La nuit fut extrêmes mouvementée. Je passais plus de la moitié de la nuit à penser a Edwin et à notre ancienne dispute. Chaque petite parcelle de mon esprit était avec lui, une part de moi aurait traversée cette porte pour le voir, discuter et simplement nous expliquer lui et moi. Chaque passage défiler dans ma tête, sa colère, son regard posé sur moi et ainsi que ces gestes, mes surtout ces mots « je vais tuer ce sale enfoiré » ou encore « Ed y’en a marre de tes sautes d’humeur, tu me … je veux plus te voir. ». Je m'en voulais et me sentais totalement inutile sans lui.

Le matin je me levais sans intérêt, croisant ma meilleure amie qui tentait au mieux de me remonter le moral, suivit de James. Leur présence me rassurait mais j'espérais qu'il passe cette porte mais il n'en fit rien. Je suivais chaque cour avec inattention, ne prenant aucune note moi qui étais pourtant si studieuse. Je voulais juste attendre qu'il me revienne. La fin de ma journée arriva plus vite que ce que je pensais, la seule cour auquel j'avais consacrée mon attention était le sport, un moyen de ne penser à rien d'autre qu'au fait de courir. Je n'aimais pas spécialement le sport mais au moine j'étais ailleurs, je ne vis appas passez ces deux heures. Je pris directement une douche pour m'allonger dans mon lit un pot de glace à la main. La vanille mon parfum préférait. Doux, frais et exotique, j'en avalais la moitié du pot.

Quelques plus tard, le manque de lui ce fit trop important, j'attrapais une veste de couleur bleu, une veste sportive qui lui appartenait d'ailleurs. Rien d'autre, laissant mon téléphone portable là, je me contentais de laisser un petit mot à Ruby « Je suis avec Edwin. Je rentre demain ». Je partis de ce pas espérant le trouver là bas. Je tentais de me faufiler dans les couloirs sans me faire prendre, arrivant devant la porte magique en autres, je le traversée.

Il faisait plus chaud à Cambridge. Mais pas assez pour enlever ma veste. Il était environ onze heures trente peut être même plus tard que ça. J'avais en quelques sortes perdu la notion du temps. Je me rendais jusqu'a sa chambre d'un pas rapide et impatient mais devant la dite porte je bloquais, n'osant pas frapper, j'entendais la télévision aller, frappant puis poussant la porte j'entrer en souriant légèrement.

- hum salut éd. je voulais qu'on discute toi et moi. Je ... je suis désole pour la dernière fois. Je ... je ne voulais pas rompre avec toi mais ... je suis désolée vraiment désolée.

Je restais prés de la porte sans rien ajoutée, le regardant dans les yeux.

Je ne pouvais pas comprendre son comportement même si je faisais tout pour essayer de me mettre à sa place. Je savais que ce n’était pas simple pour lui de me voir dans les bras d’un autre, mais il ne comprenait pas que nous étions juste ami, un peu comme les deux doigts de la main, je ne voyais en lui qu’un frère, quelqu’un d’un extrême soutien ; il était mon meilleur ami depuis ma plus tendre jeunesse, et je n’avais jamais imaginer plus avec lui, c’est sans doute ce qu’Edwin ne comprenait pas que deux personnes homme et femme puisse s’entendre sans avoir d’arrière pensée. Cette nuit avec lui n’avait été qu’un moment entre ami, il était tard et je ne pouvais pas franchir la porte à cette heure là, j’étais peur être un peu jalouse moi aussi. Ana Finley cette fille était le diable, dés qu’elle passait la porte c’était pour draguer ouvertement Edwin sous mes yeux, mais je n’en faisais pas tout un plat, et si elle aurait été une bonne amie pour lui, je n’aurais sans doute rien dit car ma confiance envers cet homme était plus qu’éternelle.

Je m’en étais voulu toute la nuit pour cette rupture, mais j’avais surtout pensé aux mots de Ruby, elle avait raison, je devais faire en sorte que tout aille mieux sinon notre couple n’avait aucune raison de vivre, et sa je le refusais, je l’aimais trop pour le voir partir. Alors après une journée triste, mélancolique, je décidais juste d’aller le rejoindre, discuter, je préférais qu’il me dise que tout été fini que de ne rien savoir. Mais je croyais en notre couple, mais je croyais en l’amour que j’avais pour lui. Je l’avais aimé dés le premier regard, j’avais su que c’était avec lui que je voyais mon avenir, lui et personne d’autre. C’était sa le vrai amour, pas besoin de promesse inutile, juste deux personnes qui s’aiment c’était sa mon essentiel. J’étais prête moi aussi à faire des efforts, pour notre couple mais je refuserais sans doute de ne plus jamais adresser la parole à James. En entrant dans sa chambre, je restais prés de la porte, je ne savais pas quoi dire ormins le fait que je refusais de rompre avec lui et que je m’étais exprimer une nouvelle fois sur le coup de colère. J’écoutais sa parole, avant de reprendre à mon tour, il approcha et je souris, sa semblait s’arranger. Je lui tendis la main, pour qu’il approche =

Sunshine = je sais tout sa trésor. Tu sais que je t’aime moi aussi, mais je crois qu’on devrait discuter toi et moi, mettre les choses au clair, sa ferait du bien à notre couple. Mais sache une chose je t’aime Edwin trueblood.

Il déposa ses lèvres sur les miennes, je prolongeais doucement ce baiser, passant mes bras autour de son coup. Quelques secondes après nous nous retrouvâmes assit sur son lit, les jambes en tailleur, sa main dans la mienne et nos regards l’un de l’autre je repris le début de la conversation =

Sunshine = tu sais je voudrais juste que tu sache que James est mon meilleur ami rien de plus, juste sa, et malgré le fait que je tienne à lui et que je l’aime beaucoup ce n’est pas de lui que je suis amoureuse. Alors quand je passe certaines nuits avec lui, il n’y a rien d’ambigu, juste deux amis qui discutent. Je ne veux pas te demander de l’aimer ou d’en faire ton meilleur ami mais simplement de comprendre que j’ai besoin de lui, mais c’est toi que j’aime plus que ma propre vie. C’est avec toi que je vois l’avenir. Je t’aime tant.

Sa me faisais du bien de lui parler, lui dire tout ce que j’avais sur le cœur, c’était une étape important dans notre couple et dans notre histoire. Sa ne voulait pas dire que tout serait plus simple mais simplement que le parcours serait plus vrai et qu’il fallait être sincère l’un envers l’autre pour que tout cela marche.

il y a deux choses dont j'étais profondement certaines, la premiere etait que j'étais passionnement amoureuse de lui, pas un petit amour sans lendemain comme la plus part des jeunes vivent maintenant mais je parle de quelques chose de sincere, de tendre et de profond. j'aimais edwin trueblood de tout mon être, et sa personne ne pouvait en dire le contraire, c'est vrai que ce n'était pas spécialement simple lui et moi, les disputes étaient fréquente, nos ruptures aussi. je savais qu'en sortant avec lui sa ne serait pas simple mais je l'aimais de tout mon coeur et pour un bon moment. pour la premiere fois depuis un bon moment j'étais vraiment sur de mes choix, sur de l'aimer, sur de vouloir cet homme. La seconde était que mon amitiée avec James n'était pas cassable, ce n'était pas une chose dont je pouvais me passer, elle m'étais profondement indispensable. Je le voyais comme un frère depuis bien longtemps. Il était d'une bonté incroyable, doux et franc, mais c'était aussi le genre d'homme toujours présent auprés de moi, m'écoutant dans tout les moments. Je ne pouvais pas choisir entre ces deux personnes, c'était assez incroyable cette sensation de bonheur quand l'un des deux me regarder; je les aimaient un point c'est tout

il était enfin temps de prendre le temps pour lui et moi pour discuter, essayer de comprendre certains de nos problémes pour mieux avancé vers notre avenir. je dois dire que depuis le début de notre relation nos discutions serieuse etaient en nombre reduit, pratiquement inéxistante =

sunny = c'est sa aussi le probleme, je ne veux pas que tu fasse semblant de l'aimer. on ne peut pas aimer tout le monde et je comprend sa mon coeur, mais je te demande juste d'accepter notre amitiée parce qu'elle compte pour moi.

c'était entierement vrai, il comptait, à sa manière

sunny = je ferais des efforts de mon coté aussi. je veux vraiment que sa marche toi et moi. je t'aime trop pour te laisser filler.