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 I love you ■ William A. Westerfeld

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Lilween S. Woodsen

Lilween S. Woodsen
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♣ date d'inscription : 19/04/2009
♣ prénom / pseudo : Elodie / Smile
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♣ copyright : © shakespearette ; throes.heart
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MessageSujet: I love you ■ William A. Westerfeld   I love you ■ William A. Westerfeld EmptyJeu 20 Aoû - 16:51

I love you ■ William A. Westerfeld 09 I love you ■ William A. Westerfeld 07
Ruby J. Woodsen ♥ William Westerfeld

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    Assise devant son écran d'ordinateur, Ruby travaillait. Depuis ce matin, elle avait filé cinq heures de cours de suite, avait eu sa pause déjeuner, et était partie à la bibliothèque pour étudier le reste de l'après-midi. Elle avait un gros devoir à rendre, pour la semaine prochaine mais depuis toujours, elle préférait finir le tout avant et avoir du répit pour après. Cette nuit-là, elle avait mal dormi et était encore très fatiguée, cependant, son bon petit déjeuner du matin avec Sunshine lui avait permis de se remettre un peu sur pied. Le cauchemar qu'elle avait fait l'oppressait encore et elle était d'une nature très sensible aujourd'hui. Elle sentait que si elle ne se retenait pas, elle pouvait pleurer pour un rien, du coup, elle s'enfermait dans le travail pour essayer de se changer les idées. Mais il faut l'avouer, cela ne marchait que très peu. Elle ne savait pas vraiment ce qui avait réveillé ces cauchemars sanglants, mais elle savait qu'elle ne s'en remettrait pas de si tôt. Toutefois, pour l'instant, elle se trouvait devant sa page Word vide et cherchait en vain un sujet pour son exposé d'anatomie. Désespérée, elle poussa son ordinateur en avant, bloqua l'ouverture par son code et posa ses mains à plat, l'une sur l'autre sur la table. Elle mit son menton sur ses mains rassemblées et continua à réfléchir sans relâche.

    { xxx }


    Elle courut, courut jusqu'à la porte de sa chambre et se réfugia sous sa couette. Elle était prise de frissons de partout. Son cri avait dû réveiller d'autre personne car du mouvement se fit dans la maison. Soudain, quelqu'un ouvrit la porte de sa chambre, elle se contracta et ne fit plus qu'une petite boule sous sa couverture. Une main se posa sur son épaule, mais elle ne bougea pas ... Elle reste comme cela, jusqu'à ce que la voix rassurante de sa mère la calma =

      miss woodsen ■■ ma chérie, ça va aller ! tu as dû faire un cauchemar !


    { xxx }


    Ruby se réveilla en sursaut. Elle avait dû s'assoupir en réfléchissant à son sujet d'exposé. Elle s'essuya le front car elle suait de nouveau comme ce matin. Elle regarda autour d'elle. L'ordinateur que lui avait offert ses parents se trouvait encore sur la table, devant elle. Son sac, accroché à sa chaise, n'avait pas bougé. Elle était toujours à l'aile nord de la bibliothèque où il y avait le moins de personnes. D'ailleurs, à cette heure-ci, personne n'avait le courage de se promener dans ces rayons de livres. Ruby ferma alors l'écran de son ordinateur et le rangea dans son sac. Elle mit ce dernier sur son épaule, prit ses lunettes de soleil, les mit dans ses cheveux, et partit après avoir rangé sa chaise. Elle passa devant la bibliothécaire et lui sourit. Elle lui fit un signe de la main et quitta le bâtiment. Sur le perron de la bibliothèque, elle descendit ses lunettes sur son nez et se mit à marcher avec sa démarche habituelle en direction de sa résidence pour aller se changer car elle se sentait mal dans ces vêtements dans lesquels elle venait de suer ...

    Arrivée à la résidence, elle sortit sa clef, ouvrit la porte et entra à l'intérieur. Ses colocataires devaient encore être en cours ou en train de traîner à l'extérieur en raison du soleil étincelant. Elle monta directement à l'étage. Elle passa par sa chambre où elle posa son sac, elle alla dans la salle de bain et reprit une douche froide. Elle sortit bien rafraîchie. Elle retourna dans sa chambre, alla fouiller comme ce matin dans son armoire et chercha quelque chose d'assez ouvert pour ne pas transpirer encore à en mourir. Elle attrapa donc un bustier blanc et un short en jean. Elle enfila le tout et passa par la salle de bain pour se maquiller. Elle mit par la même occasion un sautoir aux couleurs violettes et des boucles d'oreille assorties. Sa montre fut enfilée aussi vite, et elle redescendit en bas, son sac à la main. Elle sortit de la résidence, ferma la porte à clef et décida de se mettre à l'air frais pour travailler, dans le magnifique jardin d'Harvard.

    Elle marchait sur les mêmes talons hauts que ce matin avec une grâce indescriptible. Elle arriva dans l'espace vert qui était déjà empli de pleins de personnes. Elle chercha désespérément une place. Finalement, sous un grand saule pleureur, elle trouva un banc où seul un jeune homme lisait. Elle ne fit pas attention à cette personne et s'assit à l'autre bout du siège. Elle sortit son ordinateur qui était chargé à bloc, et elle retrouva sa page Word. Et bizarrement, elle trouva tout de suite un sujet qui lui plaisait vraiment. Elle tapa alors à une vitesse sur son clavier et finit en à peine une heure. Pendant ce temps, son voisin de banc avait fini de lire et la regardait sans qu'elle ne s'en rende compte.

    Son sujet bouclé, elle ferma son ordinateur d'un coup sec, et sentant le regard de quelqu'un, elle se tourna vers le jeune homme qui avait l'air de regarder autre part. Elle se dit qu'elle devait sûrement se faire des idées. Elle regarda son ordinateur, le mit dans son sac et se mit à songer à Alexander et William ...
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MessageSujet: Re: I love you ■ William A. Westerfeld   I love you ■ William A. Westerfeld EmptyJeu 20 Aoû - 22:33

    (j'ai fait comme si le jeune homme était william, j'espère que ça ne te dérange pas .. vu que je n'étais pas sure, et que c'était plus simple pour moi comme ça xD)

    Mes yeux me piquaient. Répétant cette vérité dans ma tête, je prenais enfin l'initiative de tourner le regard vers mon réveil, qui affichait fièrement une heure que je n'aurais osé imaginer. Cela faisait donc tant de temps que j'étais en train d'étudier ? J'en avais oublié de dormir. Mes yeux étaient rouges et boursoufflés, comme me l'indiquait mon reflet dans le petit miroir posé sur mon bureau. Mon partenaire de chambre n'étant pas rentré de la nuit, j'en avais profité pour travailler au calme et en avais surement oublié la notion du temps. Cela m'arrivait souvent. J'étais une de ces personnes tout sauf maniaques, qui ne prêtaient attention à l'horloge ou au rangement. J'arrivais en retard un peu partout, mais il paraissait que cela faisait mon charme. Jamais une montre n'avait frôlé mon poignet, et ce n'était pas aujourd'hui que ça arriverait. Et même avec les remontrances des professeurs, je ne changeais en rien mon comportement qui me satisfaisait amplement. Après tout, j'avais tout ce que je voulais. Des amis sur lesquels compter, des résultats exemplaires .. Peut-être que la seule chose, ou plutôt, personne que je ne pouvais atteindre était Ruby, vers laquelle mes pensées étaient presque constamment tournées. Était-ce possible d'être obsédé à ce point par une personne ? Pourtant, je ne la connaissais pas. Elle ne me connaissait pas non plus. Il serait déraisonnable de dire que je l'aimais, sans même connaître le fond de son esprit. J'avais juste une forte attirance physique pour sa personne, à laquelle je cédais bien trop souvent. Ou alors, un coup de foudre, mais je devais l'avouer, je n'étais pas de ces gens qui y croyaient. Il ne fallait pas trop que je cogite sur la nature de mes sentiments, car j'avais bien souvent l'habitude de m'y perdre. Rapidement, je me levais, avec le même entrain que d'habitude même exténué, et jetais un bref regard dans la pièce.

    Toujours autant en désordre que d'habitude. Ce n'était pas bien grave, cela devait surtout gêner mon colocataire. Je n'étais pas très doué pour vivre en communauté, et partager ma chambre avec d'autres me dérangeait en tous points. Cependant, je ne laissais pas tomber qui j'étais pour plaire aux autres, et je pouvais très bien laisser la lumière allumée si j'avais besoin de finir un devoir important, ou faire du bruit avec ma guitare lorsque l'envie me venait de composer. Ah ! J'étais peut-être cruel envers cette pauvre personne, mais si elle me le demandait gentiment, je voulais bien me plier à ses exigences. Je n'étais tout de même pas un monstre. D'un geste rapide, j'ouvrais mon placard pour chercher deux trois habits que j'enfilais à la va vite. J'avais ce look négligé qui m'allait bien, et que je cultivais par ma coupe de cheveux extravagante. Pour l'emmêler un peu plus, je passais une main d'ailleurs dedans et me regardais deux secondes dans le miroir. M'admirer n'était pas trop mon truc, je n'étais pas si imbu de moi même. D'ailleurs, je me moquais même des personnes qui prenaient trop attention à leur apparence. Je n'aimais pas les gens superficiels, voilà tout. D'un démarche énergique mais tout de même décontractée, je me dirigeais avec hâte vers l'endroit qui me permettrait, je l'espérais, de croiser la belle. L'université de Cambridge était grande, et il me fallut marcher un peu pour arriver jusqu'au portail qui m'enverrait tout droit à Harvard. J'avais souvent rêvé d'entrer dans cette grande université, mais à la place, j'étais resté dans ma chère Angleterre qui me semblait bien plus distinguée. Il y avait cette petite chose qui différenciait les anglais des américains qui me restait au fond de la gorge. Une fois passé de l'autre côté, la fraicheur des sous sols s'engouffra dans ma bouche et me fit légèrement tousser. J'avais tellement hâte -même s'il ne fallait pas avoir trop d'espoir-, que ma marche était à la limite de la course. Dans les couloirs et le grand hall, j'avais failli bousculer plusieurs personnes mais m'était repris de peu, comme à mon habitude. Quelques filles m'avaient lancé des sourires auxquels j'avais répondu, sans même savoir qui elles étaient. Bah, ce n'était pas grave, le fait de faire semblant devait leur avoir fait plaisir.

    Il y avait plusieurs endroits où j'avais déjà croisé Ruby. Ainsi, je les passais tous en revue dans un ordre qui me donnait le plus court itinéraire. Ils comptaient la bibliothèque, et à l'instant où je me promenais dans les longs rayons, je ne pus résister à la tentation d'emprunter un livre. Ce fut le rouge et le noir de Stendhal qui attira mon attention, œuvre française parmi tant d'autres chères à mon cœur. Ainsi, puisque de toute façon je n'allai pas lui adresser la parole, je pourrai m'occuper sans perdre mon temps, en alternant les regards vers elle puis vers mon livre. Puis, rapidement, je me dirigeais vers l'extérieur qui était le dernier endroit dans lequel chercher. Si elle était dans sa chambre, ou en dehors de l'université ou .. je ne savais où, j'étais raté. Je serais probablement déçu. Est-ce que mon comportement était étrange ? Je me rendais soudain compte que cela ne se faisait pas, de chercher partout pour trouver une fille. C'était un peu comme la suivre. J'espérais ne pas lui avoir fait peur. Enlevant toutes ces mauvaises pensées de ma tête en la secouant, je commençais à marcher dans le jardin de Harvard en parcourant le paysage du regard. Nada. Niet. Le visage morne, je m'asseyais sur un banc en dessous d'un magnifique saule pleureur pour commencer ma lecture. De temps à autres, je relevais néanmoins la tête pour m'assurer qu'elle ne passait pas devant moi, mais me retrouvais toujours pantois. Alors que je ne m'y attendais pas, j'entendis des bruits de talons qui s'arrêtèrent non loin de moi, et le bruit d'une personne -féminine donc- qui s'asseyait à l'autre extrémité du banc. Je relevais le regard, pour dévisager la nouvelle personne, et rebaissais immédiatement la tête en remarquant qu'elle était Ruby. Quelle honte. Si je la regardais, elle s'en rendrait surement compte, maintenant qu'elle était si proche de moi. J'avais envie de me rapprocher, pour pouvoir inhaler ses effluves qui devaient être en tout point délicieuses, mais ne voulais pas passer pour un idiot. Elle commença à pianoter sur son ordinateur, tandis que j'essayais de me concentrer sur ma lecture. Cependant, les phrases n'avaient plus de sens pour moi et mon regard était constamment attiré par sa silhouette. Je décidais de fermer mon livre et de la regarder, puisqu'elle semblait si absorbée par son écriture. Je regrettais de ne pas avoir apporté du papier à partition, car une mélodie me vint tout naturellement dans la tête. Alors que je perdais mon regard dans sa contemplation, elle ferma brusquement son ordinateur et je sursautais. Je me tournais complètement, histoire qu'elle ne puisse me reconnaître, et qu'elle ne se doute pas que j'étais en train de la fixer quelques secondes auparavant. Seulement, au bout de quelques minutes de silence, un courage inestimable prit par de moi. Et si je lui adressais la parole ? C'était dur, mais après tout, j'aimais entendre le son de sa voix à mon oreille.

    WILLIAM ▬ Salut Ruby ! Quelle coïncidence ..

    Je fermais les yeux quelques secondes, en essayant de feindre la surprise.

    WILLIAM ▬ Comment ça va ? Je suis désolé, j'étais tellement .. concentré dans ma lecture que je ne t'avais pas remarqué.

    Idiot.
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Lilween S. Woodsen

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MessageSujet: Re: I love you ■ William A. Westerfeld   I love you ■ William A. Westerfeld EmptyVen 21 Aoû - 19:03

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    ( c'est ce qu'il fallait faire alors c'est bien =P )

    William, William ... Je ne sais plus quand est-ce que je l'ai rencontré. C'était un peu avant que je ne vois Alexander pour la première fois. Il me semble que c'était lors de mon premier passage à travers la porte du Harvard Hall. Personne n'était là ce jour-là. J'étais descendu au sous-sol comme nous l'avais expliqué le directeur, avait ouvert la porte de la salle et avait allumé une bougie pour illuminer la pièce. Puis, dans un élan de courage, je m'étais avancée vers la grande porte ancienne, avait posé ma main sur la poignée, avait ouvert la porte et avait avancé en fermant les yeux pour éviter de me faire illuminée, puis plus rien pendant un moment ... Je crois que quand j'ai ouvert les yeux, j'avais atterri sur lui. Ayant tellement honte de moi, je m'étais simplement excusé et l'avais aidé à se relever. J'avais épousseté sa veste et lui avais souris en m'excusant à nouveau. Puis, sans en dire plus, je partis vers la sortie pour découvrir ce nouveau pays qui se présentait face à moi ... Je l'avais revu à plusieurs reprises et nous avions quelque peu parler. Principalement de cours pour tout vous dire. Mais j'aimais entendre sa voix douce et enchantée qui me berçait et me faisait oublier toutes mes peines et mes malheurs ...

    Alexander, quant à lui, était différent. Il avait sa façon de voir les choses. Je l'avais rencontré par hasard lors du bal de la rentrée je crois. Il était seul et moi aussi, nous avons discuté et une certaine alchimie est né entre nous. Mais je crois que nous n'avons jamais vu l'amour sous le même oeil. Tout de même, il a fait le premier pas et m'a demandé de sortir avec lui. Sans hésiter, j'ai accepté, car je savais qu'il avait son charme. Toutefois, je lui trouve le plus gros défaut qu'un garçon peut avoir ... cette envie de toujours draguer d'autres personnes. Je sais pourquoi il fait ça. Il ne trouve pas en moi ce qu'il désire sexuellement, il a toujours voulu LE faire avec moi, mais j'ai toujours refusé, jamais je ne l'ai fait avant et je ne me sentais pas encore prête ... Je voulais être sûre qu'il était le bon ... et je doutais bien qu'il le soit depuis que je connaissais William.

    J'attrapai alors dans mon sac, un livre de note bien rempli qui contenait également un script d'un écrit que je fais à mes temps perdus. Je le posai sur mes genoux quand son voisin de droite rompit le silence qui régnait entre eux-deux. Je fus étonnée et sursautai même me levant presque d'un bond. Si je ne m'étais pas retenue, j'aurais même éclaté en sanglot, mais serrant mes doigts autour de mon cahier, je me tournai vers William qui venait d'entamer la conversation. Je lui fis un sourire un coin et manquai de rire quand il fit remarquer la coïncidence de notre rencontre. Je soutins alors son regard, ne pouvant plus quitter mes yeux des siens. Je savais que je n'aurais pas du relever la tête. Sa douce voix m'envahissait déjà et de légers frissons vinrent se greffer au reste. Il se justifia alors pour une chose dont elle ne s'était pas vraiment rendue compte s'il ne l'avait pas fait remarquer. Et je répondis à mon tour ...

    william ■■ Comment ça va ? Je suis désolé, j'étais tellement .. concentré dans ma lecture que je ne t'avais pas remarqué.
    ruby ■■ Salut Will' I am ! je blaguais souvent avec son prénom Je vais bien aujourd'hui, merci. Ne t'inquiète pas, je ne t'avais pas non plus remarqué. J'avais un gros travail à finir à vrai dire. Et toi tu vas bien ? Le temps à Cambridge Est est mauvais ou bien tu avais juste envie de venir ici ?

    Je lui fis un plus grand sourire. A croire que le bonheur revenait rien qu'à son contact. J'attrapai alors mon sac et mon cahier qui était encore sur mes genoux, et m'approchai de lui réduisait l'écart que nous avions formé dès mon arrivée sous le saule pleureur. J'attendis sa répondre en jouant avec mon sautoir ...
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