« Two plus two equals four. I put sugar in my coffee and it tastes sweet. The sun comes up because the world turns. These things are beautiful to me. There are mysteries I will never understand, but everywhere I look I see proof that for every effect there is a corresponding cause. Even if I can't see it. I find that reassuring »

SILVER ▬ Allez, debout la vieille ! T'as un cours à donner ce matin.
Je n'avais aucune envie de sortir de mon lit, mais je devais bien le faire. Si j'avais envie d'avoir mon salaire, il fallait bien que je donne mes cours. Je m'extirpai de mon lit péniblement. Mes cheveux me semblait dégoutant et après avoir fait entrer le soleil dans ma chambre, je me dirigeai vers la salle de bain. Une bonne douche ne me ferait pas de tord. Malheureusement, elle fut très courte étant donné ma faim. J'avais une peine énorme à rester debout tellement je mourrais de faim.
Assise toute seule dans ma cuisine, mon bol de céréales dans les mains, j'avais le regard rivé vers la version prof du manuel que je donnais à mes élèves lors de leur premier cours. Aujourd'hui, j'avais un cours à donner, mais ce n'était pas à mes élèves de psychologie. Non, c'était un cours optionnel que j'offrais à chaque année, pour présenter la facette de la psychologie que j'enseignais. Avec les années, j'avais perdu ma naïveté et avait de loin préféré la science appliquée dont les effets sont visibles plutôt que des suppositions qui ne pouvaient jamais être affirmés, puisque chaque individu est unique et réagit différemment. C'était donc dans cette optique que j'avais monté mon cours. Je voulais montrer la facette scientifique de la psychologie aux élèves.
Après avoir fini mon bol de céréales, je me pris un café, espérant que cela allait un peu me réveiller. Douchée, habillée, nourrit et réveillée au café, j'étais fin prête à partir. Ma petite auto hybride m’attendait patiemment dans l’entrée. Après avoir prit une veste et attrapée mon sac à main, je sortis dehors pour aller prendre la route. J’habitais dans un petit duplex en bordure du centre-ville et s’il n’y avait pas trop de trafic, je pouvais arriver à Harvard dans la demi-heure suivante. Mais ce matin, ce n’était pas le cas. Le bouchon était incroyable et je mis au dessus d’une heure avant de finalement arriver sur le campus.



La salle de classe où je donnais mon cours avait la propriété d’être gigantesque. Pour certains c’était bien, mais pour d’autres septique comme moi, je me demandais constamment si j’allais réussir à la combler. Elle ressemblait quasiment à un auditorium tellement s’était grand. J’avais aussi peur que les gens du fond ne puissent pas m’entendre. Et puis, les élèves avaient toujours la manie d’aller s’asseoir le plus loin possible du professeur, mais assez proche pour entendre et j’espérais que les gens qui serait là aujourd’hui ne surestime pas ma capacité vocale. Avec les années, j’avais appris à porter ma voix le plus possible, mais 90 minutes à crier pour me faire entendre, ce n’était pas du tout mon genre.
Finalement, j’en avais marre de regarder le fond de la classe et de me décourager à chaque fois, alors je finis par m’asseoir au bureau à l’avant de la classe. Ce n’était pas mon local habituel, donc j’avais tout ce dont j’allais avoir besoin dans mon sac et malheureusement pas dans les tiroirs. C’était le genre de chose que mon épaule droite ne supportait pas vraiment, mais ce n’était pour qu’un cours. Un petit coup d’œil à l’horloge m’annonça qu’il restait moins de 5 minutes avant que la cloche sonne pour le début des cours. Je replaçai mes crayons tous parallèle avant de me lever pour déplisser ma jupe et je me dirigeai vers le tableau. J’avais quelques petites informations à écrire avant le début du cours…


Citation :

« L'objet de la psychologie est de nous donner une idée tout autre des choses que nous connaissons le mieux. »
Paul Valéry

•• Le soleil était au rendez-vous en cette journée de Mars, aussi agréable fut-elle, il fallait bien se lever même si la matinée offrait une large période de temps libre. Jared avait dormi chez des amis de son père avosinant l'université de Harvard. Le jeune homme aurait aimé rester plus longtemps, mais il devait se résoudre à rentrer dans l'enceinte universitaire.
•• Comme Jared n'avait rien eut de prévu en cette douce matinée, le jeune homme avait donc décidé d'aller à un cours optionnel de psychologie. Juste histoire de voir à quoi ressemblait vraiment cette "matière". Alors Jared s'était habillé en vitesse, jean gris délavé, chemise blanche et converses grises. Jared s'habillait toujours bien. Cora, l'amie de son père - et aussi pendant un certain temps sa petite amie - raccompagna Jared à Harvard. Et Jared en fut ravi, car, prit dune flemme incomparable, il n'avait pas envie d'aller à pied. La voiture de Cora était un énorme 4x4 noir et luisant au soleil. Il surplombait les vieux tacots des étudiants. La tête collée contre la fenêtre de l'énorme voiture se gara dans le parking non loin d'Harvard. Jared descendit du 4x4, et vu sa hauteur, il faillit tomber. Il trébucha juste et réajusta osn équilibre tant bien que mal. D'un bref geste de la main, il salua Cora et pénétra dans la grande Université.
•• Les couloirs étaient aussi bruyants qu'à leur habitude - au grand désespoir de Jared. Il n'était pas un fanatique de la surpopulation où les gens étaient entassés les uns sur les autres. Le jeune homme poussa le battant d'une grande porte où devait être le cours de psychologie. La salle était un immense local, comparé à quelques vieilles salles où Jared demeurait pendant la plupart de ses cours. Le sang monta aux joues du jeune homme lorsqu'il remarqua qu'il était seul.

« B'jour.. »

•• Marmonna-t-il. Il s'installa à une table - près de la fenêtre. Et, même si c'était impoli, Jared planta ses écouteurs dans ses oreilles - après tout, il restait encore deu xou trois minutes.

Drinnnng...

Dure le réveil, je me leva tout de même dans les secondes qui suivirent la sonnerie en ayant je le sentais une mine affreusement moche. En effet en ayant pris la direction de la salle de bain je me regarda dans le miroir qui surplombait le lavabo et ne me reconnut pas dans les minutes suivantes. J’avais des cheveux en batailles, des yeux gonflés de ne pas être suffisamment reposés, et la trace des draps sur mon front … Mais à ce moment là, la seule chose à laquelle je pensa était si oui ou non j’avais parlé cette nuit, … si oui ou non j’avais empêché Macy de dormir … Enfin, j’entra dans la douche afin de me rendre un peu plis jolie que ce que je venais d’apercevoir, je pris le plaisir de laisser l’eau chaude couler le long de mon corps… puis sortis me sécher quelques minutes plus tard. Je m’habilla d’un T-shirt simple en col V de couleur bleu marine décoré d’un petit bouton collé sur une poche au niveau de la poitrine, puis enfila un jean bleu foncé, le tout que j’harmonisai avec une petite veste en jean que j’aimais tant. Je sortis, mis mes petites chaussures aux pieds, et partis mon sac de cours en main, direction les casiers.

Dans les couloirs je me rendis compte qu’il n’y avait pas vraiment de monde ce matin. Je n’avais même pas pris le temps de vérifier quel cours j’avais… Arrivée à mon casier, je l’ouvris et regarda attentivement l’emploi du temps que j’y avais accroché, ce matin j’avais un cours optionnel de psychologie, je m’y étais inscrite en pensant que c’était intéressant, j’aimais ce qui se rapprochait de la psychologie, cela permettait parfois de mieux comprendre les gens… La seule chose qui m’avait fait hésité était qu’il se trouvait à Harvard, mais en y réfléchissant bien cela pouvait être une bonne petite excuse pour pouvoir se balader dans ses couloirs… Je pris alors mon bloc de feuille, et partis en direction de la classe indiquée sur mon papier. Lorsque j’arriva, il s’y trouvait déjà quelques élèves. Le professeur était une jeune femme, qui avait l’air plutôt stressée. Je lui lanca un :

- Bonjour !

Avec un sourire timide, et pris la direction d’une table vide.
Je reconnue quelques personnes que j’avais croisées précédemment, dont Jared et Holly. J’appréciais Jared, on s’était rencontré tous les deux à la bibliothèque, et le courant était tout de suite passé entre nous. Seulement entre Macy et lui c’était difficile, et je m’étais un peu éloigné de lui depuis quelques temps … Je lui adressa un petit signe de la main discrètement, qu’il me rendit avec un de ses plus beaux sourire. J’espérais qu’il ne m’en voulait pas. Non loin de là, se trouvait une tout autre jeune fille : Holly, jeune fille que je n’appréciais pas du tout. Elle avait l’air d’être tout aussi prétentieuse que son meilleur mai James. De la voir me donna des frissons dans le dos… Je me dirigeas vers le fond de la classe, de façon à ce qu’il n’y ait personne derrière moi, j’aimais pouvoir tous les voir. Cependant, je ne pensa pas m’être suffisamment éloignée pour ne plus pouvoir entendre la voix de notre professeur. Je pris alors place, et disposa mes affaires devant moi, toujours le plus discrètement possible, comme à mon habitude.

•• Assit à sa chaise, Jared avait le regard tourné vers l'exterieur, et il rêvassait, comme à son habitude. Puis des pas se firent entendre et une petite masse d'élève entra dans la classe. Quand soudain, Angel Smith, sa petite amie de... Seconde. Jared ouvrit grand les yeux et plongea sa tête entre ses mains. Pitié... Tout sauf Elle... songea-t-il. Il n'avait pas très envie de lui parler, vu les relations tendues qu'ils entretenaient. Et pourtant, Angel vint s'asseoir près de lui. Jared sentit les poils de ses bras s'hérissser légèrement et il se colla un peu plus au mur. Et, par mégarde, le jeune homme croisa le regard d'Angel, celui qu'il avait tant aimé regardé... Il poussa un soupir.
•• Une amie de Jared entra dans la pièce, Lily. Elle lui adressa un bonjour et Jared lui répondit avec un grand sourire. Au moins, il n'y avait pas que de la négation dans ses relations.. Mais le regard de Jared se braqua à nouveau sur Angel. La chaleur qu'il avait offert à Lily s'était transformée en de la glace pour son ex.

JARED - « Salut. »

•• Marmonna-t-il avec froideur à Angel L. Smith. Puis Jared rangea son IPod dans son sac. Le cours comemençait dans quelques secondes, et le jeune homme alalit passer une heure et demie avec quelqu'un qu'il n'appréciait pas tant que ça. Mais bon, il y avait des jours comme ça. Le jeune homme passa une main dans ses cheveux blonds vénitien. Il avait un peu hâtes que el cours se termine à présent.

Mes pas me guidèrent jusqu’à la porte se trouvant dans les profondeurs de la ville, camouflée de la vue de tous, pour éviter le conflit d’intérêt et les guerres inutiles pour savoir comment une telle aberration c’était produite et à qui elle appartenait vraiment. Les adultes se posaient beaucoup trop de questions à mon sens et c’est bien cela qui finissait par leurs coûter cher. Je ne me posais pas plus de question que cela, et voyait cette porte comme une chance, une option de plus à placer dans le prospectus de l’université. Je voyais cela d’ici « possibilité d’aller à l’autre bout du monde en moins de deux secondes. A utiliser avec précaution. ». Sur que beaucoup n’auraient pu y croire. Ceux bien trop terre à terre pour penser qu’une telle chose fut possible. Tous ceux qui se disaient scientifiques en somme. Je n’avais rien contre les chercheurs, mais je préférais me mélanger aux artistiques qui comme moi voyaient le monde différemment que comme un immense laboratoire de chimie et de maths. Je n’aimais pas les maths, et me trouvais bien heureux de ne plus avoir à les étudier à présent. Ce que j’aimais par contre c’est la psychologie, et c’est – je pense – guidais par mon inconscient que je me retrouvais ici à cette heure-ci de la journée. En réalité je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était, et je n’en avais cure. Je pris la porte – littéralement – et me retrouvais proche de l’université d’Harvard. J’avais entendu dire qu’une nouvelle professeur venait d’y arriver, et j’avais bien hâte de voir le joli minois de cette demoiselle. Ou madame, si elle se trouvait être mariée. Je n’étais jamais sorti avec un professeur, question d’éthique, mais j’appréciais les charmer, et les mettre à l’aise pour leur première journée.

Je passais la porte de l’enceinte de l’école, et vis au loin une silhouette qui me semblait connue. Mais il fut incapable pour moi qu’elle se trouva ici, et je secouais le visage avant de me mettre en route. Je n’arrivais pas à me sortir Macy de la tête, notre rencontre restant constamment au centre de mes pensés les plus profondes. Je faisais une fixation, elle devenait une obsession. Et j’avais l’impression de la croiser partout où je fus. L’imaginer être ici montrait bien à quel point elle m’obsédait et je commençais à trouver cela frustrant de ne pas l’avoir revue depuis. Tout en me remémorant son doux visage, son sourire timide et ses yeux pétillant de curiosité, je m’approchais de la salle où devait se dérouler le cours facultatif de psychologie. Je souris en m’apercevant qu’il ne restait que très exactement deux minutes avant que le cours ne commence vraiment, et entrait dans la salle sans plus de cérémonie.

Il y avait déjà quelques élèves mais pour le moment je ne m’en formalisais pas. Je m’approchais de la professeur, plutôt mignonne je devais l’avouer qui se trouvait proche de son bureau. Elle plissait sa jupe, souriait, s’asseyait, se levait, écrivait au tableau et recommençait. Je m’approchais de la place qu’elle occupait et poser une pomme rouge devant elle avait un sourire compatissant.

JAMES — Ravie de vous voir parmi nous, Lady Davenport.

Je pris alors grand soin de regarder autour de moi et il ne me fallut que deux secondes pour que mon visage s’illumine. Ce pour deux raisons pour êtres exacts que je trouvais tout à fait distinctes. La première fut que je croisais le regard d’une admirable demoiselle au premier rang, ce qui me surpris agréablement. Mes souvenirs détériorés par le temps n’avait pas rendu justice à la beauté naturelle de Macy, et je m’en blâmais. Elle était tout simplement somptueuse. Il m’étonna de la voir présente, surtout en sachant qu’elle étudiait le stylisme, mais beaucoup d’élèves devaient profiter du côté optionnel de ce cours. Que nous n’avions d’ailleurs pas dans notre université de Cambridge. J’aurais pu prendre la décision de m’asseoir près d’elle, pour profiter de sa promiscuité. Mais je n’en fis rien, passant devant elle je lui souris, les fis un clin d’œil et commençais à m’avancer dans le fond de salle où je croisais deux autres demoiselles. L’une que je préférais largement à l’autre.

Et pour cause il se trouvait qu’Holly était comme ma meilleure amie ici. J’adorais cette demoiselle, sa fougue, sa richesse d’esprit et son envie vivace de profiter de chaque instant de la vie. Nous passions beaucoup de temps ensemble dans les fêtes, les beuveries, les sorties, les soirées. Nous aimions nous amusés de tous, de tout, de rien. Nous nous entendions comme si nous avions élevés les cochons ensemble. Et plus que tout, elle ne me jugeait pas comme le faisait au premier coup d’œil certain élève. Suivez mon regard – qui se pose en ce moment même sur Lily … - je préférais ne même pas y penser. Il semblerait de plus que la demoiselle était proche de Macy. J’en avais des frissons. Soit, je passais devant elle et lui sourit en lui adressant un « bonjour Evans » remarquablement cynique. Qu’elle me rendit sans conteste.

Je m’assis près d’Holly, qui releva son regard sur moi.

JAMES — Alors Norton on est tombé du lit ce matin. T’as une sale gueule ma belle { x) } Peut-être le fait d’aller en cours. Une réaction allergique aux études ?

Je ris face à son air moqueur. Je la taquinais, comme je le faisais souvent. Je pris le sac bandouiller que je portais toujours, en cuir, et en sortis un bloc note ainsi qu’un stylo. Je n’avais besoin de rien d’autre. Assis ainsi en fond de salle, je pouvais sentir le regard foudroyant de Lily, amusé de Holly. Et surtout j’avais une vue plongeante sur la douce et la beauté de Macy. Tout autant que je pouvais profiter du cours de la jeune professeur. J’attendis alors qu’elle commence ses explications. Non sans sourire …

Il m’arrivait parfois de me demander à quoi bon tout ça ? A quoi bon tout ces instants fatidique de la vie ou seul le malheur et les larmes régnait, on m’avait toujours dit que le bien triomphé toujours mais pas cette fois, pourtant depuis mon arrivé sur la croisière j’avais ce sentiment que tout aller bien et que plus rien n’irait mal, mais surtout qu’aucune personne ne pouvait me faire de la peine. J’avais enfin rencontrer celui qui avait rendu le soleil à mes journées triste par le biais de quelques mots, j’avais fait des rencontres intéressantes et d’autre plus attachante comme Lilween, elle était à elle seule, un rayon de soleil, moi qui pourtant si dénigrante de la vie en société et de la confiance, je m’adapter. Lily pouvait être un ange, mon ange. Elle était le genre de femme forte derrière les apparences, un mélange de douceur et de sauvagerie. Elle était la personne la plus importante pour moi, depuis plus de dix huit ans, je ne lui cachais rien, pas même les petits détails de la vie quotidienne. Une perle rare dans ce monde. Mes parents et les siens avaient été amis, ils s'entendaient à merveille et je me rappelais chaque moment de notre histoire, tout nos étés ensemble. Je me souvenais de cette sensation plus que frustrante lors d'un été il y a de ça deux ans, nous avions été séparé pendant deux mois. Sans doute les deux plus long de ma vie, j'avais du partir pour un petit séjour de langues à Londres, je l'appelais chaque soir, lui racontant en détails mes journées, nos journées. Elle me manquait et je comprenais que nous étions liées l'une à l'autre pour l'éternité. Comme deux sœurs.

Je venais de la quitter pour me retrouver en cour, un cour de phycologie auquel j’allais insister dans quelques minutes. Dont le professeur fut Miss Davenport, une femme admirable, pleine de bon sens et d’une générosité incroyable. Elle était un peu un modèle ici pour moi. Et j’avais la chance de partager quelques moments avec dans le cadre de la création de nos projets. Le dernier en date restait un échange entre les élèves de Cambridge et d’Harvard, le tout dans un but éducatif et d’ouverture d’esprit. Nous travaillions parfois tard le soir mais avec plaisir, j’apprenais énormément de la femme qu’elle était. Elle aurait pu être à sa manière une seconde maman. En poussant la porte je trouvais des visages connus, Holly à la fois étrange et belle, une sorte de rivalité joyeuse entre nous ; James … « n’y pense pas Bliss », Lily à qui j’affichais un doux sourire avant de trouvais Macy, ce qu’elle m’avait manqué.

« Bonjour Madame »

Dis-je poliment. Puis je me dirigeais avec le sourire vers Macy. Son visage illuminait un peu la pièce.

« Cette place est libre ? » Je désignais la place juste à coté d’elle « Tu sais que tu ma manquée Macy Grint »