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 Hé P'tit Asticot ! — William

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AuteurMessage
James C. Owen

James C. Owen
    WRITER une tache rouge sous un regard voile

♣ date d'inscription : 10/02/2010
♣ prénom / pseudo : miss . f
♣ nombre de messages : 348
♣ copyright : © acide . édulcoré
Hé P'tit Asticot ! — William Damonclosecrop1
♦ age : 19 printemps
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  • célibataire endurci(e)
  • amitié améliorée

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MessageSujet: Hé P'tit Asticot ! — William   Hé P'tit Asticot ! — William EmptyLun 15 Fév - 20:01

Hé p'tit Asticot ! - with William

FLASH BACK ; on

    J'entrais dans ma chambre qui sera une partie importante de ma vie dans cet établissement pour les années à venir. Pas que ce soit la première fois que je prenais possession d'une chambre universitaire, après tout c'était ma seconde année dans l'établissement, c'était presque devenu une sorte d'habitude qui me suivra encore pour longtemps. Tout du moins pour les prochaines années à venir. Je n'avais pas hâte que cela s'arrête. A vrai je trouvais presque excitant de découvrire chaque année le lieux qui scelleront tout notre passé, nos souvenirs, et surtout notre présent. Nos amours d'une soirée sous les draps souillés d'amour. Ou encore les délires entre mecs, les soirées bières et foot. Pas que j'apprécie énormément le foot, mais j'aimais l'esprit et l'ambiance de ces soirées virils. A vrai dire, je n'avais aucune crainte quant au fait que je m'entende avec mes futurs colocataires, je n'avais en général pas trop de mal à me faire accepter dans un groupe. Ou sinon je ne serais pas aussi populaire n'est-ce pas. Pas que j'en étais fier, mais cela rendait ma vie si passionnante en un sens. Mais passons, et découvrons plutôt cette pièce à vivre emplit des souvenirs de mon futur proche.

    Comme de bien entendu, comme à chaque fois que l'on découvrait pour la première fois une chambre d'étudiant, elle était vierge à proprement parler. A part quatre lits, et quelques étagères, rien ne semblait indiquer que cette pièce était bien évidemment une chambre à coucher et à vivre. Je décidais d'y mettre un peu plus de joie, en y entrant pour commencer. Un rapide tour sur moi même me permit de constater que la pièce n'était pas si mal, plutôt spacieuse et que surtout il y avait des bureaux qui nous permettraient de travailler avec des ordinateurs et une bibliothèque, le plus important. Souriant, je jetais ma valise sur mon lit, que je décidais être celui près de la fenêtre à droite. La raison pour laquelle je fus poussé à prendre cette couche ne me vint pas et il fut bien inutile que je pose plus de question encore. Je découvris aussi, en regardant la pièce de cet angle là, une pièce d'eau, une salle de bain bien équipée avec là encore tout le confort. Intéressant ...

    Ouvrant ma valise, je déposais les affaires que j'avais pris avec moi après avoir quitté mes parents et mes mois de vacances pour les poser dans l'armoire qui était mienne. Ainsi que celle de mon voisin de lit. J'y entreposais mes t-shirt et mes pantalons en cuir. Mes bottes et mes Docs Martins se retrouvèrent sur le sol, sous mon lit, tout comme ma valise une fois qu'elle fut vide. Sur le mur au-dessus de ma couche, je collais un poster d'une belle et attendrissante demoiselle en petite tenue - qui se trouvait être une source d'inspiration sans fin - et dans la bibliothèque je mis les quelques livres que j'avais à étudier pour l'année. Et pour finir, en tout bien tout honneur, je déposais mon cher journal - tout du moins le cinquième puisque j'avais terminé les autres qui se trouvaient encore dans le fond de ma valise étant donné que je ne m'en séparais jamais - sur ma table de nuit et regardais le travail terminé. Lorsque la porte s'ouvrit sur un autre jeune homme je lui sourit amicalement accompagnant mon salut d'un geste de la main qu'il me rendit timidement. J'appris plus tard qu'il se nomme William A. Westerfeld.

FLASH BACK ; off

    Mais en y réfléchissant de plus près, je me dis que j'aurais pu trouvé pire en compagnon de chambre. Parce que soyons réalistes, je n'étais pas du genre à sympathiser facilement avec les concurrents potentiel en matière de nana. D'accord, là c'est moi qui ne suis pas honnête. Disons que je me sentais bien dans mon dortoir. Les mecs étaient sympa, et on rigolait bien. Même si ce cher William restait dans son coin en général. Mais il n'empêchait pas que je l'apprécie déjà tout de même, bien que nous ne soyons pas proches à proprement parlé. Il ne disait presque rien, était discret, et je le devinais d'une timidité maladive. Ce jour-là, j'étais seul dans la chambre, tout du moins en me réveillant j'y étais seul. Probablement parce qu'en y regardant de plus près il était déjà une heure de l'après midi et que je m'étais beurré la veille à une fête étudiante de Harvard. Ca avait été sympa. Mais le réveil était toujours plus dur.

    Ce fut donc avec beaucoup de joie que je retrouvais le bordel de notre jolie chambre de garçons. Avouons le, le ménage, le rangement et les mecs ce n'étaient pas quelque chose de vitale, ou même de logique, d'utile, de primordiale. Regardant mon emploi du temps, je me rendis compte que j'avais loupé mes seuls cours de la journée qui se trouvaient être ce matin. Dommage, je n'avais plus qu'à ranger ma partie de la chambre après avoir pris une bonne douche. Ce que je fis d'ailleurs, et lorsque je m'allongeais sur mon lit à trois heures vingt-six, j'étais exténué mais la chambre était presque nickel. Je soupirais lorsque la porte s'ouvrit.

    JAMES
    — Hééé Salut L'Asticot ! Comment tu vas Mec ? Dur journée ?

    Demandais-je en voyant entrer dans la salle ce brave Willy.
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Hé P'tit Asticot ! — William

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