans les nuages elle bouscula un homme …

    ▬ bliss … Que fais-tu ici ?

    Demanda t’elle, sans pouvoir s’empêcher d’afficher un sourire.

Revenir en haut Aller en bas
http://fells-church.forum-actif.net/
James C. Owen

James C. Owen
    WRITER une tache rouge sous un regard voile

♣ date d'inscription : 10/02/2010
♣ prénom / pseudo : miss . f
♣ nombre de messages : 348
♣ copyright : © acide . édulcoré
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Damonclosecrop1
♦ age : 19 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • célibataire endurci(e)
  • amitié améliorée

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue90 / 10090 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyJeu 4 Mar - 20:14

    Et j’aurais pu tout aussi bien accepté de reprendre une vie tout à fait normale, si, dans mon incroyable caractère de masochiste, il n’y avait pas cette aptitude à toujours recherché l’inspiration dans la souffrance. Ou dans ce cas, dans un mal être physique presque insupportable. Il l’aurait sans doute été si en contrepartie à ce lunatisme, je ne trouvais pas une complaisance certaine dans l’extravagance et l’affligeante Faculté que j’avais à me mettre en scène sans que jamais ce ne soit ridicule. J’assumais tout bonnement ce que j’étais, et le don que j’avais reçu grâce à l’éloquence et le charme me permettait de me rendre où bon me semblait sans risquer de m’en faire rejeter. Et de plus, cela me permettait de me faufiler dans les esprits faibles, de scientifiques confirmés qui pensaient que tout peut être expliqué par la logique et la physique. Et l’esprit dans tout cela, où se plaçait-il. Je ne pourrais dire que je ne puisse m’entendre avec de tel personnage, mais ils m’apparaissaient que trop peu intéressant, et ne rester qu’un temps avec eux me suffisait pour les comprendre. Que ce soit des hommes ou des femmes. Et en parlant de femme justement, il y en est une nouvelle qui me tournait autour depuis qu’elle m’eut par hasard croisé dans le couloir de l’école. Cette demoiselle dont le nom m’était encore inconnu, et je ne trouvais pas l’envie de l’apprendre, s’était trouvée graciée par tant d’attention lors d’un après midi de libre que j’avais eus dans la semaine. Elle était revenue une ou deux fois depuis, souhaitant tout bonnement réitérer l’expérience. Mais j’avais pour principe de ne coucher plusieurs fois qu’avec les filles que je savais pouvoir supporter. Mes petites amies, car enfin j’en avais, étaient de celles-là. Reese en faisait partie pour le moment, bien que je ne l’eusse pas vu depuis un temps certain. La dernière fois ce fut lorsque poussé par une envie bestiale de l’avoir contre moi je l’avais retrouvée à Harvard, dans sa chambre. Mémorable n’était pas le mot qu’il complaisait d’utiliser, mais j’avouais avoir particulièrement apprécié sa présence. Comme à chaque fois en l’occurrence. Je ne pourrais dire que j’étais en manque, ce qui se trouverait être un mensonge éhonté. Je n’avais pas réellement eu le temps d’y penser, et à y réfléchir de plus près le manque n’était pas le sentiment le plus présent dans mon esprit d’élève en plein délire d’apprentissage. Je lisais beaucoup trop pour mon bien ces temps-ci et des romans dont la vanité se trouvait dans les mots plus que dans le sens de ces derniers. L’esthétique était un choix principal dans l’art d’écrire, bien que certains écrivains souhaitent se faire reconnaître en l’ignorant, dans une attitude qui en se voulant détachée, se trouvait plutôt égoïste. A mon sens, un roman qui ne saurait se satisfaire d’être intéressant devait au moins se complaire à être beau et bien écrit. Malheureusement, des auteurs bien curieux se plaisaient à expliquer leur manière de faire, et ceux dans des écrits personnelles, employant l’autobiographie, dans un cadre métaphysique douteux, qui donnaient à leurs esprits des images de détraquées. Et je le répète, il n’y avait de meilleurs écrivains que les incompris et les éternels lunatiques. Ceux-ci semblaient voir compris d’où venait l’inspiration et comment fonctionnaient les êtres. Je n’avais pas la prétention de croire que j’en étais arrivé à une telle ambiguïté dans mon envie de créer, mais du moins je m’approchais un peu plus de cet idéal chaque fois que j’ouvrais les œuvres de Stendhal, de Rimbaud ou de Kafka. Je préparais d’ailleurs ma thèse sur ce dernier en m’imprégnant de son œuvre et de ses sources. Cela m’avait coûté quelques nuits blanches et surtout une obsession qui devenait récurrente à force.

    Ce soir-là j’aurais souhaité me plonger de nouveau dans mes bouquins, mais j’en devenais associable, et je sentais le mal être de mes colocataires à me voir si peu encourageant dans mes échanges et mon humeur. Aussi, alors que sept heure sonnait à la montre de William, je sortis de la contemplation de mes feuilles noircies par l’encre de mes pensés étudiantes, et me pris d’envie d’une douche relaxante et d’une soirée en bonne et du forme. L’eau calma mon excitation et durant un moment je me laissais aller à fermer les yeux et à me vider l’esprit. Je me sentais bien, seul dans l’infinie douceur d’une exaltation qui me manquait depuis bien longtemps maintenant. C’était ainsi lorsque l’art nous passionné et je doutais qu’un scientifique puisse ne serait-ce que le comprendre ou tout du moins le connaître. Une telle ambition dans la vie, une telle joie de le vivre et surtout une telle passion dans chaque geste du quotidien que l’on en venait à ne vivre que pour cela en oubliant ce que nous étions en tant qu’individus. En dehors de l’art, je me perdais pour n’être qu’un mec banal dans une infinité d’autres mecs. C’était presque déprimant de le penser, mais ce soir c’est de cela dont j’avais besoin et je le savais. J’avais envie de retrouver l’esprit libertin d’un adolescent en manque de fille et de sexe. Un garçon qui trouvait un certain ravissement à faire de chaque action de sa vie quotidienne une montagne de difficulté. A chaque rencontre, en faire une ange ou une sublimation idiote et si plaisante à croire. J’avais envie de voir du monde simplement, et ce soudain élan de sociabilité – bien qu’il ne fut pas exceptionnel – me semblait étonnant. Je sortis de la cabine, et empruntais de nouveau le chemin de la chambre sans m’inquiéter d’y trouver un mec, alors que je ne portais qu’une serviette autour de la taille. Je n’avais aucune gêne à tirer de mon corps, et eux non plus d’ailleurs. Aussi, je ne me mis n’y a rougir ni a faire demi-tour ou me tentait de me cacher lorsque c’est Edwin qui entra dans un vacarne accablant dans la chambre. La première explication qui me traversa l’esprit fut : dispute amoureuse.

    Et a ne pas s’y tromper, si tôt qu’il fut entrer il fit vaciller la photo de Bliss et lui pour ne plus la voir flamboyante sur sa table de nuit, se leva, et s’enferma dans la salle d’eau. Je retins un rire moqueur, et m’habillais plutôt. Un jean bleu marine troué, une chemise blanche d’un goût exquise et mes éternelles boots. Je m’emparais de mon portable et sortis de la chambre, et sachant pertinemment où je me dirigeais. Bien qu’une porte et un continent, une mer sépare nos deux mondes, il y avait des élèves qui envahissaient les deux milieux pour constamment être à l’affût du moindre événement. Et heureusement pour moi, je connaissais l’une des ces fouines. Sa chambre se trouvait proche de la mienne, et c’est moi qui l’avais casé avec sa copine. Tout du moins celle avec qui il se trouvait en ce moment. Depuis ils m’avaient pris en affection et m’offraient bien des services. Lorsque je lui demandais où se trouvait le meilleur lieu d’éclate de ce soir, il m’annonça qu’un certain James faisait une fête de l’autre côté. Je lui souris avant de prendre la direction de la porte en sous-sol.

    Comme de, bien entendu, la fête fut d’une simplicité déconcertante à trouver, surtout lorsque je me rendis compte que je connaissais la plupart des gens qui s’y trouvaient. Lorsque je pénétrais dans la grande salle, il se trouvait que peu de personne s’y prélassaient déjà, mais bien assez pour que mon arrivé passe inaperçu. Bien vite, entraînait par l’envie de vivre et de profiter de la chaleur des lieux je me jetais à bras ouvert dans les festivités. Je rencontrais le fameux James, que je trouvais fort plaisant, et sympathique. S’il m’en voulu d’arriver ainsi à l’improviste il ne m’en voulut pas, ne m’en tint pas rigueur, et si je n’avais jamais entendu parler de lui, je n’eus aucun doute quand au fait qu’il sache qui je me trouvais être. Ma réputation me suivait partout où j’allais, et j’étais le plus fêtard des étudiants de Cambridge, il n’y avait aucun doute là-dessus. Les filles en tout les cas, ce soir-là, étaient toutes aussi délicieuses les unes que les autres. La musique monta bien vite à mes oreilles, et c’est avec une bande de douces demoiselles que je me retrouvais à danser sensuellement. Me plongeant dans le regard de la jolie blonde, je sentis sa main se placer sur mes hanches, alors que les miennes depuis un moment déjà pétrissaient son corps de déesse. Sa caresse remonta sur mon ventre, et à mesure qu’elle montait jusqu’à mon cou et mon visage, elle se hâta de détacher les boutons de ma chemise. Avant de s’emparer de ma bouche. La sienne déjà imbibée d’alcool, ce qui pour le coup m’écoeura soudainement. Je n’étais décidément pas assez ivre pour cela. Relâchant soudainement ma prise, je la fis lâcher la sienne et disparus dans la foule. Jusqu’à tomber nez à nez avec …

    BLISS — … Que fais-tu ici ?

    Souriant soudainement, sentant son corps bien proche du mien, je plongeais mon regard dans ses iris outragés et ne pus retenir mon envie de m’approcher un peu plus, avant de poser ma bouche sur le sommet de son crâne et d’inspirer l’odeur de ses cheveux. Figée, elle ne semblait pas vouloir me repousser pour le moment. Alors, souriant, vainqueur pour le moment, je continuais mon chemin jusqu’à sa joue, et son oreille.

    JAMES
    — Je profite des festivités comme tu le vois... Hum ... J'avais oublié à quel point ton parfum pouvait être exquis. Tu es sublime ce soir, Honey.
Revenir en haut Aller en bas
Bliss M. Shadow

Bliss M. Shadow
■ aimer a perdre la raison

♣ date d'inscription : 01/01/2010
♣ prénom / pseudo : New Yorkaise
♣ nombre de messages : 450
♣ copyright : Moni59
♦ age : 20 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • relation compliqué(e)
  • relation amoureuse
  • relation sérieuse

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue70 / 10070 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyJeu 4 Mar - 22:33

    Il ya quelques temps tout était si simple, l’amour me paraissait tellement serein et bon pour l’homme que je n’attendais qu’une chose c’était à mon tour d’être heureuse et de trouver celui qu’on appeler prince charmant dans ces comptes de fée semblant si magique au premier regard. Étrangement j’avais une vision si parfaite de ce sentiment qu’il m’arrivait parfois de m’égarer dans ce monde pourtant bien étrange. Et pourtant mes disputes s’en arrêt avec Edwin, même sans dire me faisais souffrir, je ne cherchais pas à être ou à faire mal, je voulais juste être assez bien pour lui. Comme j’avais voulu l’être pour James autrefois. Je ne pouvais pas comprendre son comportement même si je faisais tout pour essayer de me mettre à sa place. Je savais que ce n’était pas simple pour lui de me voir dans les bras d’un autre, mais il ne comprenait pas que nous étions juste ami, un peu comme les deux doigts de la main, je ne voyais en lui qu’un frère, quelqu’un d’un extrême soutien ; il était mon meilleur ami depuis ma plus tendre jeunesse, et je n’avais jamais imaginer plus avec lui, c’est sans doute ce qu’Edwin ne comprenait pas que deux personnes homme et femme puisse s’entendre sans avoir d’arrière pensée. Cette nuit avec lui n’avait été qu’un moment entre ami, il était tard et je ne pouvais pas franchir la porte à cette heure là, j’étais peur être un peu jalouse moi aussi. Ana Finlay cette fille était le diable, dés qu’elle passait la porte c’était pour draguer ouvertement Edwin sous mes yeux, mais je n’en faisais pas tout un plat, et si elle aurait été une bonne amie pour lui, je n’aurais sans doute rien dit car ma confiance envers cet homme était plus qu’éternelle.

    A chaque fois, tout était la même chose, tout se répéter Je m’en étais voulu toute la nuit pour cette rupture, mais j’avais surtout pensé aux mots de Ruby, elle avait raison, je devais faire en sorte que tout aille mieux sinon notre couple n’avait aucune raison de vivre, et sa je le refusais, je l’aimais trop pour le voir partir. Alors après une journée triste, mélancolique, je décidais juste d’aller le rejoindre, discuter, je préférais qu’il me dise que tout été fini que de ne rien savoir. Mais je croyais en notre couple, mais je croyais en l’amour que j’avais pour lui. Je l’avais aimé dés le premier regard, j’avais su que c’était avec lui que je voyais mon avenir, lui et personne d’autre. C’était sa le vrai amour, pas besoin de promesse inutile, juste deux personnes qui s’aiment c’était sa mon essentiel. J’étais prête moi aussi à faire des efforts, pour notre couple mais je refuserais sans doute de ne plus jamais adresser la parole à James. Ce soir je voulais juste un peu oublier et penser à autre chose que cette dispute.

    Il y a deux choses dont j'étais profondément certaine, la première était que j'étais passionnément amoureuse de lui, pas un petit amour sans lendemain comme la plus part des jeunes vivent maintenant mais je parle de quelques choses de sincère, de tendre et de profond. J’aimais Edwin trueblood de tout mon être, et sa personne ne pouvait en dire le contraire, c'est vrai que ce n'était pas spécialement simple lui et moi, les disputes étaient fréquente, nos ruptures aussi. Je savais qu'en sortant avec lui sa ne serait pas simple mais je l'aimais de tout mon cœur et pour un bon moment. Pour la première fois depuis un bon moment j'étais vraiment sur de mes choix, sur de l'aimer, sur de vouloir cet homme. La seconde était que mon amitié avec James n'était pas cassable, ce n'était pas une chose dont je pouvais me passer, elle m’était profondément indispensable. Je le voyais comme un frère depuis bien longtemps. Il était d'une bonté incroyable, douce et franche, mais c'était aussi le genre d'homme toujours présent auprès de moi, m'écoutant dans tous les moments. Je ne pouvais pas choisir entre ces deux personnes, c'était assez incroyable cette sensation de bonheur quand l'un des deux me regarder; je les aimais un point c'est tout. Et pourtant j’avouer avoir pensé à James Owen c’est derniers temps. Sans doute plus que je ne le devais. Je commandais un verre de téquila, une des boissons que j’affectionner particulièrement en soirée ; en si peu de temps il fut devant moi, dans son allure plus qu’intéressante. Il avait du charme, beaucoup trop de charme ce soir.

    JAMES — Je profite des festivités comme tu le vois... Hum ... J'avais oublié à quel point ton parfum pouvait être exquis. Tu es sublime ce soir, Honey.

    Je ne pus m’empêcher de lui sourire, je l’aurais sans doute envoyé prêtre il y a quelques temps mais la non, je me contentais pour le moment de lui sourire. J’avalais mon shooter d’une seule traite, avant de reprendre la parole.

    BLISS — Merci. Il faut avouer que tu es des plus élégant ce soir … Je l’avais presque oublié.

    Je fus d’un seul cout bien trop proche de lui, ne laissant qu’un petit centimètre entre nos deux corps. A mon grand étonnement je n’avais pas envie de bouger, je l’avais la tête, étant un peu plus grande que moi. Doucement je murmurais

    BLISS — Je t’offre un verre ou tu préfère danser avec moi ?

    Sur ces mots, d’un ton assez alléchant, je marchais gracieusement vers le bar.
Revenir en haut Aller en bas
http://fells-church.forum-actif.net/
James C. Owen

James C. Owen
    WRITER une tache rouge sous un regard voile

♣ date d'inscription : 10/02/2010
♣ prénom / pseudo : miss . f
♣ nombre de messages : 348
♣ copyright : © acide . édulcoré
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Damonclosecrop1
♦ age : 19 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • célibataire endurci(e)
  • amitié améliorée

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue90 / 10090 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyMer 10 Mar - 17:14

    Si je m'étais laissé un jour à croire en l'amour, ce ne fut que pour une courte durée. A mon sens, un homme ne pouvait aimer que égoïstement, et un sentiment tel que l'amour ne devait pas être bafoué par un comportement aussi fermé. Frustré de ne pouvoir me complaire dans une relation unique avec une seule charmante demoiselle, je m'étais englouti dans un libertinage plaisant qui rendait à ma vie tout ce qu'elle se devait de joie et de plaisirs. En somme, cela faisait bien des années que je ne me promettais plus d'essayer d'être fidèle. Le terme provenait probablement des décisions religieuses énoncées par un vieillard dans la désert de Gobi il y a des centaines d'années. En outre, je préférais de loin m'en remettre aux anciennes croyances grecques, qui bien qu'elles fussent parfois obscures, n'obligeaient aucun humains à se sentir frustré. Et pourtant, il serait mentir que de dire que je n'étais jamais tombé amoureux, ou tout du moins, que je n'avais jamais aimé mes compagnes. J'aimais chacune de celles qui avaient compté, et elles étaient déjà nombreuses. Certaines avaient laissé une marque plus cuisantes dans mon être et mon passé, mais je m'étais remis sans aucune encombres à chaque ruptures. Pas que j'en fus fier, mais c'est bien la preuve que personne n'est irremplaçable.

    Je couchais parfois aussi, avec de parfaites inconnues, rencontrées dans des fêtes comme celle de ce soir. Cela n'avait rien que je ne pus dire de pervers ou de parfaitement machiste. En outre, ca avait un côté excitant qui me rassasiait souvent et je me laissais aller à prendre la demoiselle dans le fond de salle. L'adrénaline et la peur de nous faire surprendre prenait souvent le pas sur la culpabilité ou la curiosité de connaitre l'autre. Et comment résister à ces demandes coquines qui ne prenaient en compte aucun promesse, aucune parole même ne pouvaient être échangés, juste le désir soudain d'un corps, d'une personne attirantes, et la décision de se laisser aller, sans se poser de questions. Les littéraires appelaient cela le Carpe Diem, et il se trouvait étroitement lié avec une autre manière de penser, et de voir la vie qu'ils nommaient le Momento Mori. C'était une succession d'œuvre souvent païenne, et profane, qui rappelaient aux hommes qu'ils étaient éphémères. Et pas seulement eux, et leur vie oubliées, mais tout ce qui la constituait. Les arts, le savoir, la science, les découvertes, les lois de la société, l'amour, les sentiments, la religion. Tout cela était voué à disparaitre un jour ou l'autre, et afin de ne pas sombrer dans la déprime, ou de ne pas se laisser aller à la mort dans un suicide alors logique, ils avaient rappelé qu'il était important de profiter de chaque instant. Mais qu'il était dur de ne pas se laisser prendre dans le sérieux de certaines situations, et de ne pas refouler sans arrêt le passé.

    Alors, si j'avais laissé de côté mes études pour ce soir, c'était aussi en partie à cause de cela. J'avais un désir de vivre presque oppressant, et je ne me défaisais pas de cette philosophie artistique que je trouvais bien simpliste, et profondément utopique. J'expliquais dés lors mon envie de ne jamais m'engager, de profiter uniquement de ce que les filles avaient à m'offrir sur le moment. De ne jamais parler du futur, ou même de ce qu'il se passe vraiment au présent. De profiter uniquement, et on pouvait dire qu'avec Bliss j'avais profité avec joie à chaque instant passés avec elle. Il n'y avait pas uniquement eu les moments de calins, ou de baisers volés, mais tout ce qui constituait un couple. Les sorties entres amis, cinéma, ou au restaurant. Et surtout les fêtes où nous nous rendions à deux et profitions du bar, de la musique et de la présence de l'autre. Cela nous avait fait échangé bien plus qu'une simple histoire de sexe, et j'en étais conscient. J'avais rarement échangé autant avec une fille. Elle était probablement la seule avec qui j'avais aimé faire toutes ses choses. La revoir en un tel endroit me ramenait à un passé bien plus glorieux et appréciable. Je me mis soudain à penser que la vie n'était qu'un cycle, et que mon passé me rattrapait ce soir. J'en fus ravi.

    Je l'observais, la déshabillant du regard sans aucune gène, et me permis un compliment. Ne pas penser au présent. Je la vis se faire servir un shoot et le vider cul sec avec une sorte de fierté que j'admirais presque. Cela me rappelait le bon vieux temps. Ne pas penser au passé. Elle était tout simplement sublime, les joues rougis par l'alcool, et la transpiration dût à la chaleur et à la danse coulant jusqu'à son décolté. Je suivis la course d'une goutte jusqu'à ses seins. Comme je voudrais avec la possibilité de l'amener dans une pièce sombre pour profiter de ces retrouvailles. Ne pas penser au futur. Je pris une profonde inspiration, et demander moi aussi un shoot. Voir deux. Une fois servit, je l'entendis me répondre. Et bus d'un trait mes deux verres.

    BLISS — Merci. Il faut avouer que tu es des plus élégant ce soir … Je l’avais presque oublié.

    Je lui servis mon sourire le plus charmant, et dragueur. Celui que j'avais expérimenté pour la première fois avec elle. Avant, je prenais la peine de parler, de faire connaissance. Avec elle tout avait été beaucoup plus rapide et simple. Tout du moins c'était l'impression que j'en gardais. Collée contre moi, nos corps retrouvaient la douceur d'une étreinte pourtant inviolable. Attiré, aimanté, je me refusais à bouger, et sentit l'alcool faire effet sur mes sens de l'envie. Cette promiscuité avec elle ne m'avait en outre jamais dérangé.


    BLISS
    — Je t’offre un verre ou tu préfère danser avec moi ?

    Haussant un sourcil, je pris sa main dans la mienne, alors qu'elle allait vers le bar et l'amenait plus au centre de la pièce, là où déjà une foule de danseurs se déhanchaient au rythme d'une musique sensuelle et électrique. L'envie soudaine de retourner à une époque où ainsi l'un avec l'autre nous jouions de nos sens, par des danses parfois plus qu'érotiques me prenait. Ma langue lécha brièvement ma lèvre inférieur, alors que je plongeais mon regard noirci dans le sien.

    JAMES
    — Te souviens-tu, Honey, à quel point j'aimais danser avec toi ...

    J'étais proche de son corps, trop pour que cela ne soit innocent, et très sincèrement je n'avais aucune envie de plonger de cette place de choix ainsi contre sa chaleur.

    JAMES
    — Sais-tu combien cette sensualité m'a manqué ? demandais-je à son oreille d'une voix roc.

    C'est alors qu'une seule et unique pensé m'assaillit, et je souris : Profite de l'instant présent.
Revenir en haut Aller en bas
Bliss M. Shadow

Bliss M. Shadow
■ aimer a perdre la raison

♣ date d'inscription : 01/01/2010
♣ prénom / pseudo : New Yorkaise
♣ nombre de messages : 450
♣ copyright : Moni59
♦ age : 20 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • relation compliqué(e)
  • relation amoureuse
  • relation sérieuse

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue70 / 10070 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyJeu 11 Mar - 19:47

    Aimer, un simple mot de la langue français me dirait vous, mais ce mot, ce simple mot peut changer une ville. L'amour désigne un fort attachement affectif à quelqu'un ou à quelque chose. S'il renvoie souvent, dans l'usage courant, aux relations humaines, et plus précisément à ce qu'une personne ressent pour une autre, l'amour peut néanmoins aussi être impersonnel : il est en effet possible de dire qu'une personne éprouve de l'amour pour un pays pour la nature, ou encore pour un principe ou un idéal, si elle lui accorde une grande valeur et qu'elle s'y sent très attachée. De même, on peut ressentir de l’amour pour un objet matériel, un animal ou une activité, si l'on entretient des liens affectifs forts ou étroits avec ces objets. Lorsque l'amour d'un objet devient exclusif, voire excessif ou pervers, on parle de fétichisme ou d'idolâtrie. Dans le monde les définitions, films et déclaration sur ce sentiment était vaste et tout différentes, mais aucune n’avait raison car l’amour ce n’était pas des mots, des gens, ou des visages c’était quelques choses d’irrésistible, de merveilleux et de plus beau que les étoiles. Au delà des limites, l’amour c’était un accomplissement un désir mortel qui nous poussait à faire n’importe quoi, les pires folies, c’était simplement au delà des limites du réel.

    Je l’avais aimé sans doute de la plus belle manière au monde, sans contre façon, sans règles et sans problème, je l’avais simplement aimé lui avec ces qualités et ses défauts, lui dans toute la beauté qu’il représentait, j’avais aimé passionnément James Owen. Et le mot passion sembler encore bien lointain. C’était sans doute ridicule d’aimer un homme aussi distant et sombre que James mais je restais persuadée que c’était un homme au cœur rose bon et tendre. Et il avait été capable de me rendre heureuse, et totalement et éperdument amoureuse de son être. James avait tout fait pour être le petit ami parfait, le fruit de son désir, ses souvenirs en sa compagnie était tous au fond plus parfait les uns que les autres, l’un des ces favoris, fut ces quelques jours dans ces bras à Paris. Paris, les frissons remontait encore en moi, toutes ces choses plus belles mais sans hésitations, les douces balades dans les plus beaux parcs parisiens. On trouve des jardins anciens dans le cœur de Paris comme celui des Tuileries et celui du Luxembourg. Le jardin des Tuileries a été créé au XVIe siècle, sur la rive droite de la Seine, à proximité du Louvre pour le palais éponyme aujourd'hui disparu. Le jardin du Luxembourg, sur la rive gauche, était autrefois une dépendance privée du château construit pour Marie de Médicis vers 1625. Le jardin des Plantes, institué par Guy de La Brosse, le médecin de Louis XIII, pour la culture des plantes médicinales, fut quant à lui le premier jardin public de Paris. Mais le plus beau souvenir était d’être à son bras, comme une adolescente amoureuse.

    Oui j’avais cru en l’amour et en notre amour, dès le premier jour à une fête comme celle-ci. L’espoir, aujourd’hui les choses changèrent mais les sensations étaient toujours là. Ce soir il avait le même regard, et le même désir commençait à monter en moi, sans doute bien trop vite, ne tentant de ne pas y penser, mais ne pouvant pas y résister, il était d’une perfection incroyable dans le lumière du soleil, le reflet de l’eau bleuté offrait à son visage une harmonie et une sensation nouvelle qui réchauffait tout mon être.

    JAMES — Te souviens-tu, Honey, à quel point j'aimais danser avec toi ..

    Je souriais, me rappelant les doux slows en sa compagnie, n’importe où, il me prenait contre lui, effleurant mes cheveux et doucement me serrant contre son être, quel tendre sensation, quel délice, quelle envie.

    JAMES — Sais-tu combien cette sensualité m'a manqué ? Demandais-je à son oreille d'une voix roc.

    Sans m’en rendre compte, j’étais encore bien proche de lui. Nos deux corps séparer par un simple millimètre et sans voir ma main se poser doucement sur sa chemise, effleurant son corps. Sensualité, je jouais avec lui, avec un immense plaisir.

    BLISS — Et toi sait tu à quel point tu ne me laisse pas indifférente ?

    Je fixais son regard, mes yeux plongeais dans les siens, mes bras enlacèrent son coup, me collant totalement à lui, sur une douce musique, behind blue eyes de limp bizkit , il comprit mes désirs, danser une nouvelle fois avec lui.

    BLISS — Danse avec moi trèsor.

    Mon désir grandissant me forçait à ne pas le quitter de la soirée. besoins de toi
Revenir en haut Aller en bas
http://fells-church.forum-actif.net/
James C. Owen

James C. Owen
    WRITER une tache rouge sous un regard voile

♣ date d'inscription : 10/02/2010
♣ prénom / pseudo : miss . f
♣ nombre de messages : 348
♣ copyright : © acide . édulcoré
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Damonclosecrop1
♦ age : 19 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • célibataire endurci(e)
  • amitié améliorée

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue90 / 10090 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyVen 12 Mar - 13:15

    Il n'y avait pas plus d'amour qu'il n'y avait de passion en ce monde, et à tout vous dire, j'avouais que je me laissais aller facilement à la fascination de nouvelles activités. La passion me dévorait, elle faisait de moi un être curieux de nature, mais pas d'une curiosité maladive qui me donnait envie d'autopsier la vie privée de ceux qui m'entouraient, c'était bien plus profond que cela. L'esprit de l'homme que j'étais se trouvait être quelque fois d'une perversité aliénée. En outre, je ne pouvais me résoudre à ne pas comprendre ceux qui m'entouraient, et plus que connaitre leur vie, c'est de leur caractère et de leur esprit dont je parlais avec plus d'intérêt. Je me passionné par la psychologie dans ce qu'elle avait de plus brute. Je pense même pouvoir affirmer que je restais proche de quelqu'un jusqu'à ce qu'elle n'eut plus de secret pour moi. A partir du moment où je pouvais deviner à l'avance comment elle allait réagir, je coupais les ponts, blasais et repus de ma passion. Pourtant, je n'étais pas un étudiant en psychologie, et je me reputais à l'idée de suivre un cours en cette matière. Je prenais plus cela comme une sorte de passe temps qui me convenait. J'avais l'impression ainsi de pouvoir contrôler les êtres et d'être en outre, supérieur à ceux qui m'entouraient.

    J'étais aussi passionné par la littérature, et je ne pouvais me passer de cela plus d'une heure dans ma vie. Ma mémoire tournait constamment autour des derniers livres que j'avais pu lire, et je ne me détachais jamais de tous ces auteurs qui berçaient mes jours d'une douce mélancolie poétique. Cependant, il arrivait que ma concentration ne soit que trop accaparée par ce qu'il se passait autour de moi pour partir dans des récitations absurdes en de telles circonstances, de poètes meurtries et mal dans leur peau. Je m'en passais bien, alors que je me trouvais à cette fête en excellente compagnie. Soudain l'envie de passer du temps seul avec Bliss me semblait être un très bonne idée, et j'en oubliais tout ce qu'elle savait sur moi. Mon attirance vers elle ne me paraissait que physique. Du moins, c'était la seule que j'acceptais sans conditions. Parce que ressentir revenait à souffrir, je ne voulais pas me poser plus de question sur ce lien qui nous unissait inexorablement l'un à l'autre. Je tenais trop à cela pour m'en priver et me terrifier sans raisons apparentes. Elle ne m'appartenait pas.

    Pourtant j'en avais soudainement l'impression, alors que les premiers accords d'une chanson que je ne connaissais que trop bien résonnèrent autour de nous, et que je serrais son corps contre le mien. Un slow, et par n'importe lequel. Behind Blue Eyes retraçait la vie d'un homme incapable d'oublier tout ce qu'il y avait eu de malheur dans son existence, et que pourtant renaissait sous le regard d'un autre. Que ce passait-il vraiment derrière les yeux bleus d'un homme blessé, brisé. Il semblerait que les yeux soit le miroir de l'âme, j'aurais préféré qu'ils en soient le mur de séparation. J'étais terrifié à la penser que Bliss put lire en moi à cette instant. Je repensais à ma propre souffrance, et aux instants que j'avais passé avec elle à l'époque. Des instants volés d'un bonheur qui me fuyait depuis des années. En cette instant, je me sentais profondément faible, humain en somme, et les larmes risquaient à tout moment de m'envahir. De fort j'étais devenu triste et perdu. Dans les bras d'un ange. Je me perdais dans son regard, et sa voix volait vers moi comme une promesse.

    BLISS — Et toi sait tu à quel point tu ne me laisse pas indifférente ?

    Un sourire satisfait s'installa sur mes lèvres. J'en étais presque persuadé. Elle ne pouvait pas être totalement satisfaite dans les bras de son homme, et si Edwin était effectivement quelqu'un de bien et d'aimant, je savais que Bliss avait besoin de plus. Je doutais même de sa fidélité. Elle n'était pas faite pour être bien sage et rangée dans ce genre de relation bien trop platonique. A ce que j'avais pu voir elle avait pas mal de garçons près à tout pour elle. Comme je l'avais été à un moment poussé par un sentiment que je ne m'expliquais toujours pas. Ses mains frôlèrent mon torse, et je perdis le fil de mes pensés, me penchant un peu plus vers elle, vers ses lèvres attirantes.

    BLISS — Danse avec moi trèsor.

    Je ne me fis pas prier pour l'entrainer dans un danse lascinant, frôlant son corps avec le mien. Nos pas se faisait assuré mais lents, profondément séducteur, et depuis longtemps je n'avais pas joué à un jeu aussi dangereux. Je me perdais dans l'instant, me penchant un peu plus vers elle, frôlant ses lèvres, posant ma bouche derrière son oreille, descendant sur son cou. Inspirant son odeur ...

    JAMES — Tu sens divinement bon ...

    Mes mains se placèrent dans on dos, et je caressais en de petits cercles ses omoplates, sa peau de pêche. Tout en restant à embrasser son cou.

    JAMES
    — Si tu savais comme j'avais besoin de toi, Honey... Tellement ...
Revenir en haut Aller en bas
Bliss M. Shadow

Bliss M. Shadow
■ aimer a perdre la raison

♣ date d'inscription : 01/01/2010
♣ prénom / pseudo : New Yorkaise
♣ nombre de messages : 450
♣ copyright : Moni59
♦ age : 20 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • relation compliqué(e)
  • relation amoureuse
  • relation sérieuse

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue70 / 10070 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyDim 14 Mar - 21:35

    Je portais un grand intérêt à la philosophie, je trouvais ça passionnant, pouvoir se poser les bonnes questions sur l’espèce humaine ou simplement sur des actes de la vie quotidienne, l’amour, la haine, les découvertes et les relations entre les hommes. L'homme qu'elle drôle de machine. Tellement complexe à la fois indécis et machiavélique. Je ne comprenais pas cela. C’est ainsi que je voyais l’espèce humaine, fausse et méchante. L’erreur est humaine à écrit un grand homme, je dirais plutôt que l’erreur est la cause d’un comportement voulu, nous sommes tous les maîtres de notre corps et chaque gestes et actes est pertinemment voulu. Alors l’erreur humaine est une pure invention pour faire passé l’homme pour quelqu’un civiliser alors qu’au fond il est un animal peut être différent, utilisant des pratiques culturel alors que l’animal reste dans le naturel mais comme lui il n’a aucune pitié pour sa proie et il est stupide. L’humanité, il y avait tellement peu d’humain capable de compassion envers quelqu’un d’autre, combien était sincère ? Combien ne mentaient pas sur leurs sentiments ? La franchise, peut de personnes en sont réellement capable et c’est quelques personnes peuvent être fière d’être humain. Je haïssais l’espèce humaine à ce moment, pourtant différent de mon comportement habituelle mais la souffrance me changeais, je ne voulais plus y croire en tout ces mythes humain. Je serais désormais Bliss Shadow, simplement Bliss sans chercher à devenir quelqu’un que je ne veux pas être, juste moi dans toute mon humanité. A la fois, forte malgré la peur de souffrir, à la fois belle car les apparences sont essentielles désormais; maligne rêveuse. Douce et indépendance. Je voulais simplement être plus forte qu’avant, évitant sa souffrance. Courageuse, franche, perfectionniste et sensible.

    Et la femme que j’étais, je la lui devais, d’une certaines manière il avait fait de moi la douce Bliss, remise des erreurs du passé, et allant juste de l’avant. L’ancienne Bliss n’aurait sans doute jamais pu pardonner son infidélité, mais je le savais pertinemment, que James sous ses airs de terreur, se cacher l’homme parfait, tendre et doux, et je voyais en lui mes espoirs, ces mois avec lui furent si magique que j’avais pendant un moment réalisé à quel point l’amour pouvait avoir un sens, même si cet amour ne sembler pas avoir été partagé. J’étais désormais sur, nos destins bien que trouble furent il était liée par une sorte de fil magique et incassable. Nous étions ensemble les deux partis d’une équation, deux êtres disposée dans un monde ensemble pour le faire avancer, parce qu’ensemble nous sommes un.

    JAMES — Tu sens divinement bon ...

    Ces doux mots raisonnèrent dans mon être comme une symphonie, l’un des doux bruits de la vie ; je n’avais qu’une envie m’allonger avec lui pour une éternité sans ombre noire. Je ne savais pas ce que nous faisions ensembles là dans les bras l’un de l’autre sur le doux bruit des Limp Bizkit, Behind Blue Eyes ; Limp Bizkit est un groupe de nu metal américain (ou "Pimp-Rock" selon eux-mêmes) fondé en 1994 à Jacksonville en Floride, et qui mélange hip-hop et metal. Mais j’étais assez impassible à cela, je n’avais d’yeux que pour lui, comme si il était le centre du monde, de mon monde.

    JAMES — Si tu savais comme j'avais besoin de toi, Honey... Tellement ...

    J’en fus totalement soulagée, c’était comme si toute la pression du monde s’effacer peut à peut de mon être. Je lui laisser parcourir ma peau avec ses douces mains, frissonner à la simple sensation de ces doigts. Mon regard se lança dans la profondeur de ces yeux, j’enlaçais son corps et son être. Je ne sentais plus rien, ni les regards des autres sur notre pseudo couple, ni la musique qui depuis avant sans doute du changer mais je n’avais plus envie, je voulais juste qu’il me regarde.

    BLISS — Si tu savais à quel point j’avais besoin de toi et à quel point tu me manquais … tant manquer

    Je n’avais qu’un désir déposer mes lèvres sur les siennes, pour un ultime baiser, j’attendais ça depuis si longtemps, nos mains s’enlacèrent, et mon regard vibré pour lui, offrant à mon cœur, un bruit si rapide qu’il aurait pu sortir de ma poitrine.

    BLISS — Je n’ai jamais pu t’oublier …
Revenir en haut Aller en bas
http://fells-church.forum-actif.net/
James C. Owen

James C. Owen
    WRITER une tache rouge sous un regard voile

♣ date d'inscription : 10/02/2010
♣ prénom / pseudo : miss . f
♣ nombre de messages : 348
♣ copyright : © acide . édulcoré
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Damonclosecrop1
♦ age : 19 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • célibataire endurci(e)
  • amitié améliorée

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue90 / 10090 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyMer 17 Mar - 16:42

    L'existentialisme prenait en compte les personnes dans leur individualité. C'était une doctrine philosophique de Sartre. Selon lui, et pour être le plus synthétique possible face à ses explications plus que paradoxales, chaque personne était unique. Il était bien le premier à penser ainsi, et alors que le peuple était vu dans son intégralité, il avait émis l'hypothèse que tous nous soyons différents, et que c'était de plus notre droit d'être perçu comme tel. Et plus encore, il avait décrété que les choix des Hommes ne provenaient aucune d'un déterminisme qui les enfermait dans la fatalité. Nos choix étaient pris en nos âmes et consciences, et nous ne pouvions nous en prendre qu'à nous même si ils se trouvaient être mauvais. Aussi, nous ne dépendions plus d'un dieu, d'une idée allégorique sur laquelle reposait toutes nos espérance et nos peine. Désormais, les Hommes étaient libres d'être qui ils souhaitaient être. Ils choisissaient leur voie, et leur envie. Les femmes enfin pouvaient se libérer de la domesticité dans laquelle les hommes les avaient enfermé. Comme Simone de Beauvoir. Et de nos jour encore cette doctrine se trouvait avéré. Plus simplement perçu dans la vie de chaque jour, à ce moment précis, j'avais fait le choix de me départir de mon masque d'assurance devant Bliss Shadow, et elle avait décidé de se laisser aller à l'espoir d'un passé glorieux.

    Si je me souvenais rarement des mois que nous avions passé ensemble, ce n'était aucunement parce que j'en avais honte, que cela n'avait aucune importance. C'était bien plus profond que cela. Je n'en parlais jamais, ni même avec les gars, Edwin, ou William. Ni même avec mes amies, Holly, Sugar, ou Anthédora. Pas même avec Bliss. Ce passé nous suivait pourtant, et je sentais encore les mêmes émotions qu'à l'époque, quelque peu amoindris par le temps cependant. Et aucun mot ne pouvait décrire cela, je ne le souhaitais aucunement. Apeuré à l'idée de le perdre probablement plus que de m'y laissait aller. En réalité, il y avait dans ma vie si peu de moment aussi pure que ceux partageait dans l'intimité avec Bliss, que je profitais de chacun. De ce soit dans le présent - bien que ce soit rare même jamais - ou dans le passé que nous avions partagé. Le premier regard, le premier sourire, le premier café échangé dans le bistrot du coin de sa rue. Le premier baiser, en guise de bonjour, échangé avec un naturel déconcertant. Les premières caresses, les premiers désirs. ET même si j'avais longtemps eut envie de son corps, nous avions respectés les bases à l'époque, connu en Amérique surtout. Cela se décomptait ainsi. Première base : le baiser avec la langue. Seconde base : les caresses sur les vêtements. Troisième base : les caresses sans les vêtements. Quatrième base : Home Run ! Je n'avais rien d'autre à ajouter.

    J'avais aimé chaque instant passés dans ses bras.

    Et encore maintenant j'en profitais plus que de raison. Je repartais lors de notre premier slow il y a des années de cela. Je me souvenais, les glaces que nous partagions en été, et les premières neiges peu de temps avant notre séparation. Le premier cinéma où je l'avais invité suivit d'un restaurant. Et je souris en pensant que j'avais gardé les tickets dans un de mes journals. A l'époque, j'avais trouvé cela marrant venant de moi d'être aussi prévenant avec une fille. Depuis Camille. La première. Elle avait compté pour moi, et n'était plus là à présent. J'y pensais encore moins souvent que je ne pensais à mes mois avec Bliss. Autant dire jamais. Son prénom me revenait soudainement sans que je ne puisse l'expliquer, et retournait dans un coin sombre de mon cerveau. Je serrais le corps de ma chère Honey contre moi.


    BLISS — Si tu savais à quel point j’avais besoin de toi et à quel point tu me manquais … tant manquer

    J'aurais cru que la musique, assourdissante m'épargnerait tant d'émotion. Cette déclaration me marquait au fer, j'avais mal. Terriblement mal. Mais plus encore, je sentais l'envie irrépressible et la prendre contre moi, de l'embrasser, et de la toucher, encore et encore. De caresser son corps, car à l'époque. Comme la première fois. La sentir frémir, gémir sous mes mains, crier sous mes baisers et la pulsion de mon corps. J'étais attiré vers elle, et si je m'écoutais, je l'emmènerais dans un coin sombre, un peu à l'écart de la fête. Tout de suite. Je savais que ce n'était pas ce genre de lieux qui manquaient dans le coin.

    BLISS — Je n’ai jamais pu t’oublier …

    C'était la phrase en trop, celle qui me fit oublier qui j'étais, où je me trouvais, et surtout mes promesses de ne jamais revenir en arrière. De ne jamais m'accrocher aux souvenirs du passé, aussi heureux soient-ils. Je crois son regard, une demi-seconde. Ses yeux brillaient d'émotion, les miens étaient noircis par le désir violent qui me prit les tripes. Je sentais son coeur battre frénétiquement, tant nos corps étaient proches l'un de l'autre. Je souris, et fondis sur ses lèvres. J'écrasais ma bouche contre la sienne dans un baiser violent, retrouvant dans un premier temps le gout de ses lèvres. Mais très vite l'envie me prit de la gouter plus avant et je quémandais l'entrée à sa bouche pour sucer, lécher sa langue, et ses lèvres dans un baiser mêlant passion et sensualité. Je pris sa nuque dans une de mes mains, et la maintins par la dos contre moi avec l'autre. Je ne pus m'empêcher de caresser doucement son cou, et notre étreinte dura une éternité. Jusqu'à ce que le souffle me manque.

    JAMES
    — Bliss ... J'ai envie de toi ... maintenant.

    Ma voix était impérieuse, roc, et surtout emplie de désirs. Il est vrai que soudainement je me trouvais bien à l'étroit dans mon jean, et mon coeur allait bientôt lâcher. Je me sentais fiévreux, et ne pouvais la lâcher du regard.

    JAMES — Nous autoriseras-tu une dernière nuit ensemble, Honey ? demandais-je dans un murmure ravageur.
Revenir en haut Aller en bas
Bliss M. Shadow

Bliss M. Shadow
■ aimer a perdre la raison

♣ date d'inscription : 01/01/2010
♣ prénom / pseudo : New Yorkaise
♣ nombre de messages : 450
♣ copyright : Moni59
♦ age : 20 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • relation compliqué(e)
  • relation amoureuse
  • relation sérieuse

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue70 / 10070 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyJeu 18 Mar - 19:50

    « Tous les hommes veulent être heureux. Cela est sans exception, quels que soient les moyens qu'ils emploient pour y parvenir » proclame Pascal dans ses Pensées. Il nous paraît en effet évident que chacun d'entre nous cherche le bonheur; et pourtant, bien peu sauraient attribuer une définition précise à ce terme. Ce que les philosophes grecs avaient coutume de définir comme « un état de satisfaction complète et durable » reste aujourd'hui encore insaisissable; de sorte que l'on peut se demander si le bonheur est une réalité, à la portée de tous, que chacun mérite et peut obtenir, ou si au contraire, il reste une notion, un concept inadéquat à la condition de l'homme. En somme, le bonheur reste-t-il inaccessible à l'homme ? Et dans ce cas, rechercher le bonheur, n'est-ce pas se condamner à ne pas le trouver ? Nous nous attacherons tout d'abord à expliquer en quoi chaque homme semble pouvoir être heureux; puis, nous montrerons en quoi cette félicité ne serait qu'illusion et dans quelle mesure le bonheur ne semble pas vraiment à la portée de l'homme. Enfin, nous expliquerons en quoi la quête du bonheur peut devenir pour l'homme une véritable aliénation.

    Le bonheur est ce à quoi tend chaque individu. Toute vie humaine est consacrée à la recherche du bonheur, mais très peu de personnes considèrent atteindre cet état suprême... Alors qu'attendons-nous pour être heureux ? Peut-on seulement l'être ? On parlera ici de l'attente active du bonheur : des actions dont l'Homme est capable pour atteindre cet objectif, et non pas de l'attente passive, où l'Homme assimile le bonheur à la chance, au hasard... Puisque dans ce cas aucune action rationnelle ne pourrait permettre de l'atteindre, et soit la superstition, soit la passivité pourrait être réponses de la question posée. « Il n'y a pour l'homme que trois événements : naître, vivre et mourir. Il ne se sent pas naître, il souffre à mourir, et il oublie de vivre » écrit La Bruyère. Autrement dit déjà, le bonheur de vivre semble compromis, puisque la vie n'est vécue sans souffrance. Mais ne nous décourageons pas et reprenons depuis le début.

    Par bonheur, nous entendons un état durable de satisfaction permanent. Etymologiquement, bonheur vient manifestement de « bonne heure », et désigne ainsi la bonne fortune, en tant que ce qui arrive de bien ou de mal. La notion semble induire en elle-même que le sujet n'est pas en mesure de décider de cet état de bonheur. Ainsi, lorsque nous nous interrogeons sur le bonheur de vivre, nous considérons qu'une part de l'accession du sujet au bonheur dépend en partie de ce qu'il n'est pas en mesure de maîtriser. Au fond, bonheur, Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents. Mais au fond ce n’était pas des mots ou des sentiments, le bonheur pouvait se réduire à une seule seconde tant que ce soit avec la bonne personne.

    Aujourd’hui je ne pouvais dire que j’étais une femme malheureuse, ma vie en elle-même était assez réussite, et dire qu’elle ne l’était pas serait une preuve d’égoïsme certains, parce que d’autre on sens aucun doute une vie bien plus triste. Alors bien que mon bonheur ne soit pas au summum de mon être, je me contentais avec le sourire des moments de joie que m’apporter les êtres qui faisait ma vie. Ce soir cet être était James, pourtant cruel et froid, séducteur et brutal d’ordinaire, je retrouvais sa douceur, sa passion et sa bonté, dans un regard. Au fond je trouvais ce soir, le vrai James. Celui qui avait réussit à faire de mon être et de ma vie, un vrai soleil, illuminant mes journées de pureté et de lumière.

    Puis tout bascula comme si le monde venait de s’arrêter, j’avais l’étrange sensation de n’être que seule avec lui, comme si nous dansions ensemble, juste dans un rêve, une sorte de mélange entre un vieux flash back et un nouveau. Une musique débuta, à peine oditible à mes oreilles, une sorte de musique, plus rapide et à la mode qu’un slow, sa devait être womanizer de la déesse Britney spears – je t’aime brit – les jeunes frottaient de nouveau leur corps, bougeant sous la chaleur de la pièce contre leur partenaires, moi j’étais toujours dans ses bras, collée et figée contre lui, comme si l’ancien morceau se trouvaient encore dans ma tête. Un frisson me parcourut, comme une décharge électrique, mes membres se figèrent et je ne respirais plus, j’étais couper du monde, presque morte. Une fusion, une sorte de parfaite alchimie me parcourut quand je réalisai que ses lèvres se posait sur les miennes. C’était si doux, si bon, si parfait comme un retour dans le passé.

    JAMES — Bliss ... J'ai envie de toi ... maintenant.

    Ce fut les quelques mots qu’il prononça après m’avoir doucement lâchée. J’avais la sensation que mes pieds touchèrent de nouveau le sol, couvrant mes rêves d’un doux toucher rose.

    JAMES — Nous autoriseras-tu une dernière nuit ensemble, Honey ? Demandais-je dans un murmure ravageur.

    Il avait toujours ce doux son, quel poète, quel homme si tendre dans ces paroles, il n’avait pas ce mouvement brusque dans ses mots, il parlait avec douceur et me fasciner comme toujours. Je ne pus résister à un nouveau baiser, attirant son corps vers le mien ; mes deux mains attirant instinctivement sa chemise, et je me jetais sur ses lèvres, sauvagement et pourtant tendrement.

    BLISS — Alors prend moi

    Nos lèvres se quittèrent sur les doux soupçons de ma voix. Je reculais de son être pour la première fois pendant de longues minutes. Je lui lançais un sourire avant de me dirigeais vers James Kindgley mon meilleur ami.

    BLISS — Je te quitte James on se retrouve demain.

    Il me serra doucement dans ces bras sous ses doux conseils, avant de faire un signe à James, quelques choses du genre rejoint moi. Je savais qu’il connaissait le chemin de ma chambre, quand à moi, j’entrais connaissant chaque parcelle de la pièce qui me tenait compagnie depuis deux années. Et James arriva … souriant, désireuse et passionnée ©️ Honey
Revenir en haut Aller en bas
http://fells-church.forum-actif.net/
James C. Owen

James C. Owen
    WRITER une tache rouge sous un regard voile

♣ date d'inscription : 10/02/2010
♣ prénom / pseudo : miss . f
♣ nombre de messages : 348
♣ copyright : © acide . édulcoré
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Damonclosecrop1
♦ age : 19 printemps
♦ Situation amoureuse :
  • célibataire endurci(e)
  • amitié améliorée

♦ popularité :
▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Left_bar_bleue90 / 10090 / 100▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Right_bar_bleue



anyone knows
♦ relationships:

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen EmptyVen 19 Mar - 19:40

Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé



▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Vide
MessageSujet: Re: ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen   ▬ je n'aime pas les titres •• James Owen Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

▬ je n'aime pas les titres •• James Owen

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Behind . the . Door :: — Corbeille-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit